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Après avoir savouré un excellent repas, les préfets se levèrent et dirent rapidement aux élèves de première année qu’étant donné les circonstances et les nouveaux arrivant, ils ne pourraient pas les ramener à leur salle commune

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Après avoir savouré un excellent repas, les préfets se levèrent et dirent rapidement aux élèves de première année qu’étant donné les circonstances et les nouveaux arrivant, ils ne pourraient pas les ramener à leur salle commune. Ils n’auraient qu’à suivre les élèves d’années supérieur.

Les préfets de chaque maison vinrent ensuite auprès des élèves d’Ilvermorny, attendant que la salle et les couloirs se vident pour mieux montrer les alentours et pour que les élèves d’Ilvermorny puissent mieux retenir le chemin menant aux salles communes.

Lisa et Suho vinrent voir Burly et Tony après que la salle fut assez vide laissant comme seuls occupants les huit préfets avec les huit élèves. Ils sortirent de la salle. Yixing restait comme d’habitude en retrait par rapport au groupe, désintéressé. Suho s’adressa alors à lui :

Dis-donc Yixing, tu ne devrais pas traîner dans les couloirs.

Ce dernier se tourna vers les Poufsouffles, croisant le regard de Burly. C’était une fille toute ronde, comme une pomme : à croquer. Il eut un léger haussement de sourcils et commença à monter les escaliers pour aller à la salle commune de Gryffondor. Burly quant à elle se demandait qui était ce Yixing, il l’intriguait et l’intéressait.

En tout cas, la jeune fille n’attendait qu’une chose : s’installer dans un bon lit et lire un livre qu’elle avait reçu durant la nuit dernière.

La jeune fille était passionnée des créatures fantastiques depuis sa tendre enfance et dévorait les livres portants sur ce sujet. Bien évidemment, le livre de Norbert Dragonneau était sa bible et elle ne s’en séparait quasiment jamais.

Elle avait sans doute appris chaque définition de chaque créature fantastique par cœur et avait même commencé à faire ses propres études personnelles sur chaque créatures pour en savoir encore plus sur ces dernières.

Elle avait tout comme Norbert Dragonneau, jeté un sortilège sur une des valises amenées à Poudlard, un "sortilège d’extension" pour y faire habiter ses amis et comptait peut-être en sortir quelques-uns durant les pauses séparant les cours.

Il y avait parmi ces créatures, un petit oiseau dont elle ne se séparait jamais et qui était son meilleur ami. C’était un Jobarbille, un minuscule oiseau bleu et tacheté qui n’émettait aucun son. Il n’en émettait que lorsqu’il mourrait, un long cri constitué de tous les sons qu’il avait entendus au cours de sa vie et qu’il reproduisait en sens inverse.

C’était un animal tragique qu’elle avait recueilli alors qu’il s’était brisé une aile. N’ayant jamais vu d’oiseau de la sorte, elle s’empressa de faire ses recherches et se hâta de soigner le pauvre oiseau.

Depuis, ce dernier même après avoir été soigné, était resté à ses côté. Burly espérait simplement que lorsqu’il mourrait, tous ce qu’il aurait entendu de la vie aurait été des choses heureuses.

↯ - '𝚑𝚎𝚞𝚛 - ◍ [𝚙𝚊𝚞𝚜𝚎]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant