Mon père m'a vendu à un fou.

Chapitre 1

Bonjour, mon nom est Raruyia je suis d'origine française et espagnole. ( ma photo la-haut ). J'ai 19 ans, je suis stagière dans une entreprise en gestion de finance . Je vis avec mon père. Ma mère est morte lorsque j'avais 14 ans. Depuis sa mort, mon père a plongé dans la dépression totale: il rentre tard tous les jours, il ne travaille plus et de plus il est devenu alcoolique. Il me m'adresse plus la parole depuis quelques années. C'est moi, qui paye toutes les factures de l'appartement . Niveau caractère je suis une fille très dynamique, avec un fort caractère. Physiquement, je suis très attirante et j'ai de très belles formes. De plus, je suis enfant unique. Je vis dans un petit appartement avec mon père.
( fin de la presentation)
  Ce matin, je me suis réveillé en retard.  Aujourd'hui, je devais travailler. Je me suis brossée les dents vite fait et j'ai pris une petite douche. Je me suis habillée d'une façon très simple. 👇🏽

J'ai mis cette tenue avec des vans noir et blanc.  J'ai pris un muffin car il n'avait rien dans le réfrigérateur. Je m'apprêtais à sortit de l'appartement, lorsque mon père, saoul, agrippa mon sac à main.

Mon père: ce soir rentre tôt j'ai une nouvelle à t'annoncer.

Sans même que je puisse dire un mot il a lâché mon sac puis il est allé dans sa chambre. Sincèrement, c'était assez bizarre qu'il me dise sa, car il ne me parlait presque jamais.
Je suis sortis de l'appartement et j'ai pris l'autobus de la ville pour me rendre au travail. Mon cœur palpitait a une vitesse énorme. Car ce que vous ne savez pas c'est que mon patron ,Carter Vildity, est un homme très pervers. Ils aiment beaucoup les femmes. Chaque jour, il passe près de mon bureau pour me faire des avances et parfois il me tripote. D'ailleurs un jours, il était  venue dans mon bureau et avait commencé à toucher mes seins d'une façon sensuel. Ce jours là j'étais en pleure totale, j'avais honte de moi. Je ne comprenais pas pourquoi je laissais cet homme me toucher. Mais aussi, je ne voulais pas perdre mon travail de stagière. Pourtant Carter, n'est  pas un homme repoussant. Au contraire, il est très beau et très attirant. Il est grand et est toujours bien vêtue. Il a 27 ans. Il a hérité de l'entreprise de son père. Donc, maintenant vous comprenez pourquoi mon cœur palpite a une vitesse hallucinante.

17 heures:
Il est à présent 5 heures et j'ai encore beaucoup de paperasse à remplir. J'ai si hâte de rentrer pour savoir la nouvelle que mon père doit me dire. Je m'apprêtais à partir du bureau lorsque  je vis la porte s'ouvrir doucement. C'est carter, qui était au pied de la porte. Il était là avec son sourire narquois et ses yeux bruns d'Azur. J'étais très stressée car je savais ce qui s'apprêtait à arriver.

Carter: Ta finis les feuilles que je t'ai demandé. Dit-il avec un air narquois.
Moi: Non , je vais les finir chez moi. Je dois partir j'ai une urgence familiale. Dis-je d'une façon sec. 
Il fallait à tout prix que je sorte de ce bureau. Carter s'avance vers moi et dépose ses mains sur ma poitrine en me caressant et me chuchote:

Carter: Je t'attend demain matin à 9heures.
Puis, il est sortit du bureau. J'avais très honte de moi. Sans plus tarder, les larmes au yeux, je me dirigeais vers chez moi.

18h30:

Je venais d'arriver chez moi et mon père était dans le salon silencieux. Je suis allée m'asseoir. Son visage était crispé comme d'habitude.

Mon père: Depuis quelques mois, j'ai des problèmes d'argent. Et je n'arrive pas à trouver un emploi stable. Récemment, j'ai rencontré un vieil ami et il m'a parlé de son fils. C'est un entrepreneur il a 24 ans. Je l'ai parlé de toi et je l'ai même montrée une photo de toi . Donc j'ai fait un échange, son fils me donne un emploi si je décide de te laisser vivre chez lui. Son nom c'est Juan. Donc d'ici quelques temps tu iras vivre avec lui. Un de ses gardes t'attend dehors. Dépêche toi il n'est pas très patient.

Puis, il est partit sans même attendre une réaction de ma part. J'étais affreusement triste. Il venait clairement de me vendre à un inconnu. Il m'a échangé pour un emploi. UN EMPLOI ! Je n'avais guère le choix d'accepter cette décision, après tout c'est mon père et je devais le respecter. Mais je prendrai ma revenge, je vous le promets. Je suis allée dans ma chambre et j'ai pris tous mes affaires ainsi qu'un peu d'argent. J'avais la rage contre mon père, c'était définitivement un être cruel. Je suis sortis de l'appartement le coeur lourd, sans même dire aurevoir a mon père. Lorsque je suis sortis une voiture m'attendais dehors, je suis monté dans la voiture. Au volant il y avait un homme barbue, assez costaud.

Moi: où vous m'emmener ?

L'homme ne parlait pas. On aurait dit qu'il était muet. Cela m'énervait.

Moi: pourquoi tu parles pas? Elle est où ta langue.

L'homme: Je suis Marco, je suis le conducteur de Juan. Quel est ton nom ?

Moi : Mon nom c'est Raruyia. C'est qui Juan .

L'homme me regardait d'un air incompréhensible. Puis il n'a plus parler durant tous le trajet.

Après 55 minutes de route, nous sommes enfin arrivés devant une superbe maison, limite on aurait dit une villa. J'ai pris mes valises. Marco ma ouvert la porte. Dès mon arrivée, il y avait deux filles couchés au salon sur un mec. Je ne savais pas trop quoi faire. Marco quant a lui, il est tout de suite reparti. Je suis restée debout pendant une dizaines de minutes. Jusqu'à ce que le mec couché sur le salon avec les filles me remarque. Il se leva directement et avança vers moi.
Sincèrement, c'était le plus beau mec que j'avais vue de ma vue. Il était grand, brun. Il avait des beaux yeux bruns/verts. Il était très musclée. Il avait un tatoo en forme de fleur sur son bras, sa lui rajoutait une beauté de plus. Il était à présent devant moi, mes joues était toutes rouges. Il a commencé à rire. Je me sentais offensée.

Moi: pourquoi tu ris ? Sale con.
Lui: Mon nom c'est Juan.Et tu vas vivre ton pire cauchemar sale poufiasse. C'est moi qui t'a acheté parce que ton misérable père ne voulait pas de toi. Dit-il d'un air arrogant.

Ses mots m'avait fait mal au cœur.

Moi: Tu m'a peut être acheté, mais moi tu me parle bien sale fils de put...

Sans même que je ne finisse ma phrase, il me giflla......

Fin du chapitre.