De l'autre cote de la rue

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                Agathe: Bonjour, je m'appelle Agathe, j'ai 17 ans, je suis née le 14 mars 2002 à Pau. Mes parents se sont rencontrés dans un bar. Mon père y était barman et ma mère était étudiante en commerce. Elle allait souvent dans ce bar pour se reposer ou étudier. Mes parents ont tombé amoureux, ils ce son marié et ce son installés ensemble dans une maison de campagne qui est maintenant gardée par mes grands-parents pour raison familiale. Ma mère était agricultrice et serveuse dans le bar de mon père à temps partiels, et mon père était toujours barman. Ils ont eu trois enfants: Lucas qui est l'ainé, moi Agathe et Diane la benjamine. Quand j'ai eu mes 8 ans mes parents ont décidé de partir s'installer en ville, en Bretagne, pour causse de manque de travaille. Donc tout le monde dans la famille a dû changer son mode de vie, d'établissement scolaire et de travail. Mon père est devenue boulanger, ma mère travaille dans le commerce, mon frère est en troisième année de lycée, Diane est en 4ème au collège et moi je commence ma deuxième année de lycée. Aujourd'hui en ce moment même ou je vous parle, il est 18 heures, je suis toujours au lycée car je suis de nettoyage. Je tape la brosse qui sert à effacer la craie, par la fenêtre.

Agathe: Mince !

Amie: Qui à t-il ?

Agathe: Fait suer, j'ai fait tomber la brosse par la fenêtre.

Amie: Mince, tu veux que j'aille la chercher?

Agathe: Non, ça ira, c'est ma bêtise, j'y vais.

Amie: D'accord, mais fait vite.

- Je sortais de la classe en soufflant, je dévalais les escaliers en direction du hall d'entré. Une fois à l'extérieure, je fessais le tour du bâtiment. A quelque mettre je trouva la brosse étaler sur le sol, l'herbe autour était plaine de poussière de cré. En ramassent la brosse, juste devant moi, un homme aux cheveux blond étincelant, habiller en costard, qui dormait paisiblement adosser au bâtiment. J'écarquillai les yeux, sans pousser un cri, la brosse me tomba des mains. En un instant je me posa une infinie de questions: Qui est-ce? Que fait-il ici? Devrais-je appeler la police, les surveillants? Il est vivant? Mort? T'en de questions et de choix qui s'offrait à moi mais la seule solution c'est de lui demander en personne. Je pris mon courage à deux mains et commença à le secouer en douceur.

Agathe: Monsieur? Réveillez vous!

?: Mmm, qui a-t-il?

Agathe: Ah, vous voilà réveiller!

?: Désoler, j'ai loupé un épisode?

Agathe: Que faite vous ici?

?: Je suis venue me reposer après les cours. J'ai due m'endormir, désolé.

Agathe: Vous n'avez pas le droit d'être ici.

?: Oups, désolé, je n'étais pas au courant.

Agathe: Peu importe, en tout cas vous n'avez rien à faire ici. Alors aller vous en, avant que quelqu'un s'aperçois de votre présence.

?: Tu est en première année?

Agathe: En deuxième pour être exacte.

?: Oh, toute mes félicitation.

Agathe: Vous ait dans le lycée qui ce trouve de l'autre coter de la rue?

?: Oui et je viens ici pour me détendre.

Agathe: Je comprend. Bon, je vais devoir y aller et vous aussi dalleur.

?: Merci de m'avoir prévenue, je ferais attention la prochaine fois et ravie d'avoir fait ta connaissance.

Agathe: Mais de rien.

-Mais ce que je ne savais pas encore, c'est que cette rencontre aller me conduire à un nid de problèmes. Depuis je suis devenue son amie. Il ma fait découvrir son monde de bourge et franchement, je préfère rester chez moi avec mon accent tout péter du Sud et ma famille. Ce n'était pas un monde pour moi. Enfin c'était quand même très intéressant et je suis très contente de l'avoir aider. Mais c'est à lui que tout l'honneur se tourne, il a sauvé ma ville de campagne car son père voulait construire une usine. Alors tout le village et lui même c'est tourné contre cette construction, il était prés à rayer son nom de famille. Je lui dois tout !

             Iori: Bonjour, je m'appelle Iori, j'ai 18 ans, je suis née le 15 avril 2003 à Paris. Je viens dune famille noble. Mes parents se sont rencontré l'or d'un bal organiser par la famille de mon père. Ma mère dirige un hôpital et y travaille en tant qu'infirmière, mon père travaille comme directeur à sa propre entreprise familiale. J'ai une grande sœur nommé Sandra, elle est marie à un avocat et habite à Londres. Elle vient rarement nous voir, donc je me considère comme fils unique. Un jour nous sommes partie en voyage vers la région d'accoter, la Bretagne. Nous sommes restées quelques semaines, le temps que mon père règle ces petites affaires. Je pense que mes parents on eu un petit faible pour cette région car aujourd'hui nous y habitons. Mes parents veulent le meilleur pour moi, ils mon inscrit dans l'une des plus grandes écoles qui existe ici. Elle s'appelle: Science po, elle se trouve juste en face d'un lycée publique. Au moment ou je vous parle, je suis entrain de m'endormir derrière se lycée publique, adosser au mur. Il fait bon, pas trop chaud ni trop froid, juste parfait. Je viens ici pratiquement tous les jours pour me reposer de mes 8 heures/ 18 heures et encore je peux terminer à 19 heures. Franchement si ce n'est pas de l'esclavage. Une voix me tira de mon sommeil.

?: Hey! Réveille toi ! Debout feignant !

Iori: Mmm, qui à-t-il?

?: Ah! Enfin tu te réveil!

Iori: Désoler ai-je loupé un épisode?

?: Que fait tu ici?

Iori: Je suis venue me reposer après les cours. J'ai due m'endormir, désolé.

?: Tu na pas le droit d'être ici !

Iori: Oups, désolé, je n'étais pas au courant.

?: Peut importe, en tout cas tu n'as rien à faire là alors va t'en! Avant que quelqu'un s'aperçoit de ta présence.

Iori: Tu est en première année?

?: En deuxième ne me rajeunie pas trop !

Iori: Encore désolé.

?: Tu est dans le lycée de bourge qui est de l'autre coter de la rue?

Iori: C'est exacte et je viens ici pour me détendre.

?: ...

?: Bon je vais devoir y aller et toi aussi d'ailleurs.

Iori: Merci de m'avoir prévenue, je ferais attention la prochaine fois et ravie d'avoir fait ta connaissance.

?: Tss.

-Nous somme partie chacun de notre coter. Mais se que je ne savais pas, c'est que cette rencontre aller tout changer. Nous sommes devenues ami, même si, moi, je la voie différemment. Elle ma montré sa ville de naissance et franchement je l'envie, les gens ont généreux, chaleureux, gentil et toujours prêt à t'accueillir. J'aime tout chez eux: leurs musiques, leurs villages, leurs culture et plain d'autre chose. Un jour j'aimerais déclaré ma flamme à cette fille, lui demander sa main et vivre avec elle dans ce petit village. Mais pour l'instant, je dois vivre l'instant présent. Je ne la remercierais jamais assez pour son aide qui était de me faire passer mes examens. Grace à elle j'ai eu 100 sur 100 à toutes les épreuves. Franchement je lui dois tout. Sans elle, ma vie de lycéen s'arrentait là.


De l'autre cote de la rueWhere stories live. Discover now