Le lampadaire
Ô lampadaire tout de blanc vêtu,
Ô toi qui me guide dans la nuit noir
Ô sans toi je suis perdu
Mais tu es là, au bord du trottoir.
Ô géant de fer !
Où le faisceau se resserre,
Ma solitude se terre
Dans le peu de lumière.
Et les phares des voiture
Éclairant les passants,
Rivalisent telle une morsure
Avec ta lumière nous éblouissant.
Mais passé six heures,
Tu t'éteins telle une âme humaine
Mais tu reviens, après vingt heure
Avec une lumière toujours aussi saine.
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recueil
Poesíaun recueuil de poèmes de ma confection plus ou moins burlesques sur des thèmes/objets insolites et divers (attention j'écris quand je suis fatigué donc ne vous étonnez de rien).