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some nights you dance with tears in your eyes
il se fût tard donc moi et Lila décidons de rentrer chez elle. au moment ou moi et elle allions passer la porte d'entrée, Alejandro me prit le bras et me demanda de rentrer chez lui, comme cet été avait-il rajouté. Lila me regarda et me murmura « vas-y » en me faisant un clin d'œil. J'accepta donc son invitation puis je monta dans sa voiture côté passager pendant qu'il était entrain de chercher ses clés.
Au bout de quelques minutes, on rentra chez lui puis il me prêta un sweet à lui pour que je ne dorme pas avec la robe de Lila. -Au pire, tu peux dormir avec rien, ça me dérange pas. Je lui arracha le sweet des mains et lui demanda de se retourner. -putain mais je m'en fou de te voir en soutif fait pas genre ça te gêne. avait-il protesté. -tourne toi et ferme ta gueule j'ai pas le temps. Il se retourna en haussant les épaules. Je me retourna moi aussi et je remarqua qu'il a quand même porté un oeil sur moi. Je lui annonça qu'il pouvait se retourner puis il me sortit son meilleure sourire d'ange. -La prochaine fois, soit plus discret. Il se gratta la nuque puis partit se changer. Pendant ce temps, je me posa délicatement dans son lit double en prenant toute la place. Mes yeux se ferment lentement mais pas complètement pour pouvoir admirer le corps d'Alejandro. Il s'apprêtait de rentrer dans son lit en me câlinant quand d'un coup je le repoussa. -mdr coco, tu vas tout sauf dormir avec moi, tu dors par terre. avais-je prononcé en gardant toujours mes yeux fermés et en ne bougeant pas d'un poil. Il soupira et partit installé un matelas afin d'y passer la nuit.
Le lendemain, je me réveilla paisiblement quand tour d'un coup j'aperçus la tête d'Alejandro. Je cria le plus fort possible de surprise ce qu'il le réveilla directement. -TU JOUES A QUOI ? avait-il crié à son tour et en se levant du lit. -MAIS TOI TU JOUES A QUOI ! Je me releva puis posa ma tête entre mes mains pour m'installer ensuite sur le rebord du lit pendant 10 minutes. Le lit d'Alejandro est très haut par rapport à mes jambes, du coup je n'arrivais même pas à toucher le sol ce qui amusa Alejandro.
Après avoir été sortis de mon coma, je descendis dans la cuisine pensant être chez moi. Je remarqua vite ma connerie quand j'aperçus les parents d'Alejandro me regarder d'un air interrogatif. -Euhh, bonjours... excusait moi je me suis trompé... -ELLE, ahhh je te cherchais, avait crier Alejandro avant d'avoir remarqué ses deux parents. Il me prit par les épaules et me poussa vers sa chambre. -On revient vite ! avait-il prononcé du haut des escaliers. MAIS TU JOUES A QUOI ! -ohh ma tête, tu vas te calmer ? avais-je essayé de rester la plus sereine possible. Il roula des yeux et partit enfiler un teeshirt. -T'aime trop faire le gadjo. Il se retourna vers moi pour me faire face. -C'est à dire ? avait-il demandé en penchant sa tête sur le côté. -C'est à dire que même si il fait -40 degré tu vas rester torse nu et contracter de malade pour montrer que zarma t'es bg. -Parce que tu me trouves bg ? demanda-t-il en haussant les sourcils. -Bah ouais, c'est pas comme si je te l'avais jamais dit. avais-je avoué d'un ton plus que normal. Il secoua la tête puis il se dirigea vers la salle de bain pour que je puisse enfiler ma robe d'hier en portant par dessus le sweet qu'il m'a prêté.
Quand il sortit de la douche, il avait seulement une serviette autour de la taille. Il avait les cheveux mouillés qui le rendaient beaucoup plus attirant. -bave pas. Je me ressaisis vite en continuant à regarder mon téléphone. Ma vision se redressa sur Alejandro puis je remarqua qu'il avait enlevé sa serviette pour enfiler son caleçon. Une vue pertinente sur ses fesses. -MAIS PUTAIN TU JOUES A QUOI ! T'ES COMPLÈTEMENT CHTARBÉ !avais-je crié. Il était sur le point de se retourner mais je plaça rapidement mes deux sur mes yeux afin de ne rien avoir. -fait pas chier, deja je t'héberge, après je t'habille pour te laisser dormir SEUL dans mon lit XXL... Un zizi en plus dans une vie c'est rien. T'inquiète tu t'en remettra de mes fesses bénies. Malgré moi, je rigola légèrement face à ce qu'il venait de dire.
Quand il fût habillé, je le prévenu que je devais rentrer chez moi. Il me fit un bisous sur la joue et m'accompagna jusqu'à la porte d'entrée. Je lui fît un geste de la main puis commença à marcher vers ma maison qui se trouvait pas très loin de la sienne.
