Rowenna était sortie de sa chambre, elle se baladais dans le manoir, il était énorme. Elle avait failli se perdre plusieurs fois. Elle réfléchissais aux derniers évènements, elle ne connaissait pas cet Octavius mais elle continuait à penser que les rumeurs à son encontre étaient vraies.
Dans la bâtisse des étranges sphères de verre brillaient illuminant les nombreuses pièces qui la composaient. Octavius lui avait expliqué que l'on appellait cela "ampoule", et que l'étrange magie qui lui permettait de fonctionner s'appellais "l'électricité". Cependant ce n'était pas une magie avait-il dit. Elle ne revenait pas de toute les choses qu'elle voyait, elle ne comprenais pas non plus la plus grande parties des choses qu'Octavius lui présentait. Il y avait un ascenseur qui marchait aussi avec l'électricité, elle savait que tout ou presque tout les objets et machines fonctionnaient avec ça.
Elle marchait dans le couloir qui la menait à sa chambre, sur le chemin elle voyait des automates qui s'affairaientt à entretenir le manoir. Quand elle n'était pas dans sa chambre elle entendais des centaines de cliquetis discret qui provenaient des murs.
Elle avait des centaines de questions qui lui traversais l'esprit, mais elle ne savait pas si Octavius lui répondrait. Il lui avait fournie un sabre tout neuf et des habits qu'il avait trouvé. Rowenna était vêtue de longue botte et d'un pantalon en cuir. Elle portais une blouse elle aussi en cuir avec une sorte de harnais ou elle pouvait ranger si elle le voulais un pistolet, Octavius lui en avait confié un sans problème. Elle revêtait parfois une barrette ornée de plume.
Octavius se rendais compte que Rowenna se méfiais encore de lui, il se disait que ça passerais avec le temps. Il lui avait pourtant donné des habits neufs, de quoi manger un endroit où dormir. Il se méfiais lui aussi d'elle, il ne savait pas si elle avait cru ce qu'il lui avait expliqué. Il pensais que non. Il lui avait donné tous ces équipements en espérant qu'elle finirait par lui faire confiance.
Octavius passais des jours entiers dans son bureau, il travaillais sur des machineries diverse et variée. Il imaginais une machine qui lui permettrait de déplacer ses automates par voies terrestre. C'est plus discret, mais il perdait forcément en rapidité. En parallèle il travaillais sur une arme capable de traverser un dragon, en théorie seulement.
Un jour, il était en train de finaliser son véhicule quand une voix s'éleva derrière lui.
- C'est quoi ça ? Il se retourna subitement et fit volt face à Rowenna qui recula d'un pas.
- Oh... tu m'as fais peur, il souffla, qu'est ce que tu cherche ?
La chevelure tirée en arrière, elle portait les habits qu'il lui avait donné, cependant elle ne portait pas d'arme.
- Ça... c'est quoi ce truc ? Elle pointa le plan sur le bureau, on dirait un chariot, mélangé a un Alambic tout en métal et en bois.
Octavius rit.
- On peut dire ça... c'est une sorte de chariot, pour porter du matériel et des automates. Mais c'est pas encore finit, il reste des tas de choses à régler. En théorie il doit pouvoir avancer sans chevaux... Mais il me reste à trouver comment faire. Il se leva de sa chaise, et dit à Rowenna, suis-moi.
Elle lui emboîtat le pas, il la menait dehors, après un dédale interminable de couloirs grisâtre, il débouchèrent dans le jardin, un immense parc avec des bancs, des buissons et des chemins de gravier. Archibald gérait quelques automates qui chargeais des caisses dans un dirigeable. Le soleil était haut dans le ciel, c'était la fin de l'après-midi. Une odeur flottais dans l'air, une sorte d'odeur de fleurs et de fruit.
- Écoute, j'ai besoin de recruter plus de main d'œuvre, les automates sont très bien dans ce qu'ils font, mais ne sont pas assez adaptable, ils excellent que dans les tâches pour lesquelles ils ont été créés. Est-ce que tu sais si des gens de ton village ont survécu ? Mes automates n'en n'ont trouvée aucun.
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Paria
General FictionSur le continent tout le monde parle d'un homme qui aurait commis des crimes horribles, le manque de preuves lui auront permis de pouvoir s'en sortir sans condamnation, malgré cela, les gens préfèrent ne pas se frotter à ce fameux personnage détesté...