Chapitre 5

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Flashback :

Yuu- sa va ?!
Mika- Tu t'inquiète pour moi ?!
Yuu- non, je m'en fous.
Mika ris doucement. Il restait dans l'ombre du placard de leurs chambre, voulant caché ses blessures. Cependant, Yuu était déjà au courant pour ce qui s'est passer il y a deux heures, mais n'osait pas le lui avouez. Pourquoi cela le tracasse autant, serait il attacher à ce point au blond, ou dans le cas de ce dernier, se serait il éloigner du brun ?
Yuu- pourquoi tu te cache ?! Tu peut te montrer, tu sait ?!
Mika- tu est au courant, pas vrais ?
Yuu- de tes blessures ?
Mika reste de marbre avant de ce montrer face à la lumière de la lune.
Yuu- pourquoi ?
Mika- tu comprendra pas.
Un long silence s'installe entre eux deux avant que le blond reprend, un peu maladroitement :
- la lune est belle, se soir. On sort ?!
- on a pas le droit.
- tu te soucis de sa, maintenant ?!
Deux grand sourires prend forme à la lumière de la lune, par la fenêtre de leur chambre.

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Je lève les yeux au ciel, puis les baisse, et les relèves. Je doit forcément passer pour un fous comme sa, à rodé sous les lampadaires, mais j'ai juste l'impression d'être observer donc, je fait exprès de passer pour un fous pour évité que mon intuition soit juste. Imaginez qu'on me regarde vraiment, qu'est ce qu'on pourrait bien me faire, surtout que je gèle. Bon, je ne prend pas le risque, je vais faire des cloche-pieds. Si avec sa, on me veux vraiment du mal...

Moi -Je suis mignon, mignon, mignon, mignon, mais gros, gros, gros...

On est jamais assez prudent. Dans cette situation loufoque, je continue mon chemin. Rien a dire, si l'amour de ma vie me voyait ainsi, je resterait célibataire toute ma vie. Qui voudrait bien d'un gars qui saute à cloche-pieds en bougeant sa tête dans tout les sens et en chantant cette chanson de-....

Moi- ... Mi... Mika ?!

Je m'arrête net, le visage tourner vers cette ombre au loin, les cheveux blond. Maintenant, je suis certains d'être observé, cependant... Woah!! Je n'ai jamais trouver que l'expression "le monde est petit" serait aussi censé.

Pendant ce temps, pour shiho :

Moi -c'est pour sa que la racine carré ramène à multiplier sa puissance à son nombre d'origine.

Yoichi- dé-désolé, mais je n'ai pas vraiment compris.

Je soupirs et ajuste mes lunettes avant de m'arrêter à une ruelle. Je lève la tête pour voir une dernière fois la lune et me retourne vers le jeune brun. Il est tellement con, mais il est mignon donc on ne peut pas l'en vouloir. Il me rappelle ma soeur. D'ailleurs, en parlant de ma sœur, elle est juste là, après cette ruelle, à m'attendre à l'hôpital. Enfin, "m'attendre" est un bien grand mot.

Moi- Nos chemin se sépare ici, Yoichi. Rentre bien.

Yoichi-oh... D'accord.

Je lui souris et m'approche de son visage pour lui faire la bise. Il ouvre grand les yeux, ne comprenant certainement pas se que je suis en train de faire. C'est vrais que la bise vient des occidentaux. Pour un japonais, se n'est pas vraiment courant de faire ainsi. Qu'est ce que je fous, il va me prendre pour un gay, si je continue comme sa. Pourtant, je n'ai pas pus m'en n'empêcher, c'est un réflexe et j'avais complètement oublier que sa ne se fait pas. On se regarde longuement, sans rien faire, puis, il avance sa tête. Ouf, c'est bon, il n'est pas si ignorant après tout. Il ferme les yeux, et instinctivement, je ferme les mien. Mes lèvres, pourquoi je sent quelque chose se posé dessus. Peut être qu'il m'a passer son front, non, je pencherait plus sur sa joue. J'ouvre les yeux avant de constater que.... OMO...

Moi- DÉGAGE.

Je le pousse tellement violemment qu'il finis au sol. Il se roule en boule devant moi, sur le trottoirs. Je réajuste mes lunettes puis m'essuie les lèvres avec le col de ma chemise avant de continuer mon chemin vers l'hôpital en un I parfait. En fait, se n'est pas moi, le gay de l'histoire, mais ce type. J'entre dans le bâtiment, beaucoup moins frais qu'à l'extérieur. Je ne passe même plus à l'accueil pour signaler que je suis là, ils savent qui je suis, à force. Je prend les escaliers et me tiens prêt pour 4 étages à monter. Je me mord les lèvres, OMO.

Moi- beurk, merde, beurk...

Putain, il l'a vraiment fait ? Il m'a embrasser ? Je fronce les sourcils et escalade les marche de quatre en quatre. Le chemin me paraissait plus court qu'à son habitude. Normal, me dit je, sa fais même pas un quart d'heure qu'on m'a embrasser par un mec. Je gonfle mes joue puis réajuste de nouveau mes lunettes. Je frappe a la porte de la chambre 272 puis entre. Évidement, je n'attend pas une réponse, sa serait tellement.

-Bonjour sœurette, comment va-tu ?!

Pas de réponse, pas de mouvement. Je souris puis pose mes doigts sur le front de ma petite soeur, sans une pointe de tristesse.

-On m'a embrasser par un mec, aujourd'hui.

De nouveau, pour Yuu :

- Mika... Je ne rêve pas!!

Il continue de me regarder avant de disparaitre dans l'ombre des arbres.

- NON. ATTEND MIKA!!

Je me met à le poursuivre. J'escalade et m'engouffre moi aussi dans l'obscurité. Impossible, impossible, impossible, impossible. Revient Mika, c'est impossible pour moi de te perdre alors que je t'ai enfin retrouver. Mika, où est tu ?

- MIKAAAA!!! MIKAAA! MIKA, C'EST MOI!! MIKA!!!

Je ne peut pas le perdre. Je ne veux plus le perdre. Nom du ciel, pourquoi me faire sa ? J'allume mon flash et continue de chercher. Je suis sûr que je n'ai pas halluciné. Pourtant, il y a le soleil qui commence à se lever, et j'ai fouiller tout les environs, que dalle. Pas la moindre trace. J'abandonne, tant pis. Au moins, je sait qu'il est là, à Tokyo. Je peut encore le retrouver. J'appelle Shinoa.

- A.... llo.... tu sais.... il est.... quelle heure.... ?

- Je vient chez toi. C'est trop urgent. Bisous.

- What ? " bisou" ? Mai-...

Je raccroche avant d'appeler un chauffeur de la famille. Pour des occasion pareils, je vais me le permettre.

Seraph Of The Last Dance { ᴹᴵᴷᴬʸᵁᵁ }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant