Je me promenais, la tête dans les nuages tel à mes habitudes. Cela maidait à quitter cette vie dont je ne voulais plus. Mon corps devenait de plus en plus lourd psychologiquement parlant. Je mourais sans que personne ne s'en apercevais. Je n'arrivais plus à me battre. L'abandon me paraissait soudain plus juste en ce moment précis. Il m'arrivait souvent de réfléchir aussi sur le fait de ne pas trouver LA PERSONNE, qui saurait maintenir cette flemme passionnelle de la vie.
Je doutais de moi comme à peu près toutes les filles de mon âge. Seulement, je n'étais pas comme elles Différentes, me correspondais le mieux !
J'avais peur du regard et de l'amour que l'on pouvait me porter. Je préférai en donner, que d'en recevoir. Je ne saurais pas vous l'expliquer ; autant me taire sur ces pensées !
Qu'importe, je pleurais tous les soirs, sans pour autant avoir été consolée par quelqu'un. Non, tout ça, je le faisais seule. Je prenais mon oreiller en guise de personne. J'écoutais ma musique et laissais mon cœur parler. La tristesse, quittait mon corps quasiment toutes les nuits et pourtant, elle revenait m'envahir tous les jours. J'avais cette faculté de ressentir des énergies, dont peut de personnes avaient la chance ou la malchance d'éprouver, de sentir et comprendre. On me qualifiait d'ailleurs d'être une personne rêveuse, or j'étais bien le contraire de ce qu'on pouvait dire ! Je ne comprenais pas comment on pouvait me connaitre sans être moi ?! Je lisais entre les lignes de chaque faits et gestes, de chaque pensées et de chaque manipulations.
Toutes ces émotions, remplissaient mon cerveau, ce qui faisais que j'étais souvent en surcharge émotionnel. Bien trop démotions, ne pouvaient pas se contenir dans un seul et même cerveau. Eh bien maintenant, vous en avez la preuve devant vos yeux.
Je puisse vous assurez, qu'il marrivait par moment de vouloir me taper la tête contre le mur, tellement cela en devenait douloureux. Je voulais réussir à faire taire ce trop-plein de pensées. Mais en vains c'était peine perdue.
M'enfin, passons le fait !
Comme qui dirait un certain personnage nommé « Albus Dumbledore », « mais vous savez, on peut trouver le bonheur même dans les moments les sombres Il suffit de se souvenir, d'allumer la lumière ». Cette phrase disait vrai sur nimporte quelle situation de notre vie, suffisait juste d'y repenser quand rien n'aller.
Lors de ma promenade dans l'autre monde, je ressentis des frissons me parcourir le long de ma colonne vertébrale. Ce qui m'obligeais à revenir dans le monde réel. A cette réaction, mon corps s'arrêta net.
Ne comprenant pas celui-ci, je me mettais à observer pour voir ce qui se passait autours de moi. La rue s'allongée sur un kilomètre. Des voitures étaient garées sur le long des trottoirs et des passants flânaient en faisant du lèche vitrine ; pour savoir ce qu'ils allaient offrir à noël pour leurs proches. Tout paraissait normal jusquà présent.
Sauf, un endroit qui me semblait peu visiter parce qu'aucunes voitures ne s'étaient garées devant et qu'aucunes personnes n'y prêter guère attention.
Je m'approchais de cette devanture et étant curieuse de savoir ce qu'elle cachait, je fus surprise de rien voir. Un vieux bois massif biscornue ornait tout le long de la vitrine. Quant à La vitre du vieux bar poussiéreux, étaient en faite une verrière en bois noire. A présent j'observais à l'intérieur qui lui, n'avait rien d'intéressant Il était littéralement vide.
Au moment où je pensée être déçus, pensant avoir trouvé un petit endroit sympa ou passer une partie de mon après-midi, pour m'y détendre. Parce que oui, j'aime les petits coins qui paraisse sans vie. Souvent, on peut y faire de belle découverte.
Du coin de l'œil, je fus surprise de voir quelqu'un s'approcher de la porte d'entrée. Elle allait l'enclencher quand elle m'aperçut. Cette jeune femme, ne fut pas surprise de me voir ici, elle me sourit puis entra dans le bar. Curieuse, je regardais autour de moi pourvoir si quelqu'un faisait attention à ce que je faisais. Mais comme d'habitude, j'étais transparente. Je soufflais tristement et décidais de rentré.
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Retour d'un amour D'Antan
FantasíaAlors que Soraya, mourait petit à petit, elle va faire une découverte d'un endroit qui l'a sauvera de son combat intérieur perpétuel. Qui saura l'aider et quel choix fera t-elle?