RENOISDUBINKS PRÉSENTE"FLEUR FROIDE"
C'est quand j'ai poser le pied dans l'appartement que j'ai sentie cette odeur morose, mon regard était poser sur le cadre brisés au sol.
- soupir
Une lueur d'espoir.. rire nerveux à quoi je m'attendais ? Shan était là, en face de moi, en sang, mon père a encore bu je suppose. Elle s'est mise à tituber, son regard était froid, tout comme les autres jours.
Je l'a laisse passer sans lui dire un mot, de toute manière, c'est toujours comme ça que ça se passe.
Je monte dans ma chambre en faisant attention au marche, la porte de ma chambre était entre ouverte. Je soupir d'agacement et l'ouvre en n'y découvrant mon père, assis sur le sol à regarder les photos de ma mère.
- Papa..
Papa - larmes au yeux C'est à cause de toi qu'elle est morte ! Tu devrai plus exister !
- N.. non, c'est pas de ma faute.
Papa - C'est toi qui conduisais ! C'est toi qui l'a menée à sa perte ! C'est toi qui devrai être à sa place ! Tu n'est qu'une petite effrontée ! Tu ne mérite pas de vivre sous mon toit !
Ma gorge ce noué, les larmes me montaient, je n'arrivais plus à prononcer un seul mot, il se lève et commence a me hurler dessus en me giflant à plusieurs reprise, puis il pars en me laissant là.. en larme.
Le seul sur qui je pouvais me reposer me haïssait, comment tout cela a pu arriver ?
J'essayais de contenir mes cris de douleurs mais rien y fait, je me suis donc enfermée dans ma chambre pour éviter qu'on y entre.
Ces bouts de verre au sol me tentait, comme chaque soir, j'hésitais une nouvelle fois, mais je savais pertinemment que j'allais le faire.
Je m'accroupis et saisie un bout de verre, le plaçant au dessus de ma veine, le seul remède pour calmer ma douleur et mon désarrois était ce bout de verre.
Une entaille, puis deux, ma douleur commencée déjà à disparaître peu à peu, malgré la douleur de ce bout de verre, ma douleur intérieure était plus important que je ne sentit même pas la douleur de mes veines.
? - Meya ? Tu fous quoi ?
Je me redresse et pars dans ma salle de bain en prenant bien soin de m'enfermer. Je passe mon bras sous l'eau, ça me piquait beaucoup, mais j'ai lutter pour ne laisser échapper aucun gémissement de douleur.
Une fois terminer, j'ai enfiler un pull, pour camoufler mes nombreuses mutilations avant d'aller ouvrir la porte.
- Oui ?
Wen - Il s'est passée quoi en bas ?
- Comme d'habitude.
Wen - Comment ça ? Shan s'est encore fait frapper ?
- Mh, bon, tu veux quoi ? Viens en au fait.
Wen - Mais rien, je voulais juste savoir si t'allais bien.
Je lui claque la porte au nez, on ne m'a jamais demander si j'allais sincèrement bien. Et c'est pas aujourd'hui que quelqu'un s'intéressera à ma vie.
Cette femme se nomme Meya Li. Déjà 19 ans au compteur, elle étudie toujours, elle est stagiaire dans une grande entreprise et essaye de s'en sortir du mieux qu'elle peux en faisant quelques petit boulot par ci, par là.
Issue d'une famille vietnamienne assez aisée, elle a souvent dû être confrontée à plusieurs épreuve dans sa vie, "comme tout le monde" me diriez vous..
Wen âgée de seulement 16 ans et Shan âgée de 14 ans. Meya est donc l'aînée de la famille et doit tout endosser, quitte à se prendre des coups pour éviter que ces petites sœurs subissent les violences causés par leurs père.
Leurs pères ? Un bourré toxicomane, il passe ces journées au bureau, puis quand la tombée de la nuit arrive, il pars se "vider" l'esprit.
Depuis la mort de leurs mères, leurs famille s'est complètement détruite, Meya essaye de garder un lien fort avec ces sœurs, même si quelques petites engueulade violente surgisse.
Son histoire ? Elle va vous l'a racontez, à vous d'en jugez les faits.
Vos impressions ?(Shan = Channe)
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Meya - Fleur froide.
RandomElle aimait avec d'autant plus de passion qu'elle aimait avec ignorance. Elle ne savait pas si cela est bon ou mauvais, utile ou dangereux, nécessaire ou mortel, éternel ou passager, permis ou prohibé; elle aimait.