Juste moi

Juste moi chapitre 3

Chapitre 3: Les problèmes continuent et s'accumulent

Je fus effectivement obligé de moi lever ce matin-là, peu motivé. Un message de Tetsu-chan sur mon portable m'indiquait qu'il allait surveiller pour moi les médias, mais que le meurtre était déjà connu et que la presse parlait d'appeler L, soit le plus grand détective du monde. Je soupirais. Ils avaient été plus rapides que ce que j'avais prévu. Enfin, ils voulaient l'appeler, mais rien ne disait qu'il allait répondre présent. Après tout, il se murmure que ce détective ne prenait que les affaires qui l'intéressaient. Bref, inutile de s'inquiéter maintenant, quand le vin est tiré, il faut le boire!

Un peu déprimé tout de même, je me lève en vérifiant que Kio était toujours là. Il dormait comme un loire. Tant mieux. Je me dirigeai vers la salle de bain en geignant à proposer des réveils matinaux. Si seulement on était le week-end! Mais non, on était que mercredi. Dure semaine que celle-ci, je la sentai vraiment pourrie.

Me glissant sous l'eau chaude, je me savonnais en silence, perdu dans mes pensées. Pour une fois qu'elle n'était pas parasitée par un jumeau trop possessif et jaloux des pensées de son frère! D'après lui, c'est que je risque de penser à un autre garçon. Je me rendis compte que si, lesdites pensées étaient parasitées. Je me frappais la tête contre le mur, désespéré. Bon sang, il allait me rendre dingue! Je sortis rapidement de la douche et j'allait préparer pour les cours. L'avantage d'être une goule, c'est que je n'avais pas à manger tous les jours, une ou deux fois par mois suffisait amplement. Bien sûr, il y avait des exceptions, comme Kio, surnommé le Chasseur. Il y avait aussi la Gourmande ou le Gourmet, enfin, leurs noms à eux-seuls permettaient de comprendre qu '

Je passe la brosse dans mes longs cheveux blancs et fixant pensivement mes yeux. Est-ce que quelqu'un avait vu ceux de mon frère? Maintenant que Seirin était au courant de son existence, il fallait faire plus d'attention. Après tout, si la Génération découvrait que j'étais une goule, je suis à peu près sûr qu'ils ne me dénonçaient pas. Tetsu-chan ne connaissait pas fait lui. Mais en ce qui concernait mes nouveaux coéquipiers, rien n'était moins sûr. Ils ont haïr les goules, pour ce que j'en savais! Je savais que Ju-chan et Dai-chan ne les appréciaient peu, pour Atsu-chan, il trouva que les goules manquaient furieusement de goût pour ne pas manger de bonbons (mais venant d'un garçon qui passait à la vie à manger des sucreries , il ne fallait pas s'attendre à grand a choisi d '

Je m'attachais finalement les cheveux en file d'attente de cheval haute et sortis en prenant mon sac, non sans laisser une note à mon jumeau si prudent (notez l'ironie de ma réflexion, s'il vous plaît) pour lui rappeler d'être prudent. Nos parents n'allaient pas sans doute pas pouvoir rentrer plus tôt dans leur voyage d'affaire-sous quel motif le feraient-ils, du reste? «Désolé mais notre fils a encore manger un policier, il faut qu'on rentre chez nous»?

Le chemin du lycée me parut plus long qu'à l'accoutumé. Sans doute l'angoisse de ne pas être avec mon frère. Certes, je m'en plaignais souvent, mais il reste ma référence la plus stable au monde, je pense que je serais perdu sans lui. Bon, allez Yuki, arrête ton cinéma! Il faut que tu gardes ton sang froid, alors surtout ne pense pas à Ryukio, ou alors seulement de ce que les autres savent, comme son frère complex, ça c'est acceptable. «Depuis l'inceste et le harcèlement sont-ils acceptables?» Me susurra une petite voix perfide au fond de mon esprit. Je la repoussais fermement, sur allait pas chipoter pour ça quand même!

Je me rendis en classe la tête haute, seulement pour moi figer lorsque je constatais que mes anciens coéquipiers assistaient de pied ferme devant les grilles de l'établissement. Et avec mes cheveux, impossible de passer inaperçu. Je soupirais longuement et me dirigeais vers eux. Avec leurs couleurs de cheveux et leurs tailles, impossible de faire comme si je ne les avais pas vu. Ils semblaient encore plus remonter que la veille. Pourtant, cette fois, on avait rien fait! Je décidai de laisser parler pour savoir de quoi il retourne. Ju-chan attaqua immédiatement.