Chapitre I

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 Lors d'une froide nuit d'hiver, un homme apparu dans le petit village de Privet Drive, il apparu si soudainement qu'il semblait avoir jais du sol. Qui conque qui se serai trouver là à ce moment , aurait trouver cet homme vraiment bizarre. Il était grand, mince et très vieux a en juge la couleur argenter de ses cheveux et de sa barbe qui lui descendait jusqu'à la taille. Il était vêtu d'une longue robe, d'une cape rose et était chaussé de bottes à hauts talons pleines de boucles. Ces yeux bleu brillait derrière des lunettes en demi-lune, ils brillaient tellement que si on regardait d'un peu plus près, on aurait pu voir le regard calculateur et sournois qui s'y reflétait. Cet homme n'était autre que Albus Dumbledore.

Albus tenait dans ses bras un bambin. Le petit bébé, bien qu'emmitouflé dans une chaude couverture, grelottait sous le vent froid d'octobre. Il avait également une petite blessure en forme d'éclaire sur le front mais le vieil homme semblait pas s'en préoccuper plus que cela. Il déposa le jeune Harry, car tel était son nom, sur le pas de la porte portant le chiffre 4 et s'en alla aussi simplement qu'il était arrivé après avoir déposé une simple lettre pour accompagner le petit. Rien ne pouvait trahir la présence de cette homme en ces lieux, si ce n'était le petit Harry pleurant silencieusement sur le pas d'une porte.

Au premier matin de novembre, Pétunia Dursley, se réveilla de bonne humeur et descendit les escalier pour se diriger vers la cuisine et alors qu'elle allait faire le petit déjeuné, elle fut alertée par des pleures provenant de dehors. Elle ouvrit la porte et tomba nez à nez avec un bébé déposé dans un petit panier et tout emmitouflé dans une belle couverture rouge vif sans aucune décoration. Elle aperçu ensuite la lettre que tenait fortement Harry entre ses petits doigts tout rouge à cause du froid et de la dure nuit qu'il avait du passer. Elle arracha la lettre de ses mains, toute sa bonne humeur passée, et la survola rapidement. Le contenue ne lui plaisait pas du tout, elle venait d'apprendre que non seulement sa monstrueuse de sœur était morte mais qu'en plus de cela, c'est à elle que revenait la tache de s'occuper de son fils, un fils qui devait surement être aussi bizarre que ces parents.  Pétunia fini comme même par prendre Harry, non sans une mine de dégoût, et rentra dans sa maison en criant à son mari , un homme grand et massif qui n'avait pratiquement pas de coup et qui possédait une grande moustache de la même couleur que ses cheveux noir, de descendre au plus vite.

- Quoi? Hurla agressivement son mari des escaliers.  Que ce qu'il se passe? Pourquoi tu cris comme ça dès le matin, Pétunia? Tu vas réveiller Dudley. continua  Vernon en arrivant dans le salon.

- Ma sœur est morte. Déclara-t-elle en essayant de garder un visage neutre même si ses mains tremblante et ses lèvres pincée permettaient de facilement de distinguer son trouble. Et elle nous laisse son fils.

En quelque seconde à peine, on pouvait voir passer plusieurs émotion sur le gros visage de Vernon mais la dernière fut la colère, une grande colère.

- Il est hors de question qu'on le garde ici. Si il est comme ses horribles parents, il contaminera mon fils avec toutes ses monstruosité. Hurla Vernon. Tu dois t'en débarrasser. 

- M'en débarrasser? Mais.. mais où veux- tu que je le mette ? La lettre dit bien qu'il y a une protection bizarre avec mon sang ou...ou je ne sais pas quoi. Bégaya Pétunia encore totalement sous le choc.

- On s'en fout. Donne le moi, je vais le déposer dans un orphelinat. Répondit-il. Car c'est là où est sa place. 

Sans laisser le temps à sa femme de répondre, il pris sauvagement Harry des mains de Pétunia et se dirigea vers la voiture. Il le plaça dans le siège pour enfant de Dudley et démarra rapidement sans même se préoccuper de Pétunia qui était toujours dans le salon. 

De la maltraitance à la puissanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant