Elle marche comme une possédée
De la fureur, de l'ivresse
Tordent son corps sous les prunelles
Du diable, ravi, séducteur
Ah le malin !
Son cou que la poigne de satan
Détient, est doré à la lumière
Bras tendus, où luisent les veines
De l'éprise. Les veines si bleues
"Etes-vous affamée, chère''
Chantonne t-il en souriant
"Oh chère, quel plaisir coupable"
Sa voix suave murmure sur l'oreille de Chère
Elle, la hantée, de son regard névrosé
Affamée d'amour, le défit et dit
"Le diable épris de l'ange"
"Mais très chère, je suis amoureux de vous comme
Le loup aime sa proie"
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Le parfum des enlacés
PoetryCiels mauves Sur les plaines Dont les enlacés Admirent l'infini.