5 heure était passé depuis la mort brutale de mon professeur d'svt . Son corps hinerte gisait sur le sol. Son sang avait recouvert une bonne partie du sol de la classe. On avait apprit en cours qu'un être humain contenait 5 litre de sang dans son corps, je parie, à vu d'œil, que son corps c'est vidé entièrement. Pour respecter sa mémoire , et parce que c'est quand même grâce à lui que je suis toujours en vie , j'essaye de ne plus l'appeler gros bidon . C'est vraie que c'était grâce à lui que je n'avais pas finis comme mes amies ou comme lui, et pour ça, je pourrai jamais lui dire merci . Il n'y avait plus un bruit dans le lycée , le silence était roi. Je décida de rester dans mon placard , dans ma cachette . Je ne voulais pas sortir car on sait jamais , si ils y avait encore des soldats . On est jamais trop prudent me diser ma mère ... Et en plus ma jambe me faisait terriblement mal, je n'avais aucune envie de bouger, j'étais encore sous le shock. Je ne comprenais toujours pas se qui venais de se passer . Se matin , ma vie était normale , j'allais en cours , je me faisait crié par mes professeur, et là, maintenant, je me retrouve coincé dans la partie la plus étroite d'un placard, devant le cadavre de mon professeur, et j'ai ma jambe qui pisse le sang . Ma jambe, il fallait que j'enlève les balles . Mais je pouvais à peine bouger dans se placard donc les retirer , j'y arriverai jamais . En plus il faut des pinces pour extraire les balles , de l'alcool pour désinfecter. Mais si je fait rien , les blessures vont s'infecter, et je risque de la perdre non ? Je pouvais néanmoins crié de douleur lorsque mes doigts frôla les impacts sur ma jambe . La douleur . J'en avais jamais ressentie autant . Quel soit physique ou émotionnel. L'image de mes amies mort me revient en mémoire . Et je me mis à pleurer . Ça faisait que deux ans que je les connaissais mais je les adorés . On rigolais tellement avec eux , ils était tellement meilleur que moi en tout , ils avait un belle avenir devant eux . Et puis le sentiment de tristesse fut remplacer par la colère . Pourquoi ? Pourquoi nous ? Pourquoi ici ? Pourquoi maintenant ? Et pourquoi les américains ? Il viennent nous attaquer alors que l'on est pas en guerre . On a rien contre eux. Enfin , maintenant, oui je suppose. Et le soldat , pourquoi m'a t'il laisser en vie , il savait très bien où j'était , très bien que j'etait toujours en vie après ces coups de balles , mais il est partie en me disant "à bientôt " . À bientôt ? Parce qu'il compte qu'on se revois ? Un frisson me parcouru à l'idée de revoir se soldat . Je ne voulais pas le revoir , c'était bien la dernière chose au monde que je voulais . 14 heure après la mort de Dumant ( je connais le temps parce que j'ai une montre ) plusieurs bruit se firent retentir . Des bruits lourds . Je mis du temps à comprendre se que c'était . Des bombes . On nous larguer des bombes dessus . Je voulu sortir mais le placard était coincer . Et puis à quoi bon sortir , j'irai ou ? Dehors on nous large des bombes et je pourrai certainement pas courir à cause de ma jambe . Le largage semblait s'éloigner . Mais à chaque fois qu'une bombe s'écrasait sur le sol , le placard vibra et le bruit sourd me donna des acouphènes . J'entendais le bruit des murs qui s'effondres autour de moi. Je ne sais pas combien de temps à durer le largage , à force je ne regarder plus le temps . Je commençais à croire que la mort de veut pas de moi. Et puis je me mis à rire . Un rire nerveux sortie de ma bouche . J'allais certainement mourir ici , pensais-je que ce soit écrasé sous une bombe, à cause des infections, par soif ou par faim . Et puis mes pensé allèrent directement à ma famille . À cette pensée je me releva instinctivement et me cogna la tête contre le plafond . "AIE" criai-je. Je mis ma mais sur l'endroit de ma tête qui me faisait mal et remarqua les marques de dents que j'avais laisser sur ma main . J'aurai de belle cicatrice, il n'y a aucun doute . Je reposa ma tête délicatement. Ma mère où était-elle ? Elle était avec ma sœur ? Et mon père , il était aller chercher ma grand mère chez elle pour l'aider ? Ils était où tous maintenant ? Ils devaient me croirent mort . Cette idée me donna mes larmes au yeux . Je pensa que je devait leur envoyer un message, un espoir me redonna le sourire . Mais celui ci disparu quand je me rendis compte que mon téléphone avait essuyé un impact de balle sur moi . Et je me remis à pleurer. En réalité j'apparais comme une vraie pleurnicheuse , mais quand votre vie s'effondre devant vous , si rapidement et sans aucune raison apparente, chacun réagis à sa manière . Et si ma famille étair morte ? Si elle c'était fait tuer par ces soldat de la mort ou par les bombes . " non c'est pas possible voyons léta " me dit-je en chuchotant pour me rassurer, "ils sont en vie , quelque part ", si toi t'es toujours en vie, alors ils le sont certainement, ces obliger Mais où ? Dans un camp de réfugiés ? Il y en ? Dans tous les cas se serai une très mauvaise idée d'y aller, dans les films les camps sont toujours la cible de massacre . Regarder le terminus dans the walking dead . Ou encore le camp dans la cinquième vague , la où les aliènes déguisés en militaire viennent et tuent tout les parents et enlèvent les enfants pour leurs armées . Non il faut éviter les camps à tout pris . Je me souvient d'une phrase dites par le soldat Américain : "bien , elle à donc était emporter avec les autres " . Emporter ? Avec qui ? Les autres lycéens je suppose . Ils nous enlevaient . Mais pourquoi ont-ils tuées Zoë et Lorenzo alors? J'étais perdu . Et emmener ou ? Et pourquoi ? J'avais mal à la tête à force de réfléchir , mal à ma jambe , à ma main . Une odeur nauséabonde me parvenais . Je mis du temps pour comprendre d'où elle provenait . C'était les corps. Ils commencer le processus de décomposition. Les heures passa et la nuit arriva . On était en octobre donc il faisait frais la nuit . Et je n'avais pas de veste , j'était gelée . En plus j'avais une envie de faire pipi , c'était horrible . J'avais aussi faim , et soif . Ma tête tomba plusieurs fois , signe que je voulais dormir . Mais je me répéta que je devais rester éveiller pour attendre les secours . Les secours . Je me remis à rire. À mon avis personne ne viendra nous sortir de la , personne ne viendra pour nous aider . Tout les personnes qui reste ici , sont mort excepter moi . Je me suis cacher comme un couard. Puis après des heures d'attente, tout devient noir , et mes yeux se fermèrent , sans l'appréhension que les soldats reviennent ou que les cadavres se réveillent en zombie et viennent pour me manger . (Je sais je regarde beaucoup trop de série mais il faut savoir vivre avec son temps vous savez ).

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EUPHORBIA
AventuraLéta Warner est une jeune fille ordinaire, remplis de doute sur son avenir. Mais ces doutes vont s'avérer réelle lorsque que sont lycée, et son pays, va ce faire attaquer par l'armée d'un pays pourtant allier. Ça vie va alors être chambouler. Mais...