Zoé 21

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Quand on arrive au QG ils sont tous à nous regarder, Antonin me prend la main en se dirigent vers le bar Lorenzo nous sert une bière

- Mon frère tu devrais aller te changer

- Tu restes là, me dit Antonin. Je lui fais signe que oui, il court dans l'escalier qui mène à l'étage

- Il se passe quoi ?

- Boit.

- Euh je viens de me lever, il est 4 h00 du matin donc si tu crois qu'une bière va me détendre tu rêves !

- Écoute on a mot d'ordre de ne rien te dire tant que Milo n'est pas là.

- Ohh, magnifique donc mon père va prendre cher !

- Calme-toi, me dit Antonin dans mon dos

- Me calmer, mais bien sûr que je suis con, je n'ai pas de nouvelles de mon mec depuis 3 jours, tu débarres en pleine nuit ton t-shirt plein de sang, vous faites tous des têtes de six pieds de long donc tu vas être gentil soit tu me dis ce qu'il en est ou tu fermes ta gueule.

- Zoé arrête de terroriser mes hommes.

- Quand il y en a un qui aura des couilles.

- Tu me fatigues ma fille tu ne peux pas être comme toutes les nanas.

Je souffle je ne vais pas tarder à exploser personne ne parle et moi je veux savoir, mais si je pose la question et qu'il me réponde que c'est trop trad je vais m'effondrer.

- Bon suit moi !

On passe vers le font du club je ne connais pas ce côté-là.

- Papa ?

- Viens

On rentre dans une salle. Il a 4 femmes qui nettoient la pièce, nous sommes dans une sorte de salle d'opération.

- Jess, je te présente ma fille, la femme de Gab.

Vu sa tête cela n'a pas l'aire de la ravir.

- Ah je ne savais pas qu'il était avec quelqu'un !

On se fixe et je comprends qu'il y a eu une histoire entre eux.

- Jess est notre médecin

- Super !!!

- Zoé !!

- Quoi, à un moment on me dira ce qu'il en est pour mon homme, ou je sors une boule de cristal

- Ce serait bien de se calmer ce n'est pas bon pour Gabriel t'en de stress.

- Toi ma cocottes-tu ne devrais pas faire ta maligne les toubibs ça se remplace.

- Oui bien sûr, bref Milo, Gabriel dort encore, je lui ai retiré la balle, il lui faut du repos, donc je vais vous demander de sortir que je veille sur lui.

- Ok on a accès rigolai, je prends mon téléphone.

- Salut dessolé de te déranger tu peux venir un QG .

- Putain !! Zoé tu me fais chier, ta vue l'heure, il souffle, j'arrive.

- Merci, collection de lingerie complété pour ta femme.

- Ouais, donne-moi 20 minutes

Je raccroche,

- Merci tu peux te barrer

- Quoi ? Milo

- Écoute cocotte je ne sais pas ce que tu veux à mon homme, mais tu vas être gentille et ne plus l'approcher pour le reste on fera plus appel à tes servies.

- Milo dit quelque chose

- Tu as appelé qui ?

- Jeremy

- Bien, dis mon père en lèvent les mains, Jess vient avec moi. Mon père sort avec miss cocotte qui est furieuse, une des nanas me tend la main

- Je suis Alizé la sœur de Lorenzo, vient Gab est là.

Je la suis on rentre dans une chambre, mon viking est couché avec une perfusion.

- Je vais fini avec les filles, appelle-moi si tu as besoin.

Antonin rentré quand Alizé sort. Je me mets sur le rebord du lit à côté de mon Viking.

- Il s'est passé quoi ?

- Je vais juste te dire ce que tu peux savoir, on est tombé sur une embuscade Gabriel a pris une balle dans l'abdomen.

Je ne dis rien, de toute façon quoi dire. La porte se s'ouvre de nouveau sur Jeremy et Alizé.

- Je viens voir mon patient et toi t'as de la chance que je t'adore et que ma femme aussi.

- Merci, mais miss cocotte ne voulais pas me dire quoi que ce soit.

- Oui Alizé m'a dit, Jess est un bon médecin, mais une vraie conne. Il regarde le pansement parle avec Alizé.

- Bon tout va bien, je reste le temps qu'il se réveille et je rentre, Alizé tu peux rentrer avec les autres.

- Ok a plus tard.

- Tu la connais, je demande à Jeremy.

- Oui c'est mon interne.

- Ok et miss cocotte.

- On bosse dans le même hôpital.

- Oh elle ne va pas être contente alors.

- Toi tu n'as pas changé.

- Non pas depuis que tu étais mon baby-sitter.

-Ouais bon Antonin tu m'offres un café.

- Oui vient.

Les garçons sortent et je m'allonge prés de mon Viking. Je lui caresse les cheveux.

- Je te jure que si tu me refais une peur pareille je te découpe en petits morceaux.



La raison n'a pas d'ageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant