V-I

4 0 0
                                    


Dans la forêt, naissant, sur le dos, dans le creux d'un arbre,

Papineau, dans son gazouillis, demande à se nourrir.

Parmi les Botrucs, rien n'y fait, ils restent de marbre,

Mornick, gardien de l'arbre s'approche, Papineau va sourire.

Plus tard, les hommes veulent récupérer Papineau, il cri

De douleur, Mornick perce des orbites oculaire.

D'une valise il crochète le verrou qui fait « iiiiii »,

Quelques vêtement de bébé trouvés, les intentions sont claires.

À l'adolescence Papineau veut être libre,

Il cherche ses racines, d'où il vient.

À la recherche d'un père, quelques bribres,

Par ci par là, le noir aveuglant, œdipien..

Ayant grandi dans l'arbre et apprit à protéger la nature,

Papineau va sur le territoire des hommes, Mornick accroché à lui.

Avec la valise ils font le tour, essayant de trouver qui,

Qui, quoi, où, quand, comment, ils fuient.

« Papa ! Papa ! Papa ! Où es-tu ? »

Désespéré il ne sait plus quoi faire,

Il regarde ses ongles longs et pointus.

Comme les Botrucs ; sa famille il sait lonlaire.

Papineau fait peur avec ses cheveux comme de l'écorce.

De ses ongles il coupe le papier, comme déchiqueteur on l'engage,

Mornick passe pour une branche, le camouflage c'est sa force.

Une vieille les héberge.

Louis-Moseph PapineauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant