Chapitre 1

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Je suis dans un orphelinat qui nous frappe dès que l'on fait la moindre bêtise ou qu'on ne va pas en cours sans raison valable. Je suis fatiguée d'être ici vu que je suis une rebelle qui déteste être contrôlée par des gens qui n'ont aucun sens moral. Depuis un bout de temps, je pense à me sauver de cet établissement horrible et sans conscience de qu'on est des êtres vivants. Je trouve que ce n'est pas humain. Je me sens révoltée contre ce genre d'humain qui n'ont aucun sens de la vie en nous inflige de telle punition corporelle. Désolé, je suis tellement en colère que j'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Alice. J'ai 17 ans. Mon corps est couvert de blessures et de brûlures. Mes cheveux n'ont pas une couleur comme les autres, je les ai blanc. je ne suis pas très grande. J'ai les yeux jaunes. Bon, j'ai fini de parler de moi. Je dois en ce moment même aller à l'école, sinon je vais finir dans le bureau du proviseur de l'orphelinat. Qui va me hurler après et demander de me donner des corrections corporelles qui vont être extrêmement douloureuse avec les hématomes que j'ai déjà sur tout le corps. Je suis entrain de me rendre dans ma salle de cours. J'ai sauté une classe parce que j'étais beaucoup trop intelligente pour être en secondaire 1 quand j'avais 11 ans. Bon, je rejoins ma place qui est à côté de la fenêtre. Mon seul souhait est de partir d'ici et d'être dans une bonne famille aimante. Après de longs cours plates que je viens de subir. Je retourne dans ma chambre que je partage avec une jeune fille qui me parle jamais à cause que les enfants de l'orphelinat ont dit que j'étais malade parce que mon apparence qui ne serait pas normal selon eux pour moi je suis tout à fait normale. Ils ne me comprendront jamais. Je m'assis dans mon lit en lâchant un grand soupir de fatigue ce qui fait sursauter la jeune fille. Soudainement, les interphones se mirent grichés, puis j'ai entendu le directeur de l'établissement dire:
DIRECTEUR-Alice, je te veux dans mon bureau immédiatement!!!!
Je me suis levée très rapidement pour pas subir une plus grave punition que nous subissions normalement. J'ai couru jusqu'au bureau appelé. Je suis devant la porte. Je rentre sans frapper à la porte.Le directeur avait l'air énervée sur le visage que je m'en fiche. Je viens de remarquer qu'il avait quelqu'un devant lui qui ne porte pas d'importance à mon entrée dans la pièce. Le directeur se mit à me crier dessus.
DIRECTEUR- Tu n'as jamais appris à frapper à la porte avec ta grande intelligence, puis tu ne comprends jamais avec tous ce que je t'ai appris.
???- Monsieur, calmez-vous, elle n'a rien cassé dans votre bureau et de toute façon c'est vous qui l'avez appelé dans votre bureau justement. Bon, passez-moi les papiers d'adoption. Je ne laisserai pas une minute de plus cette enfant ici.

Le directeur me regardait d'une façon qui me fait froid dans le dos. Le directeur lui donne les papier. Il signe les feuilles devant mes yeux. Le directeur me dit:
DIRECTEUR- Vas-y. cherchez tes affaires maintenant.
Je fis non de ma tête. Je regarde la personne qui est entrain de finir de signer les papiers. Le directeur me dit:

DIRECTEUR- Je ne me répéterais pas une fois de plus vas-y maintenant.

???- Laissez- la tranquille. Jeune fille voulez- vous que je vienne avec vous?

ALICE- oui, j'aimerais bien , monsieur.

Le directeur me regarde avec des yeux de meurtrier. L'homme devant moi donne les papiers de mon adoption à celui-ci. Il se lève de sa chaise et le directeur dit au monsieur:

DIRECTEUR- Vous serrez mieux en restant ici à l'attendre

???- Non, je serai mieux avec elle, puis elle doit sûrement avoir besoin d'aide. Est -ce que vous avez quelque chose à cacher?

DIRECTEUR- C'est interdit aux gens qui ont adoptés des enfants de les accompagnés à leurs chambres.
ALICE- Monsieur, je ne veux pas y allée toute seule.
Il me regardait dans les yeux qui n'avait pas une couleur normale. Ils sont d'un rose pâle sous ses lunettes rectangulaire.J'avais l'impression qu'il regardait au plus profond de mon âme. Il coupa les quelques secondes de silence dans la pièce. Il regarde le proviseur de l'orphelinat. Il lui dit d'un ton froid:
???- Je vais avec elle quoi qu'il en soit.
Il me suit dans les couloirs. On marche et les enfants me regardent bizarrement. Je n'y porte pas attention à leurs regards qui me lancent par habitude. La personne qui est à côté de moi me demande:
???- Pourquoi il te regarde comme ça?
ALICE- j'ai toujours été regardé comme ça et je suis plus intelligente. Je suis en secondaire 5. Mais, je crois que c'est reliée à mon apparence. Depuis que je suis ici qu'ils sont comme ça.
On arrive déjà devant la porte de la chambre. J'ouvre la porte. Je vis la jeune fille sur son lit à mon apparition. Elle se mit à trembler de tout son corps. On entra, puis je lui dis d'une voix douce.
ALICE- Je ne serais plus venir. Tu ne me verras plus.
Je sortis une valise dessous du lit. Je pris le peu d'affaire que j'ai. Je la pris . Je sortis de la pièce qui m'a servis de chambre pendant plusieurs années sans être sortis. On sortit dehors. Je vis qu'une limousine stationnée devant l'entrée. Il me dit:
???- Tu peux monté. C'est la limousine de ma famille. En faite, je ne suis pas la personne qui t'a réellement  adopté parce que mon père m'a demandé de signer pour lui. Excuse-moi j'ai oublié de me présenter. Je m'appelle Reiji Samasaki,le deuxième fils de Ritcher.
Il me fait signe de monter ce que je fis rapidement. Dans la limousine, il me regarde de la tête au pied. Je lui posa une question:
ALICE- Reiji, est ce que je peux vous demandez quelque chose?
REIJI- Bien sûr.
ALICE- Est-ce que vous trouvez que mes cheveux et mes yeux sont bizarres pour une simple humaine?
REIJI- Pour moi, tu es toute à faite normale. Je dirai que tu es unique pour être exacte pour une humaine.
ALICE- Merci beaucoup Reiji. Je suis rassurée, mais j'ai l'impression que tu n'es pas une personne normale.
REIJI- Exactement, je ne suis pas humain ni mes frères justement, mais on ne fera jamais de mal à un humain qui n'a pas commis d'atrocité.
ALICE- Je ne comprends pas. Vous pouvez être plus claire s'il te plaît.
Il ouvrit la bouche juste assez pour voir deux canines très pointues. J'approche un doigt de sa bouche. J'y touche. Reiji me regarde d'un air abasourdis par mon geste que je viens de faire parce que pour un être humain aurait dû être terrifié, mais je n'ai pas peur. Je me sens comme s'il ne serait pas un buveur de sang. Je l'enlève. Je lui dis:
ALICE- Je m'excuse de mon geste.
REIJI- Ce n'est pas grave. Je sais contrôlé mon envie. Tu m'as surpris parce que quand les gens l'apprennent. Ils veulent partir en courant, puis il font une crise de panique à cette vue.
ALICE- Je ne sais pas. Je vous fais confiance, puis à l'orphelinat quand je vous ai demandé de me suivre parce que le directeur avait l'intention de m'infligé une punition corporelle pendant que je vais cherché mes affaires, une punition corporelle parce que je n'avais pas frappée à la porte avant d'entrée.
REIJI- Est-ce que tu as reçu des coups pour rien
ALICE- Oui ,parce que quand personne ne fessait de gaffe. Il me frappait et me traitait de monstre.
La voiture s'arrête devant un superbe manoir.(image en haut de l'histoire)On sortit de la voiture en prenant ma petite valise. Je marche derrière lui. Il m'ouvrit la porte. Il me laisse entré tel un gentleman. La porte se referme. Je le suis. On arrive à un magnifique salon avec des meubles qui datent de l'époque victorien. Je pose mon bagage au sol. Il disparût sous mon regard. Je relève mes yeux vers Reiji. Il me fit le signe de ne pas m' en faire. Je m'assis sur un fauteuil avec un tissus violet en velours. Je vis six garçons faire apparition dans le salon. Je sentis que l'un d'eux me renifle. Je ne fis aucun mouvement. Il me dit à l'oreille:
???- Tu sens bon. J'ai envie de te goûter ton sang.
Mon réflexe, je sautais par dessus du fauteuil en lui donnant sur coup de pied retourné au visage. Reiji me regarde surpris. Je regarde la personne et je lui hurle:
ALICE- SALE PERVERS, TU NE ME TOUCHE JAMAIS, SINON TU NE GOÛTERAS JAMAIS MON SANG ET MON CORPS . TU VAS AVOIR DES COUPS TRÈS VIOLENT.
Je pris une grande respiration pour me calmer des paroles de ce sale pervers. Je regarde Reiji, puis je lui montre qui peut me les présentés. Reiji prit la parole:
REIJI-Bonjour, moi c'est Reiji Samasaki. Celui qui dort sur le canapé avec des écouteurs dans les oreilles, il s'appelle Shu Samasaki, l'aînée de la famille. Les triplés, celui au chapeau qui t'a reniflé c'est Raito. celui avec le foulard rouge c'est Ayato. Celui qui tiens la peluche ourson c'est Kanato.
KANATO- Ce n'est pas une peluche.C'est Teddy.
ALICE-Alors Teddy va avoir une amie c'est Rose qui est aussi spécial.
Il me fait un beau sourire et il se calma. Reiji poursuivit:
REIJI- Et le jeune. Celui aux cheveux blanc aux pointes roses. Il s'appelle Subaru.
J'entendis un coup raisonné contre le mur du grand salon. Je regarde la personne qui donné le coup. Je vis un tête aux cheveux d'un blanc qui va sur le rose. Je vis le regard de Reiji le regarder d'un regard autoritaire pendant que Subaru me dévisage. Je pris la parole:
ALICE- Enchantée de faire votre connaissance. J'espère que je vais être bien accueillie parmi vous.
Il a un silence de mort qui plane dans la pièce ce qui me mit très malaise. Tout à coup, Subaru s'approche de moi. Il me fixe de ses yeux rouges avec intensité. Je ne baisse pas les yeux face à lui. Il finit par arrêter. Il me dit:
SUBARU-Tu es vraiment bizarre pour une simple humaine qui n'as pas peur de nous et en plus la couleur de tes yeux sont spéciales pour une humaine.
ALICE- Je les ai comme ça depuis ma naissance. Bon, j'aimerais défaire mes valises s'il vous plaît même si je n'ai pas grand chose.
REIJI- Bien sûr, je vais demandé à Subaru de t'amener à ta chambre parce que je ne sais pas combien de fois de  dit de ne rien détruire dans ce manoir. Désolé j'ai oublié la jeune fille qui est ici présenter.
ALICE- Je m'appelle Alice et j'ai 17 ans et je suis en terminale. C'est tout que vous devez savoir à mon sujet. Bon, je peux partir ranger mes affaires.
REIJI- Oui tu peux partir. Je viens te chercher pour l'heure du repas.
ALICE- Merci beaucoup.
Subaru tourna les talons et je le suivis dans le couloir qui sont pas très bien éclairé. Il s'arrêtait brusquement devant une porte de couleur violette. Il ouvrit la porte. Je vois un super décor luxueux. Il avait un super bureau de travail dans la pièce et une chaise toute coussinée qui doit être super confortable. Il me dit:

SUBARU-Bon, je vais y aller. À plus tard.
ALICE - Merci et à plus.
Il partit. J'entre dans la pièce. Les valises sont au pied de mon lit.

À SUIVRE.

La grande famille  SamasakiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant