le temps semblait s'être arrêté. les feuilles ont cessé de tomber, le vent de souffler, la nuit de passer.
comment un tel sourire pouvait ne pas être né d'un pinceau?tu brillais à côté de moi telle une étoile éclaire et réchauffe sa planète la plus proche.
quel soulèvement du cœur que de te voir apparaître sous ce porche.le moindre halo de lumière de la vallée, ce soir là, se distillaient dans ton iris dont la couleur m'est encore inconnue.
je suis persuadé qu'à chaque instant où nos regards rentraient en collision, les glaciers ont cessé de fondre, le feu de brûler les forêts et la tristesse d'exister.
chaque mouvement utopique, de tes cheveux électriques m'ont percuté, touchant la plus éloignée des contrées de ma sensibilité. pouvant réveillé n'importe qui du plus abyssal des sommeils.
la douceur de tes mains,
le calme du lac,
pourquoi remettre à demain,
alors que mon cœur craque?tu me rends ivre,
tout mon corps givre,
j'ai tant envie de poursuivre,
mais comment survivre?inévitablement la puissance de nos deux corps combinés, ont déclenché l'éclat,
au plus haut de l'atmosphère, de quelques nuages pourtant si sereins.l'éloignement est la pire des blessures,
mais on se retrouvera, j'en suis sûr,
parce que de toutes les figures de la nature,
tu es celle dont je préfère la chevelure,
mon abdomen plus ardent que Mercure,
ne demande qu'à partager ton futur.dorian