chapitre 2

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Amanda posa délicatement son précieux fardeau au pied de l'escalier, remonta doucement dans sa chambre sans faire de bruit saisie un couteau et son téléphone puis redescendit au salon. Eh bien, si c'était des voleurs, ils n'étaient pas très doués dans l'art de la discrétion car on pouvait entendre une voix grave pesté contre une autre.

Elle pénétra dans le salon, s'approcha d'eux sans qu'ils ne s'en rendent compte car ils étaient de dos.

L'un était brun et grand, très grand environ 1m90. De bien dos ont ne voyais qu'un long manteau noir, seul ses mains étaient recouvert de gangs rouge. L'autre   était plutôt petit, il faisait à peine la même taille que Lili et ses vêtements était entièrement vert; du chapeau aux  chaussures.

- On peut savoir qui vous êtes et ce que vous faites chez moi? Dit-elle pour signaler sa présence.

Il se figèrent instantanément. Le plus petit se retournait en premier. Son visage assez mature n'allait pas avec sa taille.

- Oh oh, l'entendit-elle souffler.

Elle brandit le couteau contre eux et le grand se retourna à son tour mais très lentement . Amanda cligna les yeux plusieurs fois croyant être victime d'une hallucination: une paire d'yeux d'un gris si éclatante qu'il tendait  presque au blanc la strutèrent avec attention. Ils gardait néanmoins quelques chose de sombre et très mystérieux. Un nez droit et une bouche sensuelle et une mâchoire volontaire.

Il était beau.

Sa conscience lui cria de revenir à la raison mais elle ne l'écouta pas et ne pu s'empêcher de continuer sa description.

Un corps sculpturale taillé dans du marbre : des épaules larges, une musculature terrifiante. Elle avala difficilement la salive, se reprennent de sa transe.

- Qui...

Elle se racla la gorge dans le but de prendre de l'assurance.

- Qui êtes-vous ?

- Monsieur Santa je crois qu'on a un problème, souffla le petit homme.

Il ne l'avait pas quitté des yeux une seule fois.

- Je l'avais remarquer petit homme, répondit-il d'une voix sombre rauque.

Il commença à avancer vers elle et Amanda récula de peur. Il était trop imposant et elle se doutait qu'elle était ridicule avec sa petite taille et son couteau domestique

- N'approchez pas. J'ai... j'ai une arme et je n'hésiterai pas à m'en servir, réussi-t-elle à dire d'une voix tremblante.

Il ne semblait pas l'avoir entendu et malgré que son couteau était pointé droit sur lui; il continuait à avancer telle le maître des  ténèbres. Quand son dos rejoint le mur le désespoir l'envahi. Dans un dernier élan de courage, elle composa rapidement le numéro de la police.

- Allô, la police ?

- Que puis-je faire pour vous mademoiselle ? Répondit un homme au bout du fil.

- Il y a des...

L'homme devant elle claqua les doigts et son téléphone devin une boule de neige.

- Quoi? Mais comment...

Il claqua de nouveau les doigts et sa seule arme ce transforma en sucre d'orge. La bouche grande ouverte elle ramena les deux objets devant ses yeux ne pouvant pas y croire. Ce pouvait être qu'un rêve se dit-elle mais la température de la neige lui fit douté de cette version.

- Impossible ! Se murmura-t-elle.

Il laissa s'abattre ses deux mains au dessus de sa tête si fort qu'elle laissa tomber les deux objets. Elle était prisonnière. Son cœur se mit à battre frénétiquement lorsqu'il s'inclina du fait de sa haute taille et arrima son beau regard étincelant au sien.

Dans les bras de Klaus Santa [ EN PAUSE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant