Chapitre 25

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PDV de Marielle

Hier soir, j'aurais pu faire l'amour avec Elijah. Mais lorsque j'ais vu son truc, j'ais flippé à mort et je me désisté. En clair, je n'étais pas encore encore prête à me faire perforer le vagin ( désolé pour les enfants ). Sérieux, vous n'avez pas vu ce que j'ais vu. Il a un pénis aussi gros qu'un python. Je l'imaginais déjà la douleur que j'allais ressentir et tout mon excitation retombait illico presto.

Non, moi je vous dis, les femmes souffrent vraiment. Nous devons affronter toutes des douleurs au cours de notre vie.

D'abord, la douleur des règles ( pour celles qui ont les règles douloureuses ), ensuite, la douleur de la première fois et enfin, les douleurs de l'accouchement. A d'autres, il y a aussi les douleurs du viol et des violences conjugales ou de la maltraitance en famille.

Pourquoi es ce que c'est nous qui devrions avoir tout le temps mal. Pourquoi les garçons non pas mal à leur première fois ?
Pourquoi nos vagin ne sont pas déjà ouvert ( encore désolé pour le langage ) avant notre première fois ?

Toutes ces questions sans réponses se bousculaient dans mon cerveau.

Elijah avait été hyper déçu. Il m'avait même bouder pour ça. Mais, j'aimerais bien le voir à ma place.
Si c'était moi qui avait sa perceuse énorme et que s'était lui qui devait être percer, es ce qu'il serait toujours autant presser de passer à l'acte ?

Mais il n'était pas rester très longtemps fâcher contre moi. Faut dire qu'il n'avait pas pu resister longtemps à l'envie de me prendre dans ses bras pour s'endormir. Ainsi donc, nous avons mit nos désaccords de côté pour pouvoir se perdre dans les bras, l'un de l'autre.
J'ais passé une merveilleuse nuit avec mon amoureux. J'ais rêvé du paradis.

Aujourd'hui en se levant de lit, Elijah m'a dit qu'il avait une surprise pour moi ce soir. Mais, que je devais d'abord rencontrer ses parents. Que ceux-ci étaient impatient de faire ma connaissance et que sa mère m'aimait déjà.
Du coup, j'étais entrain de me préparer pour aller à leur villa avec Elijah. Je dois avouer que je suis un peu stressée. Elijah m'a dit que je ne devrait pas et que ses parents nous avaient déjà donné leur bénédiction, mais je n'arrive toujours pas à m'enlever de la tête que je ne leur plairais peut-être pas.

Dans tous les cas, quand faut y aller, faut y aller !

Après avoir pris un douche, j'enfilais une robe rouge fleurie, des bottines à talons noires et débouclais mes cheveux et les lissai. Je ne mis pas de rouge à lèvres. J' ais tout misé sur mes yeux verts, eyeliner, mascara, fare, tout pour faire ressortir la couleur de mes yeux. Je pris mon sac de chez " Dolce & Gabbana " et rejoignis Eli au petit salon.

Dès qu'il me vit, ses yeux noirs s'écarquillaient pour prendre la couleur écarlate. Il se leva et s'approcha de moi et m'enlaça en voulant m'embrasser. Mais, je le stoppa en mettant mon index sur ses lèvres. Il me regarda en mode " tu fais quoi là ? ".

- Pas le temps pour les bisous, mi amor. Tu sais très bien qu'on ne pourra plus s'arrêter et on sera en retard chez tes parents. Lui dis-je.

Il se recula en grognant de frustration. Puis, nous sortons de l'académie, direction la villa au bord de la mer des Carters.
Les vagues étaient hautes et brillantes, l'air sentait légèrement le poisson frais. Une grande villa trônait non loin de là. Le portail au barreaux noirs laissaient entrevoir une fontaine au centre. Le portail s'ouvrit pour laisser entre la voiture d'Elijah. Il la gara devant la maison. Nous descendîmes et mon petit ami me prit la main. Il poussa la porte qui s'ouvrit et nous pénétrâmes dans la maison.

J'avais l'impression d'être dans un grand palais. C'était woaw !
Un homme qui était habillé comme un major d'homme s'avança vers nous et nous salua à la manière chinoise. Il nous indiqua une pièce en nous disant que L'alpha suprême et sa Luna nous attendaient.
Nous le suivons et pénétrons dans la pièce. Les tapis murals étaient fait dans un style victorien, les meubles et fait de bois d'acajou, le salon constituait des fauteuilles en velours rouges.
Un couple était assit entrain de siroter ce qui semblait être du thé.

Mon Alpha Possessif (Tome 1) [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant