Je continuerai à respirer, même si je ne fais que ce que je peux.
En me reposant sur quelqu'un d'autre.
Je continuerai à respirer.
Les relations qui n'existent qu'à un moment donné.
Même si je me lamente en disant que quelque chose ne va pas,
Il semble que je ne comprenne toujours rien.
J'ai baissé les yeux sur tous les liens que j'ai brisé.
Même si je suis si seul que j'en pleure.
Personne ne semble s'en soucier.
Et c'est normal.
Et à nouveau, la solitude m'envahit.
La punition pour m'être recroquevillé toutes ces fois,Serre ma poitrine et plante ses crocs
Sans que je ne m'en rende compte, la "solitude" s'est installée.
Seul mon cœur l'a remarqué.
Je sombre dans l'impuissance qu'est "se sentir seul"
Je ne peux plus revenir en arrière.
Même à ces choses que j'ai abandonné.
En disant "c'est pénible"
Peu importe combien de fois je pleurerai.
Mon cœur se fissure.
Pour qu'il ne soit pas brisé,
Pour que je ne le brise pas,
Je l'ai protégé avec mes mains immatures
J'ai fini par m'épuiser et
l'écraser
A cause d'émotions plus que triviales, n'est-ce pas ?
Il semble que même si je pleure la tête dans mes genoux,
Rien ne changera,
même pas pour mes sanglots.
Même si la nuit les avale,
Même si la lune brille par-dessus,
Cela ne disparaîtra pas
Cela ne disparaît pas
En regardant uniquement la vérité
Je ne guérirai pas
Je ne peux rien dire
Contre la voix que j'ai caché,
Contre moi-même,
L'isolement est ce que je mérite le plus.
Pour les actes impardonnables que j'ai commis.
J'aimerais retourné vers un passé proche pour tout changer.
Mais cela est impossible.
Même si je me hais.
Même si je suis le coupable.
Je ne pourrais repayé le mal que j'ai fais.
Mes larmes ne sont que plaintes.
Les douleurs engendrés par ma faute.
Sont ce que je suis et je ne mérite que d'être punis.
Au fond je veux dire "Désolé."
Mais ce mot ne mérite pas d'être dit tout comme je suis.