Him and her||o.d

05 [h.s]

-A contre sens-

Il avait fallut qu’un conducteur soit à contre-sens, qu’il n’ait pas le temps de voir la jeune fille, tellement qu’il était saoule. Il avait fallut de ça, pour retiré la vie à l’âme-sœur d’Harry. Il avait juste fallut cela, que pour détruire le jeune homme, que pour rendre en un tas d’os et de chair. Il avait fallut qu’en plus, le conducteur parte comme si de rien n’était, comme s’il n’avait rien fait. Il était saoule on pouvait le comprendre. Harry s’en voulait, d’avoir été à des kilomètres de là, dans une autre ville, sur un autre continent, et d’avoir été en répétition lorsqu’on l’avait appelé, et qu’il n’avait pas donc pas son cellulaire sur lui. Il avait juste fallut d’un décalage horaire, que ce soit le soir en Angleterre et que la jeune fille ait, une soudaine envie de jambon fumé.

Harry riait et se moquait de l’addiction de sa petite amie pour le jambon fumé, en particulier l’italien. Il s’en voulait à présent, de ne pas avoir fait un stock à la maison avant de partir. Il se doutait que plus, elle en avait, plus vite elle l’aurait finit. Il s’en voulait pour tellement de chose. Notamment de ne pas avoir pu être là, quand le cœur de la jeune fille cherchait comment à battre, cherchait comment il fallait faire, parce que c’était comme s’il avait oublié de le faire. Harry s’en voulait de ne pas avoir assez profité de la vie avec celle qu’il aimait, et qu’il aimera toujours.

Maintenant qu’elle est dans le ciel, elle n’aura plus à attendre que son homme revienne après 5 mois, de son travail de chanteur. Elle n’avait plus à l’attendre, plus sur terre, avec une émission télévisée qui la dépassait et dont elle n’accordait aucune importance, étant trop dans les pensées de tous ce que son amoureux pour encore lui raconté sur la tournée, les fans, et ses quatre meilleurs amis et leur façon d’être complètement immature mais en l’étant comme même, mais surtout, sur la façon dont elle lui avait manquée, malgré tous les coups de téléphone, tous les appels Skype, tous les messages, tous les e-mails, toutes les lettres qu’Harry pouvait lui envoyés. Parce qu’il n’y avait jamais assez pour sa copine, parce que dans sa tête, il n’en faisait jamais assez pour la comblé, mais que dans la tête de la jeune fille, c’était le contraire. Il en faisait trop, beaucoup trop, il se prenait trop la tête, mais c’était tellement adorable, touchant, mignon, hilarant aussi, qu’elle n’avait pas osée le lui dire. Maintenant, elle est partie dans le ciel, laissant Harry avec un cœur vide, plus assez d’eau en lui que pour pleuré sur sa tombe, avec pas assez de souvenirs que pour se dire que sa petite amie a vécue pleinement, avec l’incertitude de ce qu’aurait pu être le futur, avec la sensation de n’avoir jamais fait assez, avec le sentiment de n’avoir jamais assez fait pour elle, de n’avoir pas été à la hauteur pour elle. Mais il avait été tout cela, avant qu’elle ne parte, pour du jambon fumé.

Il était mal en point, avait tout laissé en plan, même ses amis qui avaient tentés de gardés des contacts avec lui, mais rien n’y allait, rien n’y faisait. Tout cela était du passé. Un passé qui rongeait Harry et le faisait sans vouloir à lui-même, alors qu’il n’était en rien coupable de quelque chose. Coupable d’être amoureux, peut-être, mais on ne peut pas être coupable de cette folie. Il avait été fou d’elle, il l’était encore et le restera sûrement encore toute sa vie. Au point même, où il ne fera plus jamais rien de sa vie, à par que l’erreur qu’il est entrain de faire. La pendaison est habituellement utilisée pour ceux qui ont pêchés, mais Harry se sentait pêcheur, pêcheur de ne pas avoir été assez là pour celle qu’il aimait. Il avait pêché, maintenant qu’il avait mit fin à ses jours, 12 mois après, à la même heure, à la même minute, à une seconde d’intervalle de son amoureuse. Juste une seconde de différence, la seconde pour Harry de rendre son dernier souffle avant d’accourir chez la jeune fille. Dans le ciel, l’amour a encore moins de limité que sur terre. Si peut qu’Harry la retrouve là-bas.