Une douleur intense à la tête me sortis de mon sommeil. J'étais dans la chambre de mon amie Emma. Je me levai difficilement et me dirigeât vers le miroir au bout de la pièce, tout en me cramponnant à tout ce qui ce trouvé autour de moi. Mes yeux verts étaient terriblement enflés et rouge. Mes cheveux pour une fois étaient détaché, ils avaient une couleur châtains ce rapprochant plus du blond. Le nœud qui les maintenait avait sûrement dû se casser et tomber durant la soirée d'hier. En même tant vu l'état dans lequel il était, ce ne serais pas étonnant.
Je sortis de la chambre, descendis les escaliers pour me retrouver dans la salle à manger. Emma était dans la cuisine ouverte. Elle lavée un bol et une petite cuillère. En la voyant faire je compris qu'il devait sûrement être tard, vu ça tendance à se lever tardivement le week-end. Ce qui ce confirma quand je vis l'heure sur l'horloge numérique posé sur la console de la cuisine, qui indiquait 10h30. Je m'avançai doucement derrière elle pour qu'elle ne me remarque pas. Mais sans même se retourner elle m'interpelle. Je la suppliais alors de me laisser tranquille le temps de me réveiller et de prendre un bon Dolipranes. Elle accepta, mais m'ordonne de revenir immédiatement après, pour pouvoir me parler de ce qui c'était passé hier.
Je me pris alors ce fameux Dolipranes sans même prendre le temps de déjeuner. A peine assise sur le canapé du salon qu'elle commença à m'engueuler. Plus elle me parlé plus j'avais cette terrible impression que mon crâne allé exploser. Elle continua son dialogue solitaire car mon horrible mal de tête m'empêchait de lui répondre. Elle sembla l'avoir remarqué, car je l'entendit dire que c'était malpolie de ne pas répondre. Je la suppliais une nouvelle fois de me laisser tranquille. Car certes les maux de tête avait emporté la tristesse mais la douleur était trop intense pour aligner ne serait-ce que deux mots. Elle fit alors preuve de compassion et me laissa seule.
Plus tard dans la journée quand la douleur avait presque disparue, elle vint me voir et recommença ça leçon de morale:
" Julie je sais que tout ça t'a beaucoup blessé et je le comprends, mais s'il te plaît arrête de traîner dans tous les bars du coin. Tu m'inquiètes. Hier quand je t'ai trouvé tu tenais à peine debout. Et marcher n'en parlons même pas. Et puis imagine, si je ne t'avais pas trouvé, et que ça avait été un groupe de gens complètement fous qui aurais était là à ma place, hein ? T'y as pensé au moins." Me dit-elle complètement inquiète en déposant ça main sur la mienne.
Je la regardai avec un regard vide mais tout aussi emplis de culpabilité. Car je n'étais pas stupide au point de ne pas réaliser le danger que j'avais pris en sortant si tardivement le soir. Mais la solitude pesante que je ressentais et le trou béant qu'avais laissé ma sœur dans mon cœur, m'était juste insupportable. Alors me réfugier dans l'alcool était pour moi ma seule issue. Car pendant un cour instant je pouvais tout oublier et me laisser emporter par l'ambiance des bars les plus fréquentés du coin.
Elle se leva et m'obligeât à rester ici tout la journée car elle s'avait pertinemment que si elle me laissé rentrer chez moi j'allais retourner dans les bars de journée comme de nuit. Ce que je ne pouvais nier, car le simple fait d'imaginer le confort que pouvait m'apportait l'alcool me sembla plus qu'irrésistible.
Elle passa donc toute la journée à me parler de tout et de rien, pour me permettre d'oublier. Et je le lui en remercie, car c'est vrai que cela n'avais pas le même effet que l'alcool, c'était moins puissant et permanant. Mais cela me permettait de me détendre ne serait-ce qu'un peu.
Une fois la journée passé elle me proposa de dormir avec elle. Ce que je ne refusai pas, bien au contraire cela me rassura. Car je ne me voyais certainement pas dormir seule avec mes pensées lugubres.
La nuit fût mouvementée. Des cauchemars les plus horrible les uns que les autres m'empêchaient de dormir. Je m'imagine sans cesse ce que cet enfoiré avait bien pu faire à ma sœur avant de la tuer. Car je l'ignorais malgré le fais que je travaille dans la section criminel, à la police de Londres. Car mes coéquipiers et mon patron avait tout mis en oeuvre pour me tenir à l'écart de tout ça pour ne pas être perturbé par mon application avec cette affaire. Ce que je comprenais parfaitement. Parce je sais pertinemment que si on arrivé à l'attraper, je l'aurais sûrement tué de mes propres mains.
Durant la nuit Emma remarqua mes gémissements de tristesse et de peur. Elle me réveilla brusquement pour y mettre fin et me calmer. Elle me serra fort contre elle. Et ça chaleur et son odeur familière m'apaisais. Je pus me rendormir plus facilement et passa une bien meilleure nuit que tout les autres après le décès de ma sœur, il y a un an.
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Alors voici le premier chapitre. Je commence tout juste à écrire. C'est même la première fois que je poste une histoire sur un site. Alors je m'excuse pour toute les fautes et je suis ouverte à toute critique.
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Acceptation
General FictionJulie, femme de 35 ans policière depuis 10 ans dans la section criminelle, apprend que ça soeur à été assassinée par un meurtrier inconnu des services de police. Mais l'affaire étant considéré comme trop personnel pour elle, elle fût mise à l'écart...