𝑫𝒆𝒖𝒙𝒊𝒆̀𝒎𝒆

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C'est le jour-J pour elle, elle peut enfin sortir de cet endroit qui a une odeur très particulière.

Elle doit être effrayée.

Pour elle c'est comme prendre son envol, enfin sortir de son nid. Découvrir un nouveau monde.

Je pense que mon discourt de la dernière fois la mise en confiance.Depuis ce moment à chaque fois que nous nous voyons nous restons main dans la main.

Quand je lui raconte un anecdote sur notre passé, elle me regarde avec fascination, le sourire aux lèvres.

Elle n'a ce regard que pour moi, ça me plaît, cela m'avait tellement manqué.

Je lui la personne à qui elle fait le plus confiance. C'est pour cette raison qu'elle m'a demandé de venir chez elle le temps quelle s'habitue à l'environnement. Mon père avait accepté cette idée.

Nous parlions toutes les nuits dans son immense chambre jusqu'au levé du jour.

"Et d'un coup la porte s'est ouverte. Nous avons courus le plus vite possible jusqu'à mon jardin. Mais comme tu te fais attraper par cette sorcière, par solidarité je me suis dénoncé. Après nous nous sommes fait fâchées par la vieille qui perdait la boule et mon père. On était si jeune à ce moment là !

-Dis moi on a fait pas mal de conneries ensemble ?

-Oui même beaucoup trop !

-Mais pourquoi tu ne me raconte rien sur ces dernière années ?

-Oh ,par ce qu'il y en a déjà beaucoup à dire sur notre enfance, j'essaie de le faire dans l'ordre chronologique."

Foutaises. Je lui mentais. Ce fût mon premier mensonge depuis sa perte de mémoire.

Mais il en vaut la peine.

𝕃'𝕒𝕚𝕕𝕖𝕣 𝕒̀ 𝕣𝕖𝕔𝕠𝕦𝕧𝕣𝕚𝕣 𝕝𝕒 𝕞𝕖́𝕞𝕠𝕚𝕣𝕖 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant