Cerberus MC : DILLON

Chapitre 16 Dillon

J'ai de la peine pour elle, en plus du club, ma famille m'a toujours soutenu.
Jai été très entouré contrairement à Ysia qui me semble bien seule.

Mais maintenant, on est là pour elle, je suis la pour elle et si l'abruti se ramène ici je l'accueillerai comme il se doit.
Ce gosse de riche ne s'est sûrement jamais frotté à un biker prêt à tout pour la femme qu'il convoite.

En réalité je ne fais pas que la convoiter, pour moi, elle sera mienne.

- Quelle marque ? demande-t-elle au rayon des bières .

- Celle que tu préfères repondis-je.

Je l'enlace par-derrière,  je peux pas m'empêcher de la toucher.

- Tu me gênes la dit-elle en essayant de se dégager.

Je la soulève et la pose dans le caddy.

Elle éclate de rire.

Je finis les courses sur ses conseils.

On a pas pris grand chose puisque nous repartons demain, elle travaille de nuit.

- T'as déjà essayé la crème fouettée étalée sur un corps et tu lèches ? J'ai vu ça dans un film, j'ai bien envie d'essayer.

Est-ce qu'elle se rend compte de ce qu'elle dit ?

- Il y a des tas de choses que j'ai envie d'essayer en fait, je suis très curieuse, notamment concernant le sexe.
Genre la sodomie tu vois ? Certains sont très réservés moi ça me tente, au moins pour en faire l'expérience.

Je bande, comme un dingue.

Je fais même pas attention aux gens qui nous regardent ahuris.
Je lui répond pas, je risque de la prendre sur le tapis de caisse.

Je dépose les articles et attend que la caissière les passe.

- Il n'est pas au menu dit Ysia à la caissière,  enfin si au mien mais je partage jamais ma bouffe, inutile de le manger du regard.

Je pouffe.

- Jalouse ? Demandais-je.

Elle hausse un sourcil.

- Oui repond-elle.

Je m'attendais pas à une telle franchise.

Je me penche et attrape une de ses levres entre mes dents.

Je la mords et la relâche.

- T'as aucunes raison de l'être repondis-je.

Arrivés au chalet nous rangeons tout, elle a retirée sa veste et le petit haut qu'elle porte ne cache rien de la dentelle qu'il y a en dessous.

Toujours dans la cuisine, n'y tenant plus,  je la saisis par la taille et m'empare de ses levres.

Ses mains se crochetent à mon cou et elle introduit sa langue dans ma bouche.

Mes mains descendent sur ses fesses, je ne lui cache rien de mes intentions.

Je la souleve et nous dirige vers le canapé.
Je l'allonge et me place au-dessus d'elle.
Ses mains glissent entre nous et s'attaquent à mon jean.

Je soulève les fesses pour qu'elle puisse le descendre.

- T'es sûre ? Demandais-je en détachant ma bouche de la sienne.

Elle hoche la tête.

Je m'assois et lui retire ses vêtements,  j'enchaîne avec les miens.

- Capote dit-elle.

- Je vais chercher la boite repondis-je.

Je le lève et récupére la boite que je viens d'acheter.

Je l'ouvre et en prend un que j'ouvre et déroule sur ma queue douloureusement dur.

Je la rejoins et me Cale entre ses jambes.
Je le saisis de nouveau de sa bouche, ma queue butant à son entrée.

Elle finit par trouver sa place et s'insérer un peu.
Ysia nous ses jambes a ma taille et d'un coup de rein je la pénètre entièrement.

Nos lèvres toujours scellées j'entame un rythme moyen.
Je veux que ça dure un peu même si je doute s'y arriver.

Elle sépare nos lèvres et gémis.

- Plus vite dit-elle.

J'accélère un peu, gardant toujours le contrôle jusqu'à ce que cette garce ressert ses parois à plusieurs reprises.
Déjà qu'elle est étroite, ce qu'elle fait manque de me faire jouir.

Je me redresse et la pilonne, brutalement.

- Oui ! Crie-t-elle.

- C'est trop bon haletais-je.

Je continue, encore et encore jusqu'à ce qu'elle hurle et explose .

Je me déchaîne.

Les premiers jets commencent à sortir alors que pousse un râle d'extase.

Je donne encore des coups de reins et me vide entièrement.

- C'était dingue haleta-t-elle.

- Je confirme repondis-je.

C'était plus que ça même.