Animal étendu
Dans le mal des mots
Dans de froides mélopées
Ordure finale hétéroclite
Cataclysme de l'aube nouvelle
Le rapport de l'oubli s'éteint
Voguez sur ma vue
Oiseaux de proies éternelles
Immisce toi sous la couverture
Des syndromes de notre époque
Pousse la porte d'ébène
Nage vers l'ailleurs
Voit les corbeaux
Le meuble qui s'imprègne de l'infini
Sur de futiles moquettes blanches
Essaie de me voir
Je sais l'éternité qui nous sépare
Prépare des espaces volubiles
Pour nos préfaces incongrues
Au large la décadence
On se frotte aux adieux
Jaillissants de noirs creux
De fontaine d'espérance
Ils jouissent de votre essence
De votre permission d'être
Sur nos corps écrus
On lit l'émergence de l'art
On voit l'étrange s'immiscer en nous
Pousse la porte d'ébène
Voit les douces lumières
Plonge