Royally screwed ( French )

7. CALL ME DADDY

"Tu veux sortir d'ici ?" Le bel inconnu m'a demandé après une heure de beuverie.

"Bien sûr," J'ai répondu avec un sourire. Qui étais-je pour nier cette incarnation de la perfection tout ce qu'il désire. "Ma voiture est garée que..."

"Pas besoin. Prenons juste un taxi. Nous sommes tous les deux trop ivres pour conduire," a-t-il dit avant de me pousser dans un taxi et de s'installer juste à côté de moi

"Le Grand Hôtel", a-t-il dit au chauffeur et avant que je puisse l'accuser de m'avoir malmené, ses lèvres étaient sur les miennes dans un baiser fougueux.

Je ne sais pas si c'était parce que j'étais ivre mais OH MON DIEU, il était de loin le meilleur embrasseur que j'avais rencontré.

Je suis sortie avec un gars mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas embrassé beaucoup de gars et de filles dans ma petite adolescence. C'était avant de me dire que je n'aimais pas mes parties intimes.

Il ne m'a même pas demandé la permission car il a fourré sa langue dans ma bouche. Il m'a pris au dépourvu ce qui était nouveau pour moi, mais tout ce qu'il a fait c'est m'allumer. Bel étranger où tu as été toute ma vie.

Il a brisé ce baiser et je lui ai presque demandé pourquoi, quand il m'a sorti de la cabine. Nous étions arrivés à destination. Je voulais lui sauter dessus mais mon esprit un peu sobre m'a convaincu de me retenir alors qu'il enveloppait solidement son bras autour de ma taille et m'a conduit à l'hôtel

Dès que les portes de l'ascenseur se sont refermées, ses lèvres sont restées sur les miennes. Heureusement, c'était juste nous deux bien c'était jusqu'à ce qu'un idiot décide de prendre l'ascenseur du sixième étage.

Nous nous sommes quittés à contrecoeur, mais nous sommes restés proches. La porte de l'ascenseur s'est fermée et la personne a regardé vers l'avant. Je n'ai pas été dérangé par le fait que c'était un homme ou une femme parce que mon Adonis d'un homme a décidé qu'il était approprié de me caresser les fesses. Cela aurait été très bien, mais la chose suivante sa main était dans mon jean et il jouait autour de ma cerise. Oui. C'est ce que j'appelle.

Je n'ai pas pu m'empêcher de laisser échapper un gémissement de mes lèvres. La personne devant nous a fait une toux nerveuse avant de sortir en courant lorsque les portes de l'ascenseur se sont ouvertes. Ensuite, mon dos était contre le mur de verre et ses lèvres étaient sur le mien avant même que les portes se ferment.

Lorsque nous sommes arrivés à la suite présidentielle, nous étions tous les deux essoufflés. Mon dos a frappé à la porte dès qu'il l'a fermée. Il a enterré sa tête sur mon cou tétant, suçant, léchant et je ne pouvais m'empêcher de gémir de plaisir. Mon Dieu, j'avais l'air d'une salope. Je n'étais même pas aussi fort avec mon ex. Surtout parce qu'il aime sauter directement sur le plat principal sans goûter les amuse-gueules.

"Tu as trop de vêtements sur toi," il a gémi dans sa voix sexy et grave et je jure que j'ai failli venir ici et là. Il a enlevé ma veste avant de glisser de mon t-shirt.

Il m'a admiré pendant un moment avant d'enlever sa veste et de m'emmener dans la cuisine. Il a enroulé ses bras autour de ma taille et m'a placé sur le comptoir. Il était sur le point de m'embrasser quand je lui ai parlé.

"Attend. Je ne connais même pas ton nom", ai-je dit.

"Ce n'est pas une priorité en ce moment. Tu peux juste m'appeler Daddy pour l'instant, baby boy," il m'a chuchoté à l'oreille et soudain mon jean est devenu extra serré.

"Oui Daddy," j'ai répondu en testant les eaux et je pouvais littéralement le sentir devenir plus dur contre moi et je l'ai aimé. Je l'aime un peu trop.