Moi, jeune fille de 19 ans, je me décide aujourd'hui à écrire sur papier toute mes pensées, mes interrogations, mes joies et mes troubles face à ce monde, plus-que bizarre.
Je suis une lambda, j'aime appeler les personnes que je considère normale "lambda", mais comment définir une normalité indéfinissable. Les magazines nous définissent la normalité avec une top-modèle habillé en 36 voire 34, qui pèse aussi lourd que les vêtements qu'elle porte sur elle sachant que la majorité de la population féminine de ce foutu monde n'est constitué principalement que de 38, 40 et plus. La normalité des magazines est rare après la puberté. Tout sa pour dire que je définit la normalité comme le contraire de ses publicités mensongères qui ne font que complexé le plus grand nombre. Et je ne parle que des femmes, c'est le même effet chez les hommes. L'image d'un homme parfait est définit par un jeune homme musclé mais tout le monde n'est pas gâté par la nature, nous ne sommes pas des voitures avec une carrosserie musclé d'origine. Chacun à ça morphologie ! Pour la plupart sur cette terre, il faudrait passer le plus claire de son temps à la salle de sport pour ressembler au stéréotype de l'homme et de la femme parfaite.
Moi, je suis une jeune fille de 19 ans qui a eu dû mal à s'assumer pendant des années alors que je n'ai aucun problème particulier. Oui je suis petite, Oui j'ai des bonnes fesses et de bonnes cuisses mais je me porte bien, je n'ai aucun problème santé important. Quand j'ai réussi à comprendre que la vie m'offrais bien plus que de vouloir ressembler à Barbie tout à changer. J'ai tout de suite fait plus attention aux autres. J'ai regarder le monde d'un autre point de vue. Le "je me concentre uniquement sur mon nombril" était fini.
Commencer mon histoire par la normalité, n'est peut-être pas normal à vos yeux mais je n'est parlé que de normalité physique, je vais maintenant vous parler de normalité morale.
Pour moi, la normalité morale consistait dans un premier temps à m'adapter au personne que j'ai pu côtoyer durant ma vie, me poser des questions sur leurs manières de réagir, leurs manières de s'exprimer. J'ai toujours eu l'impression d'être une scientifique en train d'analyser des cobayes. J'ai tellement de questions qui peuvent me passer dans la tête à chaque moment de ma vie. Je me suis toujours souciés du regard des autres, sur moi et ma vie. Et c'est une normalité mondiale. C'est fou que la société d'aujourd'hui nous pousse à nous soucié du regard de l'autre. Comment nous trouve cette personne ? Est-ce que les gens m'apprécie ? Est-ce que les gens apprécie ma vie ? Mon maquillage ? Est-ce que les garçon me remarque ? Est-ce que les gens pense comme moi ? C'est quand même relativement ironique d'être au point de juger notre propre vie grâce au jugement de personnes qui ne connaissent même pas la moitié de ce que vous avez pu vivre durant vôtre vie.
Comme je vous l'ai dit j'ai 19 ans et je vais pas vous mentir, j'ai beau critiqué cette normalité mondiale du "je te montre comme tu veux que je sois, alors aime-moi" ou alors dans le langage d'aujourd'hui "follow me". Tout cet écrit est un peu brouillon mais j'écris comme les mots me viennes, je veux que les gens sache la personne que je suis et non la personne que je dévoile. Il est compliqué pour certaine personnes d'accepter que d'autres soit différent, en retrait, discret fac à cette effets du "je me montre pour te montrer". Les discrets se concentre sur leur vie, leurs problèmes, leurs projets et ils n'ont aucunement besoin de l'avale d'une quelconque personne. Et nous devrions être pareil...
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Mais qui suis-je ?
RandomAujourd'hui, c'est mon anniversaire, tout juste 19 ans... j'ai l'impression dans avoir 40. C'est fou, quand même, d'en arrivé à un point ou rien me paraît simple, de se demander si je fais parti d'une infime parti de la normalité humaine dans se vas...