là où le jour jusqu'à l'infini s'étire,
où tout l'or du monde ne vaut pas ton sourire,
là où les vagues embrassent de la plus belle des manières,
ton petit accent d'Angleterre.comment décrire ton âme littéraire?
peut-être avec les couleurs de Metz en hiver.
tu érodes tes mains gelées l'une contre l'autre,
comment ne pas faire une faute?le matin alors palpite,
et tout s'aligne comme des satellites,
quand la distance devient ridicule,
nous voilà déjà au crépuscule.quelques ombres de Venise,
capables de faire fondre la banquise,
ainsi qu'une pincée ibérique,
unique, magnifique, poétique.le soleil n'a jamais été aussi près,
et notre plume autant inspirée,
tuons toutes ces majuscules,
avant que tout ne brûle.dorian