Chapitre 13: Soulèvement

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Jour J-2 avant le soulèvement. Alors qu'on taffait á dans la carrière j'avais demandé á Dim de faire le tour des clans renoi. Et il s'avérait que j'avais raison. On se retrouva donc le soir au fond des douches une carte posée sur une table.

-Ceux de notre tribus qui ont été fait prisonnier sont bien retenus ici. Dit il.

-Ou t'a eu cette carte de la prison au fait ? Demandais je

-C'est pas important. Bref je leur ai dis de passer le mot et maintenant tout le monde veut rencontrer Seb. Certains ont refuser de se joindre á nous alors j'ai du les persuader.

-D'ou le sang sur ta main. Fis je remarquer.

-C'est pas important.

-De mon coté mes gars sont prêt. Tout est en place pour que ce batard de Brakiev prenne cher.

-Encore une fois comment tu comptes lancer ce soulèvement ? Demanda Dim.

-Ha, de la façon la plus cliché qui soit.

On était Jour J-1 avant le début de l'opé, des gardes ont débarqués á l'aire de jeu. Je jouais aux échecs avec Dimitri lorsqu'ils vinrent á moi.

-Pas besoin d'en dire plus je viens avec vous.

Mes actes avaient visiblement attirés l'attention, non en fait cette pute de Brakiev avait déja reveler mon blaz au vieux soldat.

-Non Seb. Cria Dimitri.

Á ce moment là toute la prison eu enfin connaissance de mon identité. Ce qui m'arrivait était plus ou moins préméditer. Mes hommes á moi qui étaient déja en céllule se sont mit á faire du grabuge. L'un d'eux á même frapper un garde.

-Lachez le.

-Lachez le.

-Relachez Seb. Hurlaient ils.

Alors que ça allait partir en couille je repris le fusil des mains de mon soldat et lui donna un coup de crosse pour le calmer. Le silence revint automatiquement dans la pièce.

-Ça suffit. Avais je hurler. Retournez tout de suite en céllule.

Sans discuter ils obéirent. Un des gardes débarqua en trombe et pointa son fusil sur moi.

-Jette ça. Hurla t'il.

J'obtempera. Mais quel ne fut ma surprise lorsque nos regards se croisèrent.

-Lecter ?

-Seb ?

Cette confirmation de mon ami le garde allait sans qu'il ne le sache assoir mon autorité dans cette prison car comme avait dit ma p'tite soeur, j'ai trop sous estimé le nom que je me suis fait dans le Nord. C'est donc avec un sourire assuré que je le suivit.

J'avais été trainé ici contre mon gré avec une cagoule sur la tête. J'ai du bien faire une vingtaine de kilomètre. C'était la distance que j'avais estimé avec Lars et le reste du groupe. La mega factorie était divisée en deux. La prison ou le lieu de travail et la garnison ou se trouvait les machines prêtes á l'emploi. Vu qu'on avait pas les moyens d'attaquer directement cet endroit il fallait forcer leur garnison a venir á Sterben. Ha quand j'y repensais tout me semblait si simple.

-Hey tu m'écoutes gamin. Me dit le dirlo.

-Bien entendu.

J'étais attaché á une chaise face á mon ami le directeur Démon. Á sa droite une jeune femme blonde bien vêtu. Noble surement. Je lui donnerai même pas au dela de 18 ans, mais son regard très mature me faisait dire que c'était pas n'importe qui. Á coté mon bon ami Karl Lecter.

Ares Game:  The Gods GeneralOù les histoires vivent. Découvrez maintenant