Eliot

Chapitre 6: Rendez-vous?

Il me regarda d'un air avec un mélange de pitié et d'amour.

-Eliot, tu ne devrai pas dire ce genre de chose. Tu es un super mec, et je ne dis pas ça parce que je suis ton grand frère. Tu as de la chance d'être qui tu es. Tu bosses bien pour l'école, tu te drogues pas, t'as des amis, une famille qui t'aime. T'es du bon coté. Ne doute pas de toi. Ne change rien, reste toi. Avec le temps ta timidité partira toute seule, comme avec Anna

Anna était ma première copine, c'est vrai que avec elle j'étais à l'aise, avec elle et je pense que ça c'est ressenti dans mon entourage. Quand elle est partit je me suis quand même renfermer sur moi malgré le faite que je ne sois pas triste.

Je regardai Blaise sans savoir quoi dire, il me pris dans ses bras. J'étais content, car dans ma famille nous ne sommes pas très proche. Après quelques secondes il arrêta.

-Allez maintenant va essayer d'organiser un truc avec elle.

Je lui fais un oui de la tête puis je partie.

Je pris mon téléphone, mes mains tremblaient. Je tapa son numéro.

« Salut Claire, ça te tente d'aller au fami demain après midi? »

Je regarda mon message pendant quelques secondes. Je l'effaçai et le récrivais de plusieurs manières pour finalement envoyer

« Yo, ça te dit d'aller au fami avec moi demain aprem ? »

J'appuya sur le bouton « envoyer » et la je n'avais plus d'issus...Elle n'allait peut-être pas répondre qui sait. Je déposa mon tel sur la table et je m'assis dans le canapé pour regarder la tv avec mon petit frère Victor.

Victor à 15ans, il ne ressemble ni à moi ni à Blaise. Il s'est fait appeler Victor pour le grand Victor Hugo que ma mère aimait temps.

Il est un peu plus petit que moi en taille, et ne porte pas de lunettes. Il a les cheveux très court. Bref aucune ressemblance.

Mon téléphone vibra. Victor et moi tournons la tête en même temps. C'est moi où il a fait un bruit monstre. Je tourna la tête en direction de Victor, qui me regardais. Je pris mon téléphone sans tourner le regard. Il me regardai bizarrement.

-Non mais tranquille Victor.

Il me regarda encore quelques secondes puis tourna sa tête vers la tv.

Je stressai et je pense que ça s'est ressentit. C'était bien elle, mes mains recommençaient à trembler. Calme toi Eliot me disais-je dans ma tête.