amour et désespoir

chapitre 1

-Sale peste debout.

J’étais trempé de la tête au pied car la personne que je déteste le plus au monde, venait de me jeter un seau d’eau glacé dessus.

Je m’étais relevé  de mon lit en sursaut, en tremblant à cause du choc thermique que je venais de subir. Ce n’était pas la première fois que j’étais réveillé comme ça par ma détestable et horrible belle-mère.

-Hahahaha alors pétasse, ta petite douche matinale t’a plus ?

-Vas crever !!!

Forcément, vous devez-vous dire que ma belle-mère n’en était pas restée là après ce que je lui avais craché au visage.

Cette dernière me pris par les cheveux en colère, et me traina par terre en tirant sur mes cheveux. J’hurlais sous l’effet de la douleur car je ne m’étais pas relevé sous le coup de la surprise, ce qui faisait que j’étais par terre en train d’hurler la mort. Ma belle-mère me traîna jusque dans la salle de bain, fit couler l’eau de la douche au plus froid. Elle attendit une minutes ou deux puis avec une force surhumaine me balança dans cette dernière et me mis sous l’eau.

-Alors sale petite trainée, tu es réveillé ?

-Oui, mais arrête je t’en pris, j’ai froid.

-Ha ! Ca c’est le meilleur. Mademoiselle la pute à froid.

-Je me demande qui l’est de nous deux.

-Ta gueule, je t’ais pas demandé ton avis.

-Ha bon ? Je croyais. Mina.

Elle me tira par les cheveux, et on descendit les escaliers comme ça. Elle debout, moi allongé sur le dos hurlant de douleur.

Cette dernière me jeta sur le carrelage de la salle à manger.

Elle me tendit un seau et une serpillère.

-T’as intérêt à avoir fini dans une demi heure sinon tu sais ce qui t’attendra. Me dit-elle (sèchement).

Je fis couler de l’eau chaude dans le seau, puis à laver le rez-de-chaussée. Vingt minutes plus tard, j’avais fini de passer la toile, alors j’allais dans la cuisine pour me préparer mon petit déjeuner.

-Qu’est-ce tu fous la grosse ?

-J’ai faim, ça te dérange peut être ?

-Tu ne me parle pas sur ce ton la grosse. Et oui ça me dérange car c’est pas toi qui paye la bouffe ici.

-Parce que c’est toi peut être ?

-Sale garce.

Elle prit fermement mes cheveux dans sa main et me balançais sur un meuble de la cuisine. Ma tête heurta le coin du plan de travaille. Cela m’arracha un horrible cri de douleur. Je suis tombée par terre sur les genoux, je pleurais, parce que j’avais mal.

-Debout connasse !

-NON !

-Tu vas payer pour m’avoir répondu.

Elle me tint les deux bras en l’air tant bien que mal, car je me débattais. Elle me mit un coup de genou dans le nez. Celui-ci craqua. C’est pas vrai dites-moi qu’elle ne m’a pas cassée le nez.

-Tu l’as mérité sale garce.

Je pleurais encore. Elle me prit par les cheveux et me traina dans la cave, cave qui me sert de chambre quand mon père n’est pas là.

-A demain sale garce.