without memory

chapitre cinquième

Lili

Ma mère et Austin on décider de me séquestrer pour m'empecher d'aller à l'hôpital aujourd'hui. Elles disent que je suis comme une âme morte, que je ne vit plus de l'intérieur et elles ont raison. Elles veulent me rendre goût à la vie mais elles ne comprennent pas que la seule chose qui me redonnerai gouts a la vie c'est que Cole se réveille de se fichu coma. À chaque fois que je lui prend la main, elle est complètement gelé, comme si le sang ne circulait pas, plus les jours passe et plus il à l'air de plus en plus fatigué. On lui à enlever tout ses bandages mais certaines traces de ses blessures restent présentes. Il me manque horriblement.

Ma mère pose une tasse de chocolat chaud avec des guillaumes en face de moi pendant que ma meilleure amie passe un bras autour de mes épaules en s'asseyant à côté de moi.

Maman : je sais que tu veut pas être là mais regarde toi, tu perd énormément de poids, tu à l'air fatiguée en permanence et tu passé tes journées enfermer dans l'hôpital.

Austin : tu ne me parle presque plus.

Maman : je sais que c'est dur mais ma chérie, faut que tu comprennent que plus les jours passent et moins il y à de chances pour qu'il ne se réveille, à un moment il ne sera complètement plus là et tu devras apprendre à vivre sans lui.

Je fixe la guimauve fondre dans le chocolat en laissant les larmes couler le long de mes joues. Comme si je ne savais pas que plus les jours passait et moins j'avais de chance de retrouver mon âme sœur mais jamais je ne vivrait sans lui, si il part je part aussi et personne ne m'en empêchera. On m'a souvent demander jusqu'où je serai prête à aller en amour et j'ai toujours répondu que je ne savais pas mais maintenant je sais, je serai prête à mourir par amour.

Austin : je serai toujours là pour toi Lili et encore plus dans se moment très douloureux de ta vie, on veut juste que tu nous parle, sa t'aidera à aller mieux et de l'avant.

Elle me serre contre elle mais je ne lui répond pas. Je n'ai absolument pas envie de parler. Je sais qu'elles veulent mon bien mais c'est pas comme ça qu'elles y arriverons. Là, elles me font encore plus de mal que j'ai déjà. Même Barbara à fini par craquer complètement et à dégager toutes les personnes qui avaient totalement perdu espoir. Brend à réussi à faire comprendre à Dylan que ce n'était pas sa faute, et c'est bien qu'il le comprenne enfin.

Le silence qui règne dans la pièce est peusant. Elles attendent que je parle mais j'ai la gorge nouée et j'ai juste envie de retrouver mon petit amis, que tout ça finissent enfin par s'arrêter et c'est seulement lorsqu'il aura ouvert les yeux que je ferai des efforts pour vivre, à l'heure d'aujourd'hui je ne me bat seulement que pour être vivante lorsqu'il ouvrira enfin les yeux et que je renverrai pour la première fois depuis longtemps leur couleurs bleue clair. Je vais être brève et rapide avant de retourner au côté de personnes qui comprennent vraiment ce que je ressent en se moment et peut-être qu'après ça elles me laisseront enfin tranquille. Je les adores mais c'est vraiment pas le moment de me faire des leçons de morale. Tout est très clair dans ma tête.

Lili : vous ne comprenez pas parce-que vous n'êtes pas à ma place et nous ne vous rendez absolument pas compte à quel point c'est difficile tout les jours, j'ai besoin qu'on me laisse tranquille s'il vous plaît.

Je me détache de mon amie le plus vite possible et part en courant et me rend à l'hôpital. Je prend un verre d'eau et me rend dans la chambre de Cole. Même Mélanie qui vit ici ne peu pas rester autant de temps qu'elle veut dans la chambre de sons fils. Si sa se trouve il montre des signes de vie lorsque nous ne sommes pas là...

Peu de temps après mon arrivée une infirmière entre dans la chambre.

L'infirmière : écoutez, je sais que c'est très difficile mais je ne vais pas passer par quatre chemins. Comme vous le savez après un accident d'un tel impacte le pourcentage de survie est très faible, nous avons fait tout ce qui était de notre possible pour lui sauver la vie mais d'après les résultats de nos dernières analyses, il ne survivra pas, nous avons donc pris la décision de... Je suis désolée mais nous allons le débrancher.

Je pousse un cris et me mets à pleurer comme je n'avais jamais pleurer auparavant. L'annonce du coma m'a fait prendre toutes sensation mais là c'est encore pire, mort. La mort c'est définitif, la chaise sur la quelle je suis m'empêche de tomber, je les entends protester dans un bruit sourd. Jamais je ne reverrais la couleur de ses jeux, jamais je n'entrerai le son de sa voix, plus jamais je ne sentirais le contact de sa peau contre la mienne, ses bisous, ses câlins et ses douces lèvres, plus jamais je ne passerai ma main dans ses doux cheveux, plus jamais je ne pourrai lui dire que je l'aime... Tout ça c'est terminé. J'arrive pas à y croire, je ne peu y croire. Toutes ses personnes qui on baiser les bras avait raison et moi je resterai en vie pour attendre son réveil qui finalement arrivera jamais. C'est d'une douleurs inexplicable mais une chose est sûr pour moi,je mourrirai avec lui. On était amoureux l'un de l'autre et peu à peu on avançait mains dans la mains et maintenant tout ça c'est terminé, pour toujours. C'est si difficile de l'accepter, je n'en ai strictement aucune envie, même si tout est perdu je continue de garder espoir, quitte à souffrir deux fois plus au moment venu, je veut le retrouver, j'ai tant besoin de lui, de sa precence...

Dans un fragment de secondes que je ne pourrais expliquer, le vide qui remplaçait mon cœur disparaît pour laisser place à mon cœur réparer qui bat anormalement, c'est comme si une multitude de papillons se battaient dans mon ventre, j'ai l'impression de retomber une nouvelle fois amoureuse. Il vient de me serrer la main, très faiblement mais sa main à serrer la mienne et sa chaleur corporelle revient peu à peu en faisant disparaître la froideur de son corp. Je relève la tête et la tourne vers lui et c'est alors que mes yeux rentrent en contact avec les seins pour la première fois depuis une éternité.

Lili : oh mon dieu Cole !

Lorsque que je prononce ses mots avec une pointe de joie, tout le monde se tais. J'ai l'impression de ne plus être dans une chambre d'hôpital mais dans une autre planète, rien que nous deux, c'est comme si le monde avait retrouver toutes ses couleurs, jaune, bleu, vert rouge... Le monde triste en noir et blanc que je voyais à disparu. Mes yeux ne quitte pas les siens malgré les larmes de joie qui essayent de me brouiller la vue. J'ai attendue de moment depuis tellement longtemps que j'ai l'impression de rêver. Après tout ce temps, j'ai bien fait de garder espoir et de toujours y croire car se moment est enfin arriver. L'amour de ma vie est de retour parmis nous et je ne rêve pas, son regard plongé dans le mien qui ne quitte pas une seule seconde, sa main dans la mienne... Après tant de tristesse et d'acharnement la roue c'est enfin décider à tourner et à ramener Cole parmis nous. Pour rien qu monde je ne le lâcherai ou detacherai mon regard du sien, ce regard qui m'avais tant manquer, ses beaux yeux bleu que je n'avais pas vu briller depuis bien trop longtemps et ses joues qui deviennent roses progressivement. On est liés par l'amour qu'on éprouve l'un pour l'autre et personne ne pourra le briser, ce cauchemar est enfin terminé et je n'ai qu'une hâte c'est de retrouver une vie normale à ses côtés.

Mais malheureusement cette connexion visuel est brisée lorsque qu'il ferme finalement les yeux.

L'infirmière : après un coma aussi long c'est normale, il à besoin de sommeil, je vais vous demander de sortir de la chambre et de repasser demain, il sera dans un meilleur état.

Je ne suis même pas énervée par ses propos parce-que je sais que lorsque je serais de retour demain il sera vivant. J'essuie mes joues humides et me rend compte du sourire qui orne mon visage. J'ai retrouver tout les autres sentiments et sensation qui étaient cachés par la tristesse et je me rend compte à quel point j'ai faim et je suis fatiguée. J'ai hâte d'être à demain et de pouvoir être dans les bras de mon bien-aimé et après tout ce temps enfin rattraper le temps perdu à ses côtés. Notre couple peu survivre à tout même à la mort. Je me sens beaucoup plus légère, comme si j'avais enfin réussi à balancer très l'on des tonnes et des tonnes de tristesse et de mal-être.