Un mage noir amnésique

Chapitre 7

Le lendemain lorsqu'Albus se réveilla, Gellert avait préparé le petit déjeuné, il avait acheté des croissant et préparer du thé.

Albus prit une tasse de thé et dit à Gellert :

« Aujourd'hui, je vais t'emmenait quelque part pour essayer de raviver des souvenir en toi.

- Et où est-ce ?

- Godric's Hollow.

- D'accord. » Répondit Gellert.

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Ils arrivèrent à Godric's Hollow en début d'après-midi.

Ils se promenèrent dans le village. Albus expliqua à Gellert qu'ils s'étaient rencontrés alors qu'il était chez sa grande tante Bathilda Tourdesac. Gellert demanda alors à aller la voir.

Ils se rendirent alors chez l'historienne.

Ils frappèrent à la porte et Bathilda leur ouvrit, lorsqu'elle reconnut Gellert elle s'exclama :

« Gellert, j'ai entendu des choses horribles à ton sujet.

- Bathilda, il a eu un accident et il est devenu amnésique.

- Oh le pauvre garçon, aller, entrez, entrez. » Dit l'historienne.

Bathilda prépara du thé.

Elle leur demanda :

« Que s'est-il passé ?

- Il a été renversé par une voiture, une machine moldue.

- Oh, je vois.

- Est-ce que des souvenirs lui sont revenus ?

- Je me suis souvenu de la mort de mon ami, John.

- Pas un souvenir des plus heureux, je suis désolé, c'était ton meilleur ami.

- Il me manque énormément.

- Albus, tu penses pouvoir lui faire retrouver d'autre souvenir ?

- Oui.

- Alors attendez quelques instants.

Elle partit et revint avec des photos.

- Ce sont des photos de vous de cet été où vous vous êtes rencontré. Peut-être que des souvenirs reviendrons à la surface. » Leur dit l'historienne.

Gellert prit les photos et les regarda, sur l'une d'elle, lui et Albus étaient sur un lit et souriaient.

Alors qu'il regardait la photo, il eut un souvenir.

Il se promenait avec Albus, ils étaient dans une forêt à côté du village. Ils parlaient de leur quête des reliques de la mort. Il sentait son cœur battre très fort. Il sentait que le sorcier à ces côté lui plaisait énormément. Il proposa à Albus d'aller dans sa chambre. Ils montèrent dans la chambre et Gellert prit l'appareil photo, les deux adolescents se posèrent sur le lit, Gellert avait l'appareil photo dans une main et prit la photo avec son ami. Une fois la photo prise, ils enchantèrent la photo.

Albus se plaça face à Albus en lui disant :

« Fermes les yeux. »

Albus ferma les yeux. Gellert s'approcha du jeune homme et posa ses lèvres sur celle d'Albus. Sa langue demanda l'accès à la bouche d'Albus qui le lui donna, leur langues s'entremêlèrent et ils s'embrassèrent j'jusqu'à ce que le besoin d'air se fasse sentir.

Le baiser terminé les deux adolescents rougirent.

Gellert fût ramenait à la réalité par Albus lui disant :

« Gellert ?

- Oui.

- Ça va ? Tu avais l'air absent, un souvenir t'es revenu ?

- Oui. Dit Gellert en rougissant.

- Oh, je vois. » Répondit Albus comprenant de quel souvenir il parlait.

Bathilda leur donna les photos et leur proposa d'aller voir l'ancienne chambre de Gellert en espérant que cela ravivent d'autre souvenir mais il n'en recouvrit malheureusement aucun.

Ils finirent par aller dans la maison d'Albus où ils avaient également beaucoup de temps.

Ils parcoururent les couloirs de la maison, ils entrèrent dans la chambre d'Albus qui était comme elle l'était quand il l'avait quittait après la mort d'Ariana. Albus sortit des lettres que lui avait envoyées Gellert. Certaines sur leur plan de prise de pouvoir sur les moldus et d'autres d'amour. Albus les donna à Gellert avant qu'il ne sorte de la chambre. Lorsqu'ils entrèrent dans le couloir Gellert eu un nouveau souvenir.

Albus, Gellert et Abelforth étaient dans le couloir. Abelforth accusait Albus de ne pas s'occuper d'Ariana et de passer tout son temps avec Gellert. Une dispute éclata, Ariana sorti dans le couloir et quelques secondes plus tard, Arina était morte. A la vue de son corps inerte Gellert prit la fuite et le souvenir se termina.

Gellert regarda Albus et lui dit :

« Albus, je suis désolé.

- De quoi tu t'es souvenu ?

- De la mort d'Ariana.

Albus eu un mouvement de recul.

- La mort d'Ariana.

- Si je ne m'étais pas énervé, rien ne serais arrivé, et je n'aurai pas dût prendre la fuite comme ça.

- Non, ce n'est pas de ta faute. J'aurais dût mieux m'occuper de ma sœur. » Lui répondit Albus.

Les deux hommes rentrèrent finalement chez Albus.