Humble

Chapitre 01 ?

  Quand j'étais encore qu'un jeune môme “ innocent ”, j'embêtais les plus vieux avec mes caprices et mes enfantillages, ce qui m'a valut la réputation de "petit emmerdeur" d'ailleurs, ce qui était normal car j'étais un enfant épanoui comparé aux autres en ces temps là, les pays voisinant le notre étaient presque tous en guerre, ce qui nous forçait à vivre dans une peur constante car même si nous ne l'étions pas, nous savions qu'à tout moment celà pouvait nous tomber dessus.
  Les plus vieux cravachaient pour gagner leur pains, et les plus petits eux étaient partagés en deux catégories, la première, ceux qui vivent pour l'avenir, étudiaient pour pouvoir gagner leur vie plus tard en travaillant dans des bureaux luxueux si la chance leur sourie ou soit par manque de chance deviendront les petits "larbins" des hautes sociétés en faisant les tâches ingrates qui leurs seront assignées. La seconde, ceux qui vivent dans le moment présent est celle de ceux qui s'engagent dans l'armée pour pouvoir servir leur pays en tant de guerre.
 
  Donc, l'histoire qui suivra, parlera de mon passé, mon histoire qui s'est déroulé en 1945 juste après la guerre qui a opposé le pays qu'on peut maintenant considérer comme l'un des plus développé d'Europe, à l'Allemagne qui était le pays le plus puissant dans tous les domaines qui pouvaient exister en ce temps là.
  J'avais 18 ans ce jour là, je venais à peine de m'engager à l'armée qu'on m'envoyait déjà à Paris à la fin de la guerre pour travailler et contribuer à sa reconstruction.
  Vous voyez le genre, un jeune garçon idiot, avec un grand sourire idiot collé au visage, pour moi Paris était la ville qui représentait tous mes rêves les plus fou, tous mes fantasmes à l'époque. Mais l'unité à laquelle j'étais affecté se coltiner toutes les tâches les plus pénibles et ingrates qui soient, la majeur partie de notre temps on la passait à aider à réparer les égouts et les églises que les allemands avaient détruit pendant leur occupations, et aussi à débarrasser les corps sans âmes qui restaient sur place, c'était infernal, mais on s'y est fait avec le temps a tel point que c'était devenu une blague pour nous.
  D'une certaine manière, j'étais heureux, les quotidiens qui me hontaient chaque lendemain n'étaient pas tous peints en noir.