Chapitre 1

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je suis une fille de la lune. On appelle ma race des lorialets. D'apres la légende, la lune change de forme en fonction de notre humeur, même si en réalité c'est plutôt l'inverse. Quand la lune est pleine on dit qu'elle s'arrondie pour faire jouer ses enfants. Alors nous somme d'humeur joyeux. Mais quand la lune est en croissant, on dit que c'est pour que la lune berce ses enfants lorsqu'ils sont triste. Vous l'aurez compris je suis plutôt d'humeur mélancolique la plus part du temps.
Les lorialets sont réputés pour avoir des yeux et cheveux clairs et la peau très pâle. Je correspond plutôt à cette description mise à part ma peau qui est hâlée. C'est peu être à cause de cet anomalie que ma mère m'a abandonnée. Je ne sais rien d'elle, elle ne m'a rien laissé mis à part un anneau sculpté couvert d'une pierre bleu scintillante et une couverture brodée d'un prénom adoré par tout ceux que je croise: Sérèna.
J'ai été élevée par des hamadryades, ce sont les esprits personnifiés de la forêt et des arbres. Elles m'ont recueillie, nourrie, et élevée.
Quand j'ai grandie j'ai pris l'habitude de grimper aux arbres pour dormir et me protéger; bien que j'ai du apprendre à me défendre.
Un jour, les hamadryades devenaient petit a petit violente sans que je comprenne pourquoi. Elles sont réputées pour être d'un nature gentil. Quelque jours avant ma 20eme année, je décida de partir avant que les femmes qui m'avais élevée ne finissent par se détruire sous mes yeux.
J'avais bien compris que quel que chose n'allais pas avec les hamadryades.
Elles m'avaient déjà parler de la garde d'eel et de son refuge. Elle est chargée de résoudre les conflits sur Eldarya ainsi que de protéger les différentes créatures y vivant des agressions en tout genre. C'est là que je cherche à aller pour aider mes « mères ».

Cela fait quelques heures que je marche quand enfin je vu le grand bâtiment entouré du refuge et d'un mur de pierre. La garde d'eel se trouvait prêt d'une falaise donnent directement sur la mer. C'est un paysage que je n'avais jamais vu étant donné que je quittais rarement la forêt. Je m'aventura à l'intérieur des remparts de pierre passant entre les différentes maisons des réfugiés, puis par de magnifiques jardins fleuris pour arrivé fasse à la grande porte du bâtiment principal, au pied d'un marché. Tout était magnifique et j'étais fascinée par tout ce qui ce trouvait autour et qui été nouveau pour moi.
Je franchi la grande porte pour me retrouver dans une salle contenant de nombreuses autres portes. Ils s'agissait sûrement du hall. J'entrepris de monter des escaliers se trouvant à ma droite et me dirigea vers la première porte qui passa fascinée par là grandeur du lieu et avare d'en découvrir plus. La salle dans laquelle je me trouva contenait de nombreux livres de toute les couleurs à ma droite et à ma gauche. En face de moi il y avait des grandes baies vitrées et sous mes pied nus, un sol était couvert d'un carrelage froid. Je toucha du bout des doits chaque tranches de chaque livres étant à ma hauteur. Les hamadryades m'avait appris à lire, parler, écrire et compter; je me rappelle encore imaginer des lettres dans les écorces des arbres. Plongée dans mes pensées je m'entendit pas l'arrivé de quelqu'un dans la pièce. Cette personne me tira de ma rêverie en m'attrapant par le bras. Je fis volte face lâchant un souffle de surprise. Je sentais bizarrement que je n'était pas sensée être ici. J'entrepris de m'enfuir de cette pièce et fonça droit vers la porte. La personne me stoppa en m'attrapant par la taille je gigota mes jambes et mes bras pour me dégager de son emprise et rapidement il me lâcha. Je me me retrouva fasse à lui, tout c'est passer vite. Je leva la tête pour identifier cette personne. C'était un homme. Il avait des cheveux noir en bataille recouvrant un œil cacher par un bandeau. L'autre œil était d'un gris profond. Ça peau été blanche et froide d'après ce que j'ai pu en toucher. Et c'est oreilles étaient légèrement pointues. C'est nul doute un vampire. Ce qui me rassure encore moins. Il est plutôt grand, mince mais musclé avec un style de vêtements plutôt raffiné; contrairement à moi. Je ne porte qu'une simple robe en coton blanche à l'origine mais ternie par mon mode de vie. on se regarda un instant; un long instant dans le yeux. J'en profita une seconde fois de me faufilée vers la sortie mais là encore il me bloqua le chemin.
-« tu ferais une bonne recrue dans ma garde » me dit il.

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