Midorima et le masochisme

Prologue

Je gémis, ça faisait longtemps que je ne m'étais pas amusé, trop frustré je n'arrive pas à me calmer complètement.

Je regarde mon jouet mouillé dans ma main et souris en voyant sa largeur, anticipant le plaisir quand je l'utiliserai

Demain c'est la rentrée, j'entre au collège Teiko alors il faudrait que je puisse me lever alors à contre cœur j'arrête.

J'espère faire des rencontres intéressantes là bas...

Le lendemain j'étais au collège entrain de marcher dans les couloirs alors qu'il fallait s'inscrire dans un club.

- excuse-moi.

Je regarde le collégien qui venait de me parler, il avait des cheveux et des yeux noirs et il était plutôt grand.

- oui? Que me... Veux-tu ?

- je m'appelle Nijimura Shuzo, je suis en première et capitaine du club de basket.

- et ?

- je voudrais que tu viennes au club de basket.

- pour?

- et bien... Jouer au basket ?

- j'y réfléchirais.

- tu t'appelles comment ?

- Midorima Shintarô.

- enchanté.

- de même.

Puis je continue à marcher afin de voir les autres clubs, aucun ne me tente vraiment alors finalement je passe au gymnase du club de basket et regarde leur entraînement.

J'entre dans le gymnase et regarde l'équipe formée.

- bonjour Midorima!

- Nijimura-senpai.

- je te présente Haizaki Shougo un autre première, Akashi Seijuro, Aomine Daiki, Kuroko Tetsuya et Murasakibara Atsuchi qui sont en seconde comme toi.

- enchanté, je suis Midorima Shintarô.

- bienvenue au club de basket !

- merci...

- maintenant on s'entraîne !

On s'entraîne alors ce qui me courbatura mais la douleur musculaire m'exitais au plus haut point.

À la fin de l'entraînement je regarde chacun des membres de l'équipe de basket, un d'eux s'approche de moi.

- bonjour.

- bonjour...

- Akashi Seijuro.

- excuse-moi, je n'ai pas encore retenu vos noms.

- ne t'inquiète pas, tu vas bien? Pendant l'entraînement j'ai vu que tu t'étais blessé mais ça ne t'as pas déranger alors...

- je vais bien, ne t'inquiète pas j'ai juste un peu de mal avec l'entraînement.

- je vois, et ça va aller?

- aucun problème.

Akashi reste silencieux alors je fais pareil et regarde le plafond.

- tu sais jouer au shogi?

- oui, pourquoi ?

- joue avec moi un de ses jours.

- si tu veux...

Je rentre ensuite chez moi avec l'envie d'aller plus loin que ce matin.

Je prends une cravache posé sur mon bureau, je me met à 4 patte, fait glisser mon pantalon jusqu'à mes genoux et me frappe avec. Un gémissement passe la barrière de mes lèvres, c'était tellement bon... J'en pouvais plus, il me fallait quelqu'un pour le faire. N'importe qui. Je remonte mon pantalon et vais dans un club fameux de BDSM. Je me retrouve rapidement nu sous le même dominant que la dernière fois, il me frappe avec un des fouets que fournissait le club, j'hurle de plaisir et une marque rouge se forme sur ma fesse. Cet homme entre en moi sans aucune précaution savourant mes gémissements, je reçois un autre coup de fouet alors qu'il bouge donc j'hurle. Je demande plus à mon dominant qui sourit, il me donne un coup de fouet au même endroit puis j'en reçois un sur le dos alors que je gémis fort de plaisir et il attache mes mains dans le bas de mon dos. Je gémis un peu d'inconfort avant de trouver une position convenable en remuant malgré les coups de fouet et des coups de butoir en moi ce qui me faisait hurler de plaisir. À 4 patte, les coups de fouet, l'homme en moi, être attaché, dominé, me fit jouir en hurlant. Je respire doucement, j'en veux encore. L'homme me détache, signe que c'était fini, je paye à l'entrée en promettant de revenir et sors. En sortant de la rue je croise Akashi par hasard.

- Shintarô ? Qu'est-ce que tu fais ici? Dans cette rue il n'y a que...

Rouge de honte je fuis en courant jusqu'à chez moi, arrivé je me couche sous ma couette. J'enlève mon pantalon vite fait et prends mon vibromasseur. Je le met en moi sans précaution, tout au fond, contre ma prostate. Je prends la petite télécommande et l'enclenche sur 4 directement. Je gémis, je pleurs sur mon oreiller, il sait... Je suis sûr qu'il sait. J'enclenche sur 5 et dire que j'aime ça... Je gémis... Beaucoup, je prends un mouchoir, l'enroule autour de ma verge et jouis. Je m'endors ensuite.

Le lendemain j'arrive au club à l'heure, il y a Akashi et Nijimura pour l'instant, je détourne les yeux en disant:

- bonjour...

- bonjour Midorima !

- bonjour. dit Akashi

Après l'entraînement je fuis très vite du gymnase pour me retrouver en cours dans la même classe qu'Akashi bien sûr. Après les cours un autre entraînements est mené avec les nouvelles recrues: Aomine Daiki et Murasakibara Atsuchi, à la fin de celui ci je m'enfuis bien vite mais arrivé au portail Akashi agrippa mon bras.

- faut qu'on parle.

Il me traîne derrière lui jusqu'à une des cours où se tenait encore quelques élèves.

- tu es masochiste pas vrai ?

- et alors ? Qu'est-ce que ça peut te faire ?

- tu n'essaies pas de nier ?

- ça ne servirait à rien.

- je t'aime bien.

- lâche moi.

- on pourrait s'amuser tout les deux.

- pourquoi ça ?

- intéressé ?

- la ferme.

- ça ne m'empêche pas d'être sadique.

- ça a été tôt pour toi aussi.

- c'est arrivé par accident et toi ?

- ça ne te regarde pas.

- si tu ne me fais pas confiance alors ça ne sers à rien de continuer d'en parler.

- je ne vois pas comment je pourrais te faire confiance ça ne fait que deux jours qu'on se connait.

- d'après ce que j'ai vu tu ne supportes plus tes pulsions.

- tu ne sais pas ce que c'est... D'avoir envie qu'on te fasse mal encore et encore... d'être dans des positions plus que gênantes... d'être dominé... d'avoir un maître...

- je pourrais dire tout l'inverse de ce que tu as dit moi aussi je ne supporte pas mes désirs.

- je ne te fais pas confiance et pour entamer ce genre de relation il le faut.

- il nous faut un safe word.

- pour apprendre à se faire confiance ?

- oui, qu'en penses-tu ?

- mmm... dans ce cas se sera '' vanille ''

- bien, à demain alors.

- à demain.

Une semaine passa puis deux puis trois jusqu'à ce qu'un an passe, Kuroko Tetsuya nous avait rejoint et on commençait à nous connaître en tant que Génération des Miracles. Akashi et moi passions du temps ensemble à jouer au shogi ou aux échecs, il fut même élu président du conseil des élèves et je suis naturellement devenu le vice président. Nous étions amis maintenant, j'en voulais plus... il me donnait quelques ordres simples et j'en voulais vraiment plus. J'allais faire basculer notre relation.

C'était le 9 septembre, premier entraînement, premier cour et surtout premier moment en tête à tête tout les deux.

Discrètement je posa mes lèvres sur sa bouche et fuis très courageusement.

Le lendemain au vestiaire alors qu'on était seul, il m'embrasse à son tour.

On est ensemble.