Fragments du passé

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 IV

Mort.

J'aurais aimée l'être. Se simple mot me définis réellement comme celle que je suis, illustré de se masque avide d'un souffle vital, je ne suis qu'une poupée de souvenirs brisés en de milliers de petits morceaux de porcelaines. Brisés par de simple mots est aujourd'hui par elle. Cette fille qui n'aurait pas du venir au monde, pas de lui, cette fille qui est le fruit du démon, de mon démon, de celui qui me ronge de l'intérieur et consume ma vie a petit feu tel un démon des abysses. Je ne la supporte pas, son odeur, son caractère, sa voix tout m'insupporte en elle mais hélas mon père m'avait transmis se fardeau tel un cadeau de dieu disait-il. L'enfer et bien plus propice a sa magnifique personne que celui qu'on lui a donné a la naissance.

Une agréable surprise tant le bout de son nez.

Juste ciel, que le ciel me refuse l'entrée est une choses mais qu'il me la présente devant moi, rayonnante en ai une autre.Qui, au-delà de la pensée savait qui elle était réellement, une vipère assoiffé d'âme franchement volé a des être sans décences ? Ou tout simplement mon pire cauchemars ? les deux me convenait parfaitement, après tout qui de mieux pouvait me convenir au point de me haïr que ma très chère et tendre sœur aînée.

«Je ne m'attendait pas a te voir ici, sœurette, je suis contente de te voir. Me dit-t'elle , un sourire faussement sincère au lèvres. »

Un soupire détacher brisa la barrière de mes lèvres. Peu importe le nombre de fois ou je me retrouver en face d'elle, mon dégoût me submergeant, je ne pouvait me résoudre a l'aimer, après tout, elle était le produit de mon père et de ma belle mère mais pour moi elle n'était rien d'autre qu'un décher de plus, sur terre.

Je ne pris pas la peine de lui répondre, déjà épuiser de sa présence. La chaleur de l'endroit devenant insupportable, je quitta les lieu, le cœur lourd hantise envers le monde.

Je marchais rapidement, sans un regard autour de moi. Seul mes larmes coulant sur mes joues rougies faisait écho dans la nuit sombre. Je ne savais pas pourquoi n'y comment mes larmes me trahissez mais elle me soulager dans un sens, comme ci elle épongez ma douleur, ma solitude, ma rancœur. Marchant sans vraiment regarder ou mes pas me guidait, seule mon mal-être comme guide, j'avançai dans la nuit, les lumières des lampadaires comme seule source de lumière, direction un endroit ou je me sentirais en sécurité, seule, éloignée de tous.

Arrivée devant le parc enivrée pas la nuit, je m'avançai

doucement vers le lac au reflet du clair de lune, pour m'asseoir au bord de l'eau. Laissant les reflets de la lune me bercer.

« Tu ne devrais pas rester seule, Eli'»

Une voix masculine avait prononcés ses mots. Elle était douce, familière a celle de celui qui faisait battre mon cœur d'autant. C'était lui.

«Qu'est-ce-que tu fais la Nath ?»

Mon regard était toujours encré dans ce berceau cristallin, l'eau tel un miroir a cette silhouette masculine. Il était la derrière moi, les mains dans les poches, son fidèle sourire en coin au lèvres. Il s'approcha doucement de moi, le regard amusé ;

« Dois-je te rappeler que c'est le chemin que j'emprunte pour rentrer chez moi?»

Avait t'il dit, un sourire en coin. Je souris moi aussi, un faible sourire qu'il avait réussi a faire naître malgré mes larmes précédente. Malgré la faible lumière nous éclairant, nous sommes rester ensemble un bon moment, tout les deux épuisées de notre soirée, nous parlions,rigolant ensemble de quelques anecdotes passées.

« Mais arrête, il est mignon, con mais mignon !»

Rigolais-je a gorge déployer sous le regard ambré de Nathaniel. Soudain, il prit mon menton entre ses doigts et rapprocha son visage du mien, son souffle chaud sur mes lèvres rougit. Sa mains était douche,tout en lui me faisait sentir en sécurité mais pour combien de temps encore?

« Pas autant que Toi.»

Ses mots était comme un coup de fouet.Il voulait jouer, l'envie me tenter mais était-ce vraiment une bonne idée?

A ses mots,il rapprocha lentement ses lèvres des miennes, une tentations divine sous le clair de lune, comme seule témoin. Nous étions tout les deux hésitant de se qu'il allait se passer mais je sentais comme un désirs irrésistible de sentir ses lèvres sur les miennes, un baisers endiablés sous le clairs de lune. Quand ses lèvres toucha enfin les miennes, une décharges électrique fut envoyés au creux de mon ventre électrisant tout mon être.

Peu importe avait qui j'étais c'était le seule qui arrivé a me distraire de la sorte. Ses lèvres était tellement délicieuse, douce et sauvage. Il m'embrasser avec envie et ses désirs. Tout comme moi.

Nous savions tout les deux que les mots n'avais pas besoin d'être dit, le simple fait d'être ensemble apaisait les cœurs meurtris.

Je ne serais dire le temps qui est passé depuis notre dernière rencontre, un point sensible qui ne fait qu'accentuer une irrésistible envie d'en savoir plus sur lui, un désir enfoui. Pour être honnête, le seul souvenir de ce regard emplie de malice et de ce sourire félin ,si aguicheur a l'envers de la gente féminine, me trouble plus que je ne le voudrais. Je ne sais pas vraiment a quoi m'attendre de se nouveau félin mais le goût de l'interdit et si tentant que même une résolution d'acier ne pourrait le détrôner de son trône.

Le trône d'un nouveau roi ; un homme bien mystérieux, aux allure de bad boy et au charmes irrésistible, mais serais-je assez courageuse pour l'affronter de nouveau ?

Tellement de questions me tourmentent l'esprit, mais aucune réponses de s'impose a lui, me libérant de mes tourments. Un cercle vicieux qui me condamne a me damner de mes péchés.