Une infime clarté dans les ténèbres

Chapitre 15 : Attente

POV Drago

Ça prend quelques secondes pour que tout le monde réagisse et comprennent que les prisonniers ont réussi à s'enfuir sous le nez de tout le monde et même du Reptile en personne.

-AAAAAAAHHHHHHHHH!!!! Cri le Maître avant de porter son attention sur les mangemorts qui ce sont charger des sorts de protection et d'anti-transplanage. Ils n'ont même pas le temps de s'expliquer devant leur incompétence avant de se faire envoyer un sort de mort, tombant au sol dans un son assourdissant. Personne n'ose bouger, parler ou même respirer trop fort pour éviter d'être la prochaine personne qui s'attire l'attention du saurien.

Alors, elle a toujours pu s'en aller! Elle a fait le choix de rester... Mais pourquoi?

POV Hermione alias Clara

Lorsqu'on apparaît chez Peter, on mène notre père directement dans la chambre d'ami pour qu'il se repose et Peter va à l'armoire en courant pour trouver des potions pour l'aider. Pendant que je suis seule avec mon père, je lui pose une question qui me brûle les lèvres depuis quelques temps :

-Tu as dit que tu avais vécu bien pire que les séances de torture, tu faisais référence à quoi?

Il ouvre les yeux et reprend son souffle avant de me répondre ironiquement :

-Tu as déjà essayer de contredire ta mère! ÇA c'était dangereux! Sans parler des tortures qu'elle m'infligeait... Celle que j'ai connu ces derniers jours n'étaient rien comparer aux siennes. dit-il en souriant aux souvenirs. Il se tourne vers mon frère lorsqu'il entre de nouveau dans la chambre les bras rempli. Peter un conseil mon fils : ne contredis ou ne met JAMAIS Izzy en colère sinon tu es déjà un homme mort!

Je regarde mon père complètement sérieux en disant ça et mon frère qui boit ses paroles comme si c'était de l'or en barre, avant d'éclater littéralement de rire face à la scène aberrante qui se déroule devant moi sans pouvoir m'arrêter avant de nombreuses minutes, ce qui a pour effet d'enlèver toute la tension qui y régnait encore dans la pièce.

Après avoir guérit Cole, Peter et moi sortons de la chambre pour le laisser se reposer. Peter va directement dans la cuisine pour me faire un vrai repas après plusieurs journée de ration. Pendant ce temps, je décides d'aller prendre une douche pour m'enlever de toute les saletés que j'ai encore sur moi avec cette captivité. Lorsque je sors de la salle de bain pour me rendre dans la chambre de ma belle-sœur vêtue de ma serviette pour seul vêtement, je demandes à mon frère :

-Je peux emprunter des vêtements à Izzy?

-Évidemment, sers-toi! Me lance-t-il depuis la cuisine.

En arrivant devant le placard d'Izzy, je prends les vêtements qui couvre le plus, vu qu'elle est pour le moins décomplexée et c'est encore un euphémisme pour décrire les goûts vestimentaire de ma belle-sœur. En prenant le temps de m'habiller mon regard défile sur ma silhouette pour voir le résultat dans un grand miroir qui permet de me voir en entier. Mon regard tombe directement sur mon épaule gauche vierge de tout motif pour encore un peu plus d'une année et je repenses à ce que mon père m'a révélé sur notre famille, nos liens de parenté avec le sorcier le plus maléfique et le symbole qui va reprendre sa place trop tôt à mon goût... Le reste de la soirée se déroule tranquillement. Je manges avec mon grand frère en discutant de nos derniers jours passés avant de poursuivre notre discussion vers des sujets plus léger, puis on va se coucher.

Lorsque je me retrouves enfin seule dans l'ombscurité de ma chambre attitré, je repenses à mes discussions avec Drago et Narcissa, ils ont réussi à avoir ma sympathie. J'aimerais tellement trouver un moyen pour les aider, les sortirs de l'enfer qu'ils vivent depuis trop longtemps selon moi. Tout d'un coup, je ressens une douleur équivalente à un coup de poignard qui augmente comme si on tournait et retournait le couteau dans la plaie déante. Un besoin inconnu et incommensurable me met le coeur en étau. Je suis sur le point de répondre à se besoin pour soulager ma douleur vicérale lorsque mon père entre dans la chambre, appeler par ma détresse. Il arrête mes mouvements et me serre dans ses bras pour me rassurer. J'essaie de me débattre comme une posséder pour me libérer de son emprise, mais mon père resert instinctivement sa prise sur mes membres.