Recueil d'OS MHA tristes

Os 3: Kirikami

Voili voulu, je suis de retour ^^!! 

Pour toi @BokuNoHeroDrarryun voici un kirikami ^3^

j'espère que ça va vous plaire, bonne lecture.

     

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C'était pendant un hiver comme les autres.

Dans un village vers le sud du Japon, les villageois étaient, surexcité pour les plus jeunes, pressés pour ceux qui travaillaient ou encore juste heureux de faire la fête. Ils se promenaient ou déambulaient dans les longues allées et les magasins de manière insouciante.

Une rivière longeait le village. Elle s'appelait Kawa, c'est le long de cette rivière que ce trouvait le plus de boutiques. Elle étaient toutes décoré avec de magnifiques sapins et autres décorations représentant ce moment de l'année tant attendu par les enfants. Il y avait, ici et là, des bars encore ouvert malgré l'heure tardive. Entre deux magasins, il y avait parfois des plus petites ruelles souvent mal fréquenté où habitait les personnes n'ayant pas assez d'argent pour s'offrir un appartement en ville ou tout simplement des Vilains voulant trouver un abri où ils seront en sécurité des Héros..

Dans l'une de ces ruelles, lorsqu'on continuait tout le temps tout droit, tout au bout, ce trouvait une veille boutique, tenu par une vieille dame, et devant la vitrine de cette boutique peu recommandable, un petit garçon regardait la vitrine avec un regard perdu. Ces vêtements étaient déchirés, abîmé, sale, voir un peu brulé sur quelques endroits.

Au bout d'un certain temps, la veille dame, curieuse, sortie voir ce mystérieux petit garçon.

-« Petit? »

Elle n'obtient aucune réponses. Elle recommença sans se soucier du silence du plus petit.

-« Dit moi petit, comment t'appelles-tu? Où sont t'es parents? »

Toujours aucune réponse. Il fixait toujours le même point, il ne le quittait pas des yeux.

Elle allait abandonner et l'emmener plus en ville, ces quartiers n'étant pas recommandable pour des enfants, mais il avait entrouvert ces lèvres.

Au lieu de parler et répondre à la dame, une douce mélodie était sorti de ces lèvres. Si la gérante du magasin n'avait pas le garçon sous ces yeux, elle aurait pu jurer entendre la mort chanter.

La voix de petit garçon était rauque, abimé, comme s'il n'avait pas ouvert la bouche depuis longtemps, voir jamais.

La vieille dame fut d 'abord surprise, puis son ventre la serra fort, très fort, elle étouffait,. Aucun son ne sortait de sa bouche tandis que le garçon continuait à chanter sa mélodie tout droit venu des entrailles de la mort. La veille dame s'effondra, le regard aussi perdue que celui de petit garçon avec un léger voile blanc qui avait recouvert ces pupilles, la sensation d'écouter la mort ne la quittant pas.

Le lendemain, des Héros faisant leur rondes quotidienne dans ces rues mal-fréquenté, trouvèrent, au même endroit et dans la même position, le petit garçon, le regard perdue dans le vide, et la vieille dame, par terre, sans vie.

On avait emmener l'enfant dans le poste le plus proche pour savoir ce qu'il c'était passé. La ville étant petite et étant pendant les périodes de Noël, il n'y avait pas beaucoup de policier présent. Ce que la veille dame prenait pour un regard perdue était due au fait que le garçon était aveugle. Au vue du silence de l'enfant, certain policiers se demandaient si il n'était pas muet en plus. Résigner, les forces de l'ordres avaient demandés aux Héros d'aller interroger les rares personnes qui habitait là, et qui aurait pu les renseigner sur les événements de la veille.