enceinte de mon père

Chapitre 7

ENCEINTE DE MON PÈRE
.
PARTIE: 7

30 minutes apres je n'arrivais pas a dormir , je
me sentais toute barbouillée , j'avais d'affreuses
douleurs au ventree qui devenaient de plus en
plus fortes , j'avais mal , je tournais et me
retournais sur le lit je n'en pouvais plus je me
suis levée , j'etais courbée jai allumé la lampe et
là l'horreur
Le lit était recouvert de sang par terre aussi , je
me suis mise a genoux je n'en pouvais plus
j'avais de plus en plus mal j'ouvre la porte tant
bien et que mal et essaie d'appeler Tati Aidaa , je
ne voulais pas reveiller tout le monde j'avais peur
qu'on me mette a la porte
Moi accroupi dans le couloir : Tata Aida , tata
Aida
Je ne recevais aucune reponse j'avais trop mal et
je perdais toujours du sang .
Soudain une porte s'ouvrit s'etait elle . Je me
suis sentie un peu soulagée
Elle : Oh mon Dieu ADAMAAAA
Elle courut vers moi et tint ma tete
Elle : Adama tu saignes Oh mon Dieu nous
devons aller...
Je n'ai pas eu le temps d'entendre la suite , je
n'etais plus du tout consciente.
J'ouvre les yeux je vois les murs tout blanc , ma
vision est un peu floue je sens un masque sur
mon visage , c'etait un masque a oxygene. Je
souleve ma main on m'avait perfusé je
comprends que je suis a l'hopital , je me mets a
pleurer .. Jentends une voix.
: Adama enfin tu es reveillée
Je me tourne je vois Tata Aida
Je me demandais si elle etait au courant pour ma
grossesse et surtout je me demandais si j'avais
toujours mon bébé
Moi : Tata je suis desolée je voulais vous le dire
mais ... mais j'avais trop honte
Elle : De quoi tu parles Adama ?
Moi : Donc vous ne savez pas ?
Elle : ????
Moi : En faite... je suis... enceinte Tata Aida
Elle : O.O Quoi Adama , le docteur ne m'a rien dit
il preferrait attendre que tu te reveilles je
comprends maintenant certaines femmes
enceintes ne doivent pas prendre certains
medicaments au risque de perdre leur grossesse
Adama pourquoi ne ma tu rien dit tu as peut etre
perdu ton enfant
Moi : J'avais trop honte bien trop honte et j'avais
peur , peur que vous me jetiez dehors , vous etes
si gentille , svp ne me mettez pas a la porte
Elle : Je ne te metterai aucunement a la porte
Adama mais ne me mens plus , pour l'instant ce
qui compte c'est de savoir si ton bebe va bien .
je vais chercher le medecin
Elle sort de la chambre , j'etais angoissée et
partagée , d'un coté perdre se bebe m'aurait fait
enormement de mal car je le sentais deja en moi
mais d'un autre cet enfant etait le seul lien qui me
restait avec ce monstre qu'est mon pere . Je
reflechissais donc quand le Tata Aida entra sans
le medecin .
Elle me regarda longuement vint me caressa la
tete puis me dit :
Ton bebe est sain et sauf Adama Dieu Merci
Ma reaction a moi je ne my attendais mm pas je
pleurais de joie en touchant mon ventre , j'etais
tellement contente
Moi : Dieu merci , merci mon Dieu merci
Tata Aida: Il faudra rester ici deux ou 3 jours pour
verifier qu'il n y a plus aucun risque , ne tinquiete
pas je vais m'occuper de toi . Tu es desormais
ma seconde fille
A ces paroles je ressentis un grand soulagement ,
Dieu m'avait envoyé un ange , une deuxieme mere
. La vie on dirait etai entrain de me sourire
Tata Aida me sortit de mes pensées : Adama je
dois quand mm te demander, qui est le pere de
cet enfant ?
A ces mots jai cru que j'allais m'evanouir...
Tout d0un coup on aurait dit que j'avais perdu
toutes mes capicités a parler , vous savez
l'expression donner sa langue au chat ? Elle eu
tout son sens le jour la .
Moi : Euuh ... Euh
Je commençais a paniquer je ne savais pas quoi
dire je perdais mon sang froid , je ne pouvais
quand mm pas lui dire que cet enfant etait de
mon propre père , vous imaginez un peu. J'avais
bien trop trop honte et elle n'allait sans doute
pas comprendre.
Tata Aida : Heey ne panique pas Adama si tu ne
te sens pas prete a en parler , n'en parlons pas ,
c'est ton droit de ne pas vouloir en parler ,
saches juste que je ne te juge pas et cet enfant
on s'en occupera ensemble
Moi : Tata Aida pourquoi etes vous si gentille
avec moi ? Vous me connaissez a peine et vous
en avez deja fait tant
Elle eclata de rire : Cesse de raconter des betises
veux tu , tu es venue sonner a ma porte , des le
moment ou tu as franchi le seuil de ma maison je
suis devenue responsable de toi .Ma fille aurait
pu etre a ta place tu sais A CHACUN SON
DESTIN .
( Ces mots je ne cesse de les repeter car ils
m'ont marqué au fer rouge , cela m'a permis de
comprendre beaucoup de choses . Tout est deja
ecrit dans la vie les chemins sont tracés donc
quoi qu'il puisse vous arriver dans la vie gardez
cela en tete car ce qui doit arriver arrivera )
Moi : En tout cas merci pour tout In Shaa Allah je
vous rendrai tout cela merci
Elle : Ne me remercie pas repose toi maintenant
moi je dois rentrer pour voir Imen et Bernard (Son
mari) demain a la premiere heure je srai la si Dieu
le veut
Moi : D'accord , merci beaucoup encore et rentrez
bien .
Durant mon sejour a l'hopital , rien de special ne
s'etait passé , Tata Aida venait me voir 2 fois par
jour , avant d'aller a son travail et avant de
rentrer , elle m'ammenait tout pleins de choses a
manger et des habits a porter elle etait si gentille
.
Vint le jour ou je pu rentrer elle vint me chercher
en voiture j'allais enfin rencontrer Imen et Oncle
Bernard . J'apprehendais un peu mais Tata Aida
me disait qu'ils etaient gentils je le croyais .
Nous arrivames a la maison .
Tata aida sonna une femme vint ouvrir : Ah
bonjour madame vs revenez deja ?
Elle : Bonjour Fatou oui j'ai du aller chercher
Adama voila la fille dont je vous ai parlé
Moi : Bonjour
Elle : Bonjour ma chere Adama ravi de faire ta
connaissance je suis Fatou la gouvernante ,
Madame m'a longtemps parlé de vous
Moi : De mm fatou
Tata Aida : Bon rentrons que je te presente Imen
et Mon mari ils sont au salon
Moi : D'accord
Fatou : Amenes je vais te debarasser de tes
bagages
Moi : Oh non merci e ne veux pas vous embeter
Elle : Mais non voyon allez
Elle aussi elle etait gentille
Je lui donna donc mes sacs et je suivi tata Aida
au salon
Elle entra et dit : La voila enfi la petite Adama ,
ma petite cherie
J'entrais d'un pas timide et vint vers eux
Oncle Bernard : Mais entre donc ne sois pas
timide ma petite , ma cherie avait raison , tu es
adorable Enchanté de te connaitre enfin , aida
nous fatigue avec elle dit que tu es exceptionelle
Moi : C'est elle qui l'est
Lui : en tout cas tu es le bien venu parmis nous
ici c'est chez toi sois a l'aise
La gentillesse de ces gens me depassaient :O
Tata Aida : Bon Adama voici ma fille IMEN
Je me retourne pour la saluer :O elle etait
tellement belle je n'en revenais pas , une metisse
comme moi , mais tellement plus belle les
cheveux noirs bouclés de gros yeux noisettes des
levres d'un rose . Elle portait une robe et avot un
regard froid
Je lui tendit la main pour la saluer elle ne la prit
pas et me lança un salut sec .
Je redescendis ma main toute honteuse
Tata Aida : Euh . Bon on va monter tu dois etre
fatiguée , on parlera de travail plus tard d'accord
Moi : D'accord
Je dit a tout a lheure aux deux , seul Oncle
Bernard avait repondu decidement cette Imen ne
m'aimait pas cela ce confirmait .
Mais je ne me plaignais aucunement Dieu m'avait
deja tant donné
Je monte dans la chambre, Tata Aida m'indique
le placard , elle m'avait acheté pleins d'habits des
effets de toilettes des chaussures te mm des
parfums j'etais choquee :O
Elle : Cs ma petite surprise
La c'etait trop je fonds en larmes dans ces bras
Moi : MERCI MILLES FOIS MERCI
Elle : Ce n'est rien je te dis que tu es ma fille ,
tu es exceptionnelle ADama , il y a quelque chose
en toi que je sens . cs inexpliqueble seche tes
lqames prends ta douche et repose toi je dois
retourner au bureau si tu as besoin de quelque
chose dis le a Fatou , quand tu sera prete elle te
montrera ce que tu dois faire . Bisou ma cherie
Je la serra fort dans mes bras et elle me fit un
bisou avant de partir .
On aurait dit que je vivais un reve je comtemplais
l'armoire quand saoudain une voix me sortit de
mes pensees
La voix : Donc donc donc Cs toi la batarde que
maman a ramené a la maison ...
Je sentais bien qu'une autre bataille venait de
s'annoncer ...

a suivre ...