Joyeux voyage dans les profonds abysses d'une vie illusoire.
Voguant sans conviction sur les eaux troubles de mon destin, je meurs.
Coeur à l'abandon, on s'enflamme pour quelques heures.
Quand le monde ne tourne plus, ce sont les horloges de nos malheurs qui se rembobinent.
La voix tremblante, le coeur lourd, dans un souffle coupé,
Pluie, tempête, s'abandonnent sur ma chair déchirée.
Margot
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Fragments
PoetryJuste quelques textes d'une ancienne lycéenne qui s'ennuyait énormément.