chapitre 28

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Géant : violence sur agent, exhibitionnisme sur voie public, interpellation sans preuves d'identité et interpellation avec stupéfiant.
Lia : euh ...avec l'histoire ? Ne me dites pas que vous étiez à une partouze que les filles vous ont jeté dehors ..tout les trois insatisfaites de vos performances au lit et que vous étiez donc nus. Le temps qu'elles jettent vos fringues et vos porte feuille dehors la police vous à coincé et que vous avez résisté...si ?

Ils ont une tête choqué. Si c'est ça je pleure. Cette histoire est déjà arrivé quand j'étais à Liège.

Minus : comment tu sais ?
Normal : fallait pas lui dire t'es con ?!
Lia : c'est bon, j'ai compris. Bon vous avez vos cartes d'identité maintenant ?
Minus : chez le commissaire Migraine.
Lia : Ah. Ah. Très drôle. Bon je vais régler cette histoire.

Je rejoins le commissaire de l'autre côté de la vitre teinté.

Je ne les défends même pas. Je ne dis rien

Commissaire : j'ai fait des recherches sur vous.
Lia : ah oui ?
Commissaire : ouais, vu votre parcourt ...on ne va plus arrêter de hell's avant un bout de temps hein ? Je veux dire pour la prison.
Lia : peut être.
Commissaire : les papiers on les a. Exhibitionnisme situation spécial, le juge s'en fiche mais la drogue et le coup de poing sur un de mes gars vous allez dire quoi ?
Lia : que pour la drogue, la fille aurait pu lancé dans leurs vêtements cela, par pur vengeance. Devant le juge, cela n'est rien puisque vous n'avez pas la preuve que ils possèdent réellement cette drogue. Seulement trouvé après que une fille très énervé leurs ai balancé leurs fringues.
Commissaire : la violence ?
Lia : je porte plainte aussi. C'est illégal d'attacher trois personnes ainsi et vu les contusions je suppose que vos gars ne se sont pas laissé faire. En venant, j'ai vu un policier saoule. Je suppose que j'ai au moins plusieurs plaintes non ? Donc je ne fais rien, vous libérez les gars en échange. Devant le juge les gars seront punis mais quoi ? 6 mois grand max. Et encore, un coup de poing donc un des gars le reste je peux plaider l'auto défense. Tandis que vos gars ? Les affaires internes vont arriver et ça va être le bordel.

Le commissaire grogne et marmonne, j'entends des "enflures de hell's" et des " c'est quoi cet avocat" ou des " quel salope"

Lia : je porte plainte pour abus de pouvoir ? Et également je suis sûre de trouver quelques choses pour les insultes. Car techniquement vous savez que je ne vais pas vous insulter en retour.

Il grogne une dernière fois, avant de sortir et de crié que on peut les libérer.

Je passe directement à l'accueil signé les papiers requis puis je m' assied  pour lire sur Wattpad.

Je relève rapidement la tête en voyant une femme venir prêt de moi, et en colère.

La femme : c'est vous qui avez castré mon mari ? On va porter plainte ! Le médecin l'a diagnostiqué stérile par votre faute ! Vous nous imaginez ?! On aura que douze enfants !

Et elle continue mais j'ai beugué, puis je me rappelle de la dernière fois. Ah oui, l'agent pervers. Il est stérile ? Boh.

Lia : je vous coupe Madame, je suis désolé qu'il soit stérile mais vous pouvez changé de mec.

J'hausse les épaules. Quoi ? C'est vrai, il a une femme, 12 gosses et il fait des avances aux autres femmes. Autant changer de mecs non ?

En même temps Dylan m'envoies un SMS et le lui réponds rapidement que j'ai presque finit.

Je hoche la tête en écoutant, à demi la femme me parler. Mais quand je vois les gars sortir je me lève pour partir mais une main me retient et elle serre vachement, je me retourne et la détache violemment.

La femme : ne pensez pas vous enfuir, j'avais déposé ma plainte et vous serrer rayer du barreau et..

Lia : je vous coupe encore, de 1. Vous me touchez encore une fois et c'est moi qui porte plainte. 2. Si vous voulez jouer à la gosse de qui pisse le plus loin, alors on peut. 3. Votre mari m'a ouvertement dragué puis mis la main aux fesses 4. Je suis pas du tout désolé de sa castration. 5. Vous portez plainte ? Ok moi aussi, pour votre comportement sur un lieu de TRAVAIL, pour humiliation sur lieu PUBLIC ensuite pour m'avoir agressé, pour une agression morale car vous me dénigrer, une agression physique car vous m'avez fortement aggripé puis contre votre mari, pour m'avoir insulté, dégradé le sexe féminin, harcèlement sexuel et enfin je demanderais des dommages et intérêts. Vous pensez pouvoir ? Moi, je complète des papiers et hop c'est fait. Mais vous ? Tout deux policiers, avec 12 enfants comme vous dites. Tout deux au chômages pas sur que ce soit ce que vous voulez. Alors un conseil ma petite, que je ne vous recroise plus jamais, JAMAIS, sinon je mettrais mes menaces à exécution. Sur ce, excellente journée à vous.

J'en ai assez de cette folle, je me retourne en colère mais je fonce dans un torse, j'allais me décollé mais dès que je sens cette odeur, je m'y colle encore plus.

Lia : tu fais quoi ici ? Dis je en chuchotant.

Dylan : ton message,..il était avec 3 petits points quand tu as dis que tout va bien, j'ai voulu vérifier.

Je ne dis rien, je souris juste et me colle encore plus à lui.

Lia : je sais me défendre chéri, mais ça fait plaisir.
Dylan : j'ai vu ahah, je t'aime.
Lia : moi aussi.

Dylan sourit et m'embrasse. Je lui rend sont baiser jusqu'à ce que des sifflements viennent nous interrompre. En me retournant je vois minus et Normal siffler. Les cons.

Dylan les saluent avec un tchek toujours en me serrant, je remarque que la fille dingue a disparue.

Minus : bien joué Butterfly la régulière de Dylan.

Voyant ma tête il s'explique car je ne comprend pas de quoi me féliciter.

Minus : le stagiaire nous a expliquer la dernière fois...ton coup de genoux.

Après cela il est encore plié de rire.

Normal : et que sa femme t'en veux à mort car tu l'a stérilisé à vie, privé de descendance.
Minus : on a entendu votre dispute aussi, comment tu l'as remis à sa place.
Géant : et pour nous libérer, comment t'as fait ? Avec la drogue qu'on avait et tout !
Dylan : ma copine l'a vraiment stérilisé ?!
Minus : ouais askip et t'as entendu sa tirade ? Putainn une vraie lionne.

Je lève les yeux au ciel.

Lia : pour toi géant, j'ai juste répondu au commissaire avec des arguments.. persuasifs et pour toi minus je fais juste valoir mes droits.
Normal : je parie que tu as fait chanté le commissaire.
Lia : non, il avait le droit. Soit c'était vous êtes libéré soit les affaires internes allait intervenir et renvoyé un mec et fouiné dans leurs affaires. Vu la pile de dossier, ils n'étaient pas en ordre donc chaud patate pour le commissaire.
Normal : ouais..un presque chantage.
Lia : t'es libéré non ? De quoi tu te plains.
Normal : et pour la fille t'as pas exagéré ?
Lia : nope ce sont de vrais lois que je peux appliquer.

Une fois les questions répondus, on rentre enfin à la maison. Je laisse les gars se serrer à l'arrière de la voiture et je m'installe avec Dylan à l'avant.

Point de vue omniscient

Une moto passe à vive allure en même temps dans la rue, la raison de cet empressement est que le motard est en retard à son rendez vous.

Il s'apprête à trahir les siens, ses frères, à créer une guerre afin d'assouvir son besoin de pouvoir, de récupérer que la fille qu'il pense aimer, la fille qu'il a trahi.

Malheureusement ou heureusement, une voiture lui fonce dessus car le motard a passé le feu rouge à vive allure.

Il est mort sur le coup, sans grande souffrance, mais hélas, mort. Il n'aura pas la chance de se racheter une conduite.

Le rendez vous avec le club des outlaws se solde par le traître qui leurs pose un lapin.

Les outlaws ne savent pas que ce traître avait l'intention de les aider pour mieux les trahir car il souhaitait être président.

Le chauffeur s'en voudra sûrement toute sa vie, d'avoir tuer un motard roulant trop vite même si ce n'est pas sa faute mais il ne sait pas que il a éviter une guerre de motoclub qui aurait sûrement tuer des dizaines voir centaines de personnes.

Un amour chez les bikersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant