Un être, une personne... Ne change pas forcément la donne.

Chapitre 7, Parti 2 : « ... »

!!!ALERTE LEMON DANS CE CHAPITRE, AUCUNE OBLIGATION DE LE LIRE POUR L'HISTOIRE!!!

C'est la première fois que j'écris ce type de texte, pardonné ma maladresse.

Une fois sortit de ses pensées Livaï constat que Naoko s'était endormi contre lui, elle serrait sa chemise avec force. Il réussi à ce dégager et s'en alla, la tête remplie. Durant toute la soirée il ne cessa de penser à elle. Tard dans la soirée il rapporta un plateau repas ainsi que des bandages et de quoi désinfecter, en rentrant dans la cellule il regarda un long moment Naoko qui avait un sommeil perturbé, elle tremblé et gémissait. Il fini par lar éveiller doucement, elle ce releva péniblement.

Livaï: Ton corps te fait mal ?

Naoko fit un petit "non" de la tête. Les yeux encore fermés.

Naoko: Ils sont bien partit ?

Livaï: Ouvre les yeux..

Naoko: Mais s'il était encore la... ?

Livaï: Moi vivant ils ne remettrons plus jamais un pied ici !

Naoko ouvrit doucement ses yeux et regarda Livaï, puis la pièce. Elle fut rassuré en quelques secondes, il lui tendis le plateau.

Livaï: Et ce coup si tu mange tous.

Naoko lui adressa un grand sourire, Livaï la regarda à nouveau dans l'intégralité, elle s'était rhabillé et portait un pantalon ample noir, ainsi qu'un T-shirt beaucoup trop grand pour elle. Il la regarda mangé dans un silence de roi, une fois fini, elle le regarda et constata que Livaï était dans ces pensées.

Naoko: Livaï ?

La voix fébrile de Naoko alerta Livaï, qui revint à lui. Les rougeurs de Naoko étaient devenu des bleus pendant sont sommeil, la violence des coups était visible, et son corps en était marqué.

Livaï: Il faut que tu te déshabille.

Naoko: C-Comment ?!!

Livaï: Je vais vérifier qu'il n'ont pas trop abîmé la pâté pour titan.

Naoko pouffa de rire, puis le regarda.

Naoko: Tout va bien, je n'ai pas mal.

Livai: Donc si je te touche là, tu n'auras pas mal ?

Naoko fit un petit mouvement de la tête pour affirmer ses propos. Livaï la regarda intensément, il la poussa contre le mur d'une main et lui protégea la tête de l'autre, une fois plaqué contre le mur, leurs visages étaient vraiment proche. Naoko rougit à toute vitesse, Livaï approcha sa tête de son oreille, lui chuchotant.