Explication

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Le lendemain matin, je sens un poids sur moi. J'ouvre les yeux et vois la belle Gelda dormir dans mes bras. Je n'ai pas rêver. Je lui dépose un baiser sur son front. Ma toux c'est apaisé. Je dois faire attention mais je vais mieux. Je lui caresse ses beaux cheveux de blé. Elle finit par émerger. Elle est magnifique au réveille.
Zeldris : Bonjour ma belle.
Gelda : Hum...
Elle se recale contre mon torse.
Zeldris : Hey jolie marmotte.
Gelda : La marmotte ne veut pas se lever. Je suis bien là dans tes bras.
Zeldris : Je me doute bien. On est attendu pour le petit déjeuner.
Gelda : Ou alors, on peut rester dans le lit et profiter un peu plus l'un de l'autre. Se faire des câlins, s'embrassser et bien plus encore.
Plus elle parle plus je rougis. Je sais ou elle veut en venir. Je l'imaginer pas comme ça.
Zeldris : Laisse moi me rétablir avant. Je te promet qu'on passera un merveilleux moment.
Gelda : Je retient. Au fait comment c'est passé ta nuit?
Zeldris : J'ai très bien dormi avec toi. Je vais vite retrouver toutes mes forces.
Gelda : Tans mieux. Il faut que je prenne une douche et toi aussi. On peut potentiellement la prendre ensemble?
Je suis rouge tomate.
Zeldris : Tu es bien entreprennante.
Gelda : Je suis désolée, je ne voulais pas te gêner.
Zeldris : Je suis surpris et gêner, je l'avoue. Mais, d'un autre côté sa prendrait moins d'eau et on aurait moins froid. On peut envisager cette éventualité.
Gelda : Tu n'es pas obligé. Je ne veut pas te forcer...
Je met mon index sur ses jolies lèvres.
Zeldris : Chuuuut. Tu ne me force à rien et j'osais pas te demandé.
Gelda : Oh!
Je l'ai surprise et je vois un jolie rouge sur ses petites joues. Sa me fais doucement rire.
Zeldris : Tu es adorable tu le sais?
Elle vire au rouge écarlate. Je continu de rire.
Gelda : Et sa te fais rire?
Zeldris : Beaucoup.
Gelda : Très bien, je te fais pas de bisous.
Zeldris : Hey! C'est pas juste.
Gelda : Tans pis pour toi.
Elle se lève, je la suis et elle commence à courir. Je me met à la poursuivre.
Gelda : Haha. Tu ne m'aura pas.
Zeldris : C'est ce que tu crois.
Je l'attrape et la plaque sur le lit. Je me retrouve au dessus d'elle. Je sens que ma respiration est un peu saccadé.
Gelda : Ça va?
Zeldris : Oui ne t'en fais pas c'est normal. Mais ne change pas de sujet. Tu es à ma merci.
Elle me regarde avec envie. J'essaye de l'embrasser mais elle évite à chaque fois.
Zeldris : Aller viens. On a une douche à prendre.
Je me relève et l'aide à son tour. Je l'entraine avec moi dans la salle de bain. Elle a un grand sourire. Je lui desend tout doucement sa belle robe blanche. Ma belle se retrouve en sous vêtements juste sous mes yeux. À la vue de ses courbes, j'ai quelques rougeurs. Elle vient m'embrasser et défait ma chemise.
Zeldris : Je croyais que tu devais plus me faire des bisous.
Gelda : Comme si je pouvais te résister.
Nous finissons de nous déshabiller et prennons notre douche. Elle est tellement belle. Je dirais qu'elle est juste magnifique. J'ai de la chance de l'avoir rencontré, elle est gentille, attentionné... C'est ma belle princesse. Plus personne ne lui fera du mal. Je le promet. L'envie est là, je ne peut pas le nier mais nous venons à peine de nous voir nos visages. J'aimerais prendre un peu plus de temps. Nous sortons et nous habillons. Nous récupérons nos affaires et sortons de la chambre. Nous rejoignions les autres à table. Je reprend un chocolat chaud déjà pour me réchauffer et puis pour prendre mes médicaments.
Gelda : Tu prend combien de cachets et c'est pour quoi?
Zeldris : J'en ai un pour le bon fonctionnement de mon coeur, l'autre et pour endormir un peu ma maladie. C'est surtout pour éviter qu'elle s'aggrave et qu'elle me ronge un peu plus mes organes. Quand je fait une rechute, je prend un pour ma fièvre et l'autre pour calmer ma crise.
Gelda : Mon pauvre.
Zeldris : Tu sais, je fais avec. Elle c'est déclenché très jeune, alors j'y suis habitué.
Je vois bien qu'elle s'inquiète car elle ne connaît pas ma maladie. Je sais que mon frère lui en a parlé. Même si il lui a expliqué, c'est toujours impressionnant. Elle a dû lui poser les mêmes questions ou juste me voir prendre différents comprimé peut faire poser des questions. Je prend pas les mêmes sur différentes période. Je comprend qu'elle soit perdu.
Gelda : Tes cachets il te font quoi exactement?
Zeldris : Dis toi, que ma maladie attaque toujours en premier le coeur. Elle ralentit mes battements et me fait terriblement mal. Se cachet permet qu'il soit stable. Ça me fais ressentir aucune douleur. Il y a quelques années, elle a commencé à me ronger mes poumons. Quand je fais un peu trop d'effort, ma respiration est un peu saccadé. Le deuxième cachet endors un peu la maladie. Sa évite qu'elle progresse vite. Tu as vu quand je fais une rechute, j'ai de la fièvre et de la toux. Les derniers que je prend permettent de faire descendre ma fièvre et calmer ma toux.
Elle écoute toutes mes explications avec attention. Les autres me laisse parler. Personne n'ose m'interrompre.
Gelda : Mais tes hallucinations? Elles viennent d'où?
Zeldris : Disons que la maladie désoriente mon cerveau. J'en ai quand lors d'une rechute. Mon cerveau ne distingue plus le réel et l'imaginaire.
Gelda : C'est dangereux?
Zeldris : Disons que si elle s'aggrave pas, je peut vivre longtemps et a peu près normalement. Dans le cas contraire, je peut en mourir.
Gelda : Oh...
Méliodas : Après, même si Zel l'a déclencher tôt, ça ne veut pas dire que sa va s'aggraver.
Gelda : Cette maladie vient d'où?
Je regarde mon frère, je ne sais pas comment le dire et puis j'ignore si il en a parlé à sa princesse. Je ne veut pas faire de gaffe.
Méliodas : Une mutation génétique. Notre mère l'avait et avait finit par la déclencher. Nous en sommes tous les deux porteurs. Je ne l'ai pas déclenché et peut-être que sa n'arrivera pas. Zel l'a eu tôt. On ne sait pas quand elle se déclare ni même pourquoi. Comme mon frère l'a dit, il peut très bien vivre sans que sa dégénère plus ou tous le contraire. On sait juste les effets de la maladie. On ne sait pas grand chose d'autre.
Élizabeth : Pourquoi tu ne m'en a pas parlé avant ?
Méliodas : Tous simplement pour éviter que tu t'inquiètes pour rien.
Chandler : Nous devons vite partir.
Cusack : Si on reste plus longtemps, ils vont nous retrouvé.
Méliodas : Vous n'avez pas tord. En plus, on a de la route.
Nos maîtres d'armes payent la note et nous reprenons la route. Cusack me reprend sur son dos. Dormir m'a fait du bien mais je dois faire très attention. Si je fais des crises à répétition sur une courte période, peu accentuer ma maladie. La belle blonde reste près de Cusack. Elle s'intéresse beaucoup à ma maladie. Enfin, elle m'a posé énormément de question. Elle a l'air toute gêner. Elle me fait fondre de bonheur.
Au bout de quelques heures, nous finissons par arriver dans une grande ville. J'aimerais marcher un peu.
Zeldris : Tu peux me poser. J'ai envie de me dégourdir les jambes.
Il me pose au sol. Ma belle vient pour entrelacé ses doigts avec les miens. Sa doit la rassuré. Cusack et Chandler trouvent une calèche. Je monte avec mon frère et les princesses. Nos maîtres d'armes s'installent devant avec le conducteur.

Derrière la porteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant