𝑺𝒐𝒍𝒊𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆 👥

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ℒ𝑒 𝓈𝒶𝒷𝓁𝒾𝑒𝓇 𝑒𝓈𝓉 𝓁𝒶 𝓂𝑒́𝓁𝑜𝒹𝒾𝑒 𝒹𝓊 𝓉𝑒𝓂𝓅𝓈










𝙰𝚌𝚝𝚒𝚘𝚗𝚗.








Chut ça commence.





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アム刀ㄎ乇M乇刀イ ムЦ ζŒЦ尺 🦋

DERNIÈRE PHRASE :

ELLE : Angel's ton ange gardienne.
Sourire au lèvre































MÊME SAMEDI SOIR, HOME ANGEL'S 93📍



ARAAM : Tu faisais une pub ?


ANGEL'S : Non. C'était stylé rigole



ARAAM : hmm



L'ambiance c'est détendu pendant un très court moment. Après ce drôle d'échange, Araam c'est à nouveau renfermée sur lui même. Il avais remis cette barrière, ce mur, cette carapace qui le séparé du monde. Et le dîner c'est fini ainsi, dans le silence. Après avoir fini de manger, Angel's s'apprêtais à débarrassé leurs assiettes quand Araam l'interrompt.



ARAAM : Laisse, c'est bon



ANGEL'S : Ah merci




Il se lève sans me répondre, prend son assiette et me suis de près. Je me dirige vers le lavabo et déposse mon assiette en l'ignorant complètement, contrarier par son attitude changeante. C'était son indifférence qui m'énerver. Le problème n'est pas le fait qu'il ne me parle pas mais plutôt qu'il me donner l'impression d'être insipide, inférieure à lui dans sa façon d'être. D'être trop sotte pour pouvoir discuter avec lui, c'était l'impression que j'avais quand il me regardait et ça paraissait naturel chez lui d'être comme ça. Il était tellement désintéressée de tout que ça en devenait arrogant.

J'ai par la suite ouvert l'eau pour me rincer rapidement les mains. Araam qui m'emboiter le pas est venue déposer son assiette derrière moi, me frôlant le dos de son torce. Il n'avais pas attendues que je me déplace pour posé son assiette. Il l'a fait pendant que j'étais encore là, à me laver les mains. Cette proximité me donner des frissons. Ce mec me faisait déjà ressentir une présence écrasante sans faire aucun effort en particulier. Sa personne m'oppressé et me déstabiliser à la fois. Je ralentis mes gestes en essayant de savoir ce qu'il faisait derrière moi. Le fait qu'il soit si proche de moi m'embrouiller le cerveau. J'ai lever la tête pour pouvoir le regarder et un long regards s'est échangé. Son regard était insistant sans vraiment l'être. Il me regardait droit dans les yeux mais ce regard était différent de toute les fois où nous nous sommes regardé. Je n'ai même pas su interpréter son message. Je n'ai pas pu le regarder plus longtemps. J'ai tourner la tête. Je n'arriver plus à supporter la pression qui règner dans ses yeux. Il s'en alla sans dire un mot. Je suis rester là, statiques pendant un petit moment. Oubliant même que l'eau du robinet couler.

𝐏𝐚𝐧𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐚𝐮 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫   (Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant