PDV Élodie :
Le lendemain matin je me réveillais, il était 10h38 je regardais à côté de moi, Grace n'était pas encore réveillée. Je me leva ainsi, et me baladais dans le jardin, puis m'asseyais dans l'herbe en buvant un café, réfléchissant à tous ceci.
PDV GRACE :
Je me réveillais, Élodie n'était pas là comme d'habitudes. Nous avions passée une mauvaise nuit toute les deux. Pendant la nuit j'entendais Élodie pleurée, et j'essayais de la calmer en me collant contre elle. Et on ne peux pas dire que ça marchais pas. Puis moi j'avais passée ma nuit à réfléchir à propos de nous deux et de ma mère. Je n'avais pas beaucoup dormir à vrais dire. Je me levais, puis je cherchais Élodie dans la maison. Puis je savais ou je pouvais la trouver, elle allait toujours là quand elle n'était pas bien. Elle allait toujours dans le jardin. J'ouvre la porte qui dirige au jardin, puis je la vois en pyjama, assise sur le gazon avec sa tasse. Je m'approchais d'elle, puis m'asseyais à côté d'elle.
- Je vois bien que tu ne vas pas bien, qui a t'il ?
- Je...Je réfléchis à tous ça et...
Je l'a coupa.
- Arrête, clairement arrête ! Merde on est heureuse non ? Dès que cette pétasse est arrivée, depuis tout ce temps tu doute. Merde ! Je t'aime et c'est réciproque, c'est pas 15 ans de différence qui va nous empêcher de nous aimer, d'être simplement heureuse. Ce n'est qu'un putain de chiffre ! Me dis pas que tu ne m'aime pas en amour car c'est faux j'le sais. Et puis qu'est-ce qu'on s'en fout des autres et d'elle c'est notre vie, on s'aime merde ! Si hier tu as fait ça ce n'est pas pour rien. Maintenant arrête de pleurer à cause de tout ça ! Arrête de douter, on s'aime et puis c'est tout. Tu es la personne la plus précieuse que j'ai dans ce monde, même si je ne te l'ai jamais montrée.
- Ne dis pas que ta mère est une pétasse, puis, je ne pleure pas la nuit.
Dit-elle le sourire aux lèvres.
–Ah bon ? Cette nuit tu n'as pas pleuré ? Et je ne me suis pas collé à toi pour te faire un câlin pour te calmer ? Alors j'ai dû rêver.
Elle rigolait face à cette phrase.
– Bon, j'ai peut-être un peu pleuré
Dit-elle.
- Comme un bébé oui !
Elle souriait.
- Écoute, je serais toujours là pour toi, et arrête de douter crois moi. Je t'en interdis compris ?
Elle en était émue, elle m'embrassa, en passant sa main sous mon menton.
- D'accord maman, me dit-elle en souriant.
Je me levé, pour me préparer, une fois prête, je me dirigeais chez ma mère pour discuter.