Bonjour à tous. J'espère que ce tout nouveau chapitre vous plaira. Voter pour ce chapitre pour me motiver pour le suivant :-).
2 semaines s'était écoulées depuis le dernier point avec Mael et Etan au restaurant.
Pendant ces deux semaines rien de spécial.
J'avais montré à Etan toutes les facettes de mon poste, mon équipe et mes objectifs professionnels de l'année.
Aujourd'hui c'était la grande soirée de départ de Mael et le "sacre" d'Etan en tant que chef d'entreprise.Il y aurait donc quelques clients triés sur le volet, les directeurs et chefs d'entreprises des autres entreprises du groupe et des membres du siège ainsi que les plus gros actionnaires.
C'était également le moment pour Etan de montrer qui nous sommes et ce que nous faisons de se familiariser avec tout le monde et surtout avec les gros poissons autour d'amuse bouche et d'un verre de champagne. Il y aura peut être des macarons.C'était le jour J, il était environ 11h30.
Etan entrant sans toquer dans mon bureau, de toute façon ma porte était rarement fermé.Mais j'étais tellement concentré que je ne le remarqua pas jusqu'à que je vois deux mains posées sur la papier que j'étais entrain de signer. Je reconnu Etan à ces mains élégantes et rugueuse et surtout grâce à sa Rolex au poigné d'un peu prêt 50 milles euros il faut dire.
"Elena"
Généralement quand il prononçait mon prénom c'était pour me mettre dans la merde, alors j'hesita à lever les yeux vers lui, il était si proche de moi car quand je le regarda dans les yeux je recula instinctivement. J'avais pris un coup de chaud et j'avais les joues rouges.
Je détestait cette habitude chez moi, je ne voulais pas qu'il voit qu'il m'affecte mais mes joues me trahissais toujours.
.
"Etan""Elena"
"Oui"
"Le Fleuriste à décommandé"
"pardon ?"
"Ne me fait pas me répéter" me dit il droit dans les yeux les mains toujours sur mon bureau.
Je secoua la tête "pour quelles raisons ?"
"Il n'a pas était payé" me dit'il en retirant ses mains et en les mettant dans ses poches.
"c'est pas possible j'ai vérifié moi même que le virement est bien partie pour tous les prestataires de ce soir" dis je en tapant rapidement sur mon clavier à la recherche du paiement.
"Le voila" fis-je en pointant du doigt mon écran tout en regardant Etan.
Il contourna mon bureau pour se planter derrière moi pour regarder mon écran, je sentais son parfum enivrant.
"c'est écrit paiement refusé Elena " me dit'il d'un calme sévère comme la mer avant la tempête.
"hein ?!"
Je vérifia le paiement, il y avait toujours une explication à un refus de paiement. Je lisait à haute voix : "Le Fleuriste "votre fleur" n'a pas su contenter tout les documents de certification de son entreprise, le siège à donc procédé à une annulation de paiement."
"merde" lâchais-je en oubliant que Etan pouvait m'entendre "qu'est ce qu'on fait ?" lui demandais-je en me tournant vers lui, nous étions vraiment trop proche, si quelqu'un entré dans mon bureau à cet instant il se poserait des questions.
Et pendant un instant, une seconde peut-être je pensais qu'il allait m'embrasser. Il regarda mes yeux puis ma bouche et resta plus longtemps que professionnel.Puis il détourna son visage pour se concentrer sur l'écran comme si de rien n'était.
Chauuuuud c'était moins une..
"prends tes affaires et vient avec moi" me dit il en quittant mon bureau.
"pardon ?"
"Elena, tu compte me faire répéter à chaque phrase ?" me dit il en se retournant vers moi.
Je le suivi en attrapant mon manteau et mon sac, il était presque à l'ascenseur.
Chainez nous scruta interloquée verte de jalousie. J'avoue que ça me faisait plaisir, je lui fis un grand sourire et me retiens de lui faire coucou. Oui c'est mon côté bitch.
"Ou est ce qu'on va ?" lui demandais-je en le suivant.
"chercher des fleurs" me dit il sans se retourner.
"euh.. Ok"
Dans l'ascenseur il appuya sur le -1 c'est à dire le parking.
"tu as le détail de la commande que nous avions passé"
"oui, je peux la retrouver dans mes mails"
"très bien"
Pas un bruit, pas un mot de plus pendant que l'on descendait les 13 étages. C'était presque genant sachant toutes les images qui se passait dans ma tête, lui entrain de m'embrasser fougueusement dans l'ascenseur.. Sexy.
Mais ça n'arriva pas.
Je le suivi jusqu'à sa voiture il avait de nouveau pris son Range Rover.
J'y entra quand il pris place dans l'habitacle.Il tapa sur son écran digital l'adresse du Fleuriste.
Je n'osais pas parlé pendant tout le trajet de toute façon lui non plus ne cherchait pas à faire la conversation.
Il se gara devant le Fleuriste.
Après un bref passage assez houleux chez le Fleuriste pour payer, je comprenais mieux pourquoi ma venue était nécessaire : une double signature était obligatoire pour effectuer le chèque de la société pour le Fleuriste : le chef d'entreprise et la responsable financière.
De plus on à du lui donner une compensation financière pour qu'il puisse nous décorer notre salle de réception en urgence."Tenez mademoiselle."
Le Fleuriste me tenda une rose.
"merci" lui dis-je de bon coeur.
"une rose pour une rose" ajouta t' il.
C'était une magnifique rose rose."c'est vraiment gentil, merci"
Etan me regarda intensément puis se ressaisi des que je me tourna pour lui faire face, puis il se dirigea vers la sortie.
De retour dans la voiture mon ventre gargouilla, mais pas un gargouillis mignon non le truc qui dure 20 secondes et que tout le monde entend. Fais chier pourquoi moi et pourquoi maintenant.
La honte..décidément il m'aura vraiment vu sous toute les coutures
"pa.. Pardon" dis-je à personne en particulier.
"Italien ça te convient ?
" pardon ? " il ne répondit pas du coup je lui dit "Je veux dire oui"
J'étais étonnée, Etan voulez vraiment manger avec moi seule à seule ?
Intéressant.
Merci d'avoir lu ce chapitre.
On change de point de vue dans le chapitre suivant !! Vous allez connaître toutes les pensées d'Etan.
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Mon boss et moi - Je ne suis pas ta secrétaire ! (complet)
RomanceElena 24 ans, elle à tout ce dont elle à toujours voulu avoir : un appartement en plein cœur de Paris, une belle carrière de responsable financière dans une belle entreprise et surtout un adorable chaton. Alors pourquoi le destin s'abat sur elle qua...