Etoile, Ombre et Lumière

Chapitre 1

La plupart des gens ne voient que ce qui est visible, sans chercher à regardes plus loin. Pourtant, il y a bien des choses qui, même visible, nous semble sans intérêt, qui n'ont pas d'impact.

Et à contrario, il y a des choses qui, comme le vent, ne sont pas forcément visible, mais qui ont toujours un impact plus ou moins important.

Une ombre aura toujours un impact, même minime. On peut y cacher tellement de chose : De nos peurs les plus intimes aux plus lourds secrets.

La Guerre aussi, a son ombre. Elle est noire sans aucune lumière, morbide, glauque, malsaine et les gens qui s'y trouve n'en sorte jamais totalement.

Nous nous en avions une à la maison.

Je rentrais chez moi, comme chaque jour après l'école. Ce jour-là, je m'étais encore disputé avec mon meilleur ami et ça avait fini en bagarre général. Les surveillants étaient venus nous séparer et nous avions reçu chacun une punition. Le directeur nous avais dit :

« -Les enfants, je sais qu'en ces temps trouble, nous sommes tous facilement irritable, mais je vais vous demander de bien vouloir restera solidaire en tout instant. M'avez-vous compris ?

-Oui, monsieur le directeur ! avions nous répondis en cœur. »

De toute façon, nous savions déjà tous les deux que dés demains, nous redeviendrions les meilleurs amis du monde.

J'arrivais à la maison et dés que la porte fut ouverte, j'entendis la douce voix de ma mère me saluer. Je montai directement dans ma chambre et fit mes devoirs comme d'habitude.

Le soleil était déjà couché lorsque maman m'appela pour manger. Je déçandits donc mettre la table comme chaque soir et demandai :

« -Papa vas bientôt arriver ?

-Je pense, mon chéri. Dit d'une voix hésitante ma mère, elle me tendit un in plateau où se trouvait une portion du repas. Va lui amener ce plateau s'il te plait ?

-D'accord. »

Ce "lui" c'était l'ombre que nous cachions.

Je pris le plateau d'une main pour pouvoir ouvrir la porte de la cave de l'autre. Comme toujours, il se tenait dans le petit coin que nous avions aménagé pour lui. Ce n'étais pas le grand luxe mais c'étais mieux que de dormir sur le sol froid de la cave.

« -Qu'es ce qu'on a aujourd'hui ? demanda-t-il enjoué.

-On a de la saucisse avec de la purée de pomme de terre et des légumes du jardin.

-Des saucisses ? Je croyais qu'elles étaient devenues trop cher ?

-On est Lindi, je suppose qu'elle veut m'encourager pour le reste de la semaine.

-Peut-être ? ... »

L'ombre se saisi du plateau et commença à manger.