Préférence Akatsuki

Votre plus grosse dispute

Pain :

Tu regardais Pain avec une once de colère toujours à son bureau toujours entrain de t'ignorer. Tu vas vers lui en passant tes bras autour de ces épaules. Tu poses ta tête sur le sommet de sa tête. Il soupire mais continu ces papiers sans rien dire.

T/P : Pain...

P : Oui ?

T/P : est-ce que tu peux passer un peu de temps avec moi ?

P : Je n'ai pas le temps.

T/P : tu n'as jamais le temps...

Tu te réinstalles sur son lit en soupirant quand Konan frappa à la porte.

K : Pain ? Je peux te parler 2 minutes ?

P : J'arrive.

Pain se leva alors que tu le regardes méchamment. Quand il revient, il se réinstalle à son bureau alors que toi tu commencer à fulminer.

T/P : Pain ?

P : Oui ?

T/P : On peut parler 2 minutes s'il te plaît...

P : parler de quoi ?

T/P : de nous.

Pain se retourna vers toi avec toujours ce visage impassible. Il croisa les bras et les jambes en attendant de t'entendre.

T/P : Pain, je me sens négliger, tu ne fais pas attention à moi ou mes besoins.

P : C'est faux...

T/P : regarde je voulais juste passer un moment avec toi, Juste parler ou juste un bisou m'aurais suffi mais tu m'as rejeté. Alors que quand Konan est venus te voir pour parler de je ne sais quoi, tu t'es empressé d'aller la rejoindre.

P : Je ne comprends...

T/P : Tu l'aimes ?

Pain te regarde alors que tu prends tes affaires pour sortir de cette chambre qui commencer à devenir étroite à ton gout.

P : T/P...

T/P : non... ton silence vaux toutes les réponses que tu aurais pu faire... Et je crois que j'ai maintenant toutes les réponses à mes questions... Au revoir Pain.

Tu sortis de la chambre en pleure. Tu passa devant quelque membre de l'Akatsuki mais tu ne t'arrêta pas devant eux.

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Hidan :

Tu entrais dans votre chambre à toi et Hidan quand tu sentis le sang monter à tes narines, tu réprimer une envie de vomir quand tu pensas que c'était forcément un sacrifice d'Hidan. Tu entras en allumant la lumière ce qui fit lâcher un petit cri à Hidan. Tu le regardes avant de retirer tes vêtements. Tu souffles enfin quand tu sens un poignard sous ta gorge. Tu râles et retires le poignard sous le regard choquer d'Hidan.

H : Ben quoi ?

T/P : Hidan, je n'ai pas envie de faire un sacrifice ce soir...

H : Quoi ?

T/P : Hidan je suis claqué, j'ai qu'une envie c'est de dormir...

H : mais le mardi c'est sacrifice...

T/P : comme le jeudi, le vendredi et tous les putains de jours de la semaine !

H : ON DOIT HONORER JASHIN !

T/P : MAIS PAS TOUT LES JOURS !

H : BIEN SUR QUE SI !

T/P : PUTAIN HIDAN OUVRE LES YEUX, JE SUIS MORTE, J'AI PASSÉ MA JOURNEE À SOIGNER LES PETITS BOBOS DE CETTE PUTAIN D'ORGANISATION DE MERDE !