Écrire un récit avec un personnage par rapport avec l'émotion écrite. Les émotions ne doivent pas être écrite ni même transmises, juste être sous entendu. Sans verbe de jugement, ni adjectif.
L'amour:
La soirée avais commencer calmement. Ils étaient confortablement installé devant La magie des mots, sur le canapé, enveloppé dans un gros plaid noir. Mais vers la moitié du film, ils avaient complètement décrocher et avaient commencer une activité beaucoup plus agréable.
Tout d'abord, une main caressant un bras, des doigts effleurant le contour d'un visage, des lèvres se rejoignant et commençant un doux ballet. Des frissons parcourant des corps enlacer, des caresses de plus en plus prononcer.
Ne pouvant plus s'arrêter, il se dirigèrent vers la chambre, s'arrêtant tout les deux pas afin de relier leurs lèvres entre elles. Une fois parvenu à destination, le plus grand des deux coinça le plus petit contre la porte, plaquant leur bassin l'un contre l'autre, jouant avec sa langue et mordillant la lèvre inférieur de son vis-à-vis. Après s'être échanger un regard où se refléter tout ce qu'ils ressentaient l'un envers l'autre, plein de douceur et de tendresse, ils s'installèrent sur leurs lit, continuant à s'embrasser et se caresser. Leurs corps étaient recouvert d'une fine pellicule de sueur montrant toute la passion, l'envie et le désir qu'ils avaient l'un pour l'autre. Des gémissements et des soupirs de bien-être envahissez la pièce, sonnant comme un doux témoignage de leurs sentiments.
Dans un dernier soupirs de plaisirs et un cris de jouissance, il s'effondrèrent l'un sur l'autre, essouffler mais affichant un doux sourire, les yeux fermé et encore légèrement tremblant. Après un dernier regard tendre et un chaste baiser, ils s'endormirent, le plus grand tenant fermement le plus petit contre lui, calant sa tête dans son cou.La timidité:
Dans une chambre d'hôpital, un jeune homme ce trituré les doigts, et regarder tout autour de lui d'un air anxieux. Quand la porte s'ouvrit, il sursauta et baissa le regard sur ces draps blanc et rugueux. Un homme entra dans la pièce et se dirigea vers le lit. Au fur et à mesure, le patient se recroquevilla sur lui-même. Quand il fut assez proche de son patient, le jeune médecin commença à lui demandez si tout aller bien. Le jeune garçon, n'osant pas parler, lui fit un microscopique signe de tête positif bien que son comportement prouvez le contraire. Essayant de le détendre, le chirurgien lui expliqua la procédure qu'il aller effectuer d'ici quelque heure de manière légère. Le futur patient, les yeux toujours baisser, ne prononça pas le moindre mots. Voyant que son patient ne pas réagissait pas, le médecin posa sa main sur son épaule. Ce dernier eu un mouvement de recul et ce recroquevilla encore plus sur lui-même. Le chirurgien prit alors congés en jetant un denier regard à son patient qui, une fois de nouveau seul, ce réinstalla dans son lit de façon plus conventionnel et tourna son regard vers la seul fenêtre de la pièce, continuant de triturer ces long doigts fin.
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meli-melo
Short StoryRegroupement d'histoires courtes faites dans le cadre universitaire.